La rentabilité des business qui marchent: laverie automatique, micro-crèche, salle de sport, gîte rural, food truck…

Les business qui marchent bien ne sont pas toujours ceux auxquels on pense de prime abord. Quelle est la rentabilité :

  1. d’une laverie automatique,
  2. d’une crèche parentale
  3. d’un food truck,
  4. d’une salle de remise en forme,
  5. de chambres d’hôtes ?

La création d’entreprise est géniale, à condition de choisir les créneaux rentables. 

Ouvrir une laverie automatique : combien ça rapporte ?


Elle fait partie des commerces les plus rentables par rapport aux investissements demandés (de la même façon qu’une pizzeria), même si les français sont de plus en plus nombreux à avoir leur propre machine à laver.

Le plus important : choisir le bon emplacement

Dans ce secteur, l’étude de marché reste la clé de voûte du système. Prenez votre temps avant de vous lancer, le jeu en vaut la chandelle. Etudiez la concurrence par rapport à la demande. Pour trouver le local idéal, faites les petites annonces professionnels, mais aussi les agences qui proposent des locaux commerciaux.

IMPORTANT. Pensez-y : vous pouvez aussi vous installer en franchise. Lire mon article.

Où s’installer ?

Une affaire, pour qu’elle marche devra d’abord être bien placée. Une grande ville n’est pas nécessaire, 10 000 habitants suffisent pour réussir son implantation.

EN PARALLÈLE : trouvez un nom pour votre entreprise

Par contre, l’emplacement n’est pas négociable : c’est le centre ville ou rien. Laissez tomber les périphéries ou les quartiers pavillonnaires, à moins que ce soit prêt d’une résidence universitaire, vous allez vous user le dos pour gagner des clopinettes.

Calculer la rentabilité, oui, mais pas que

En effet, gagner de l’argent avec son entreprise est vital, mais les conditions de travail aussi sont importantes :

  • pas d’employés,
  • stock nul,
  • pas de clients mauvais payeur,
  • trésorerie immédiate,
  • pas de diplômes à passer.

Bien sûr, il y a aussi les mauvais côtés :

  • horaires d’ouvertures étendues,
  • disponibilité obligatoire (au moins par téléphone)
  • et problèmes techniques récurants (dans le pire des cas, pour celui qui n’est pas bricoleur).

Combien peut-on gagner avec une laverie ?

Vous ne deviendrez pas riche avec cette activité, à moins d’en ouvrir une dizaine, ce qui peut se faire progressivement. Donner ici un chiffre d’affaire n’est pas possible : tout va dépendre du local. Ne mégotez pas sur la surface, il faut au moins 35 m2. Installer des distributeurs automatiques de barres chocolatées, de boissons fraiches et de café va pouvoir vous permettre de compléter ce CA.

Source : Ninjentrepreneur

Trouver un prêt

Si vous avez souscrit un crédit pour monter votre boîte, il faudra prendre en compte le remboursement du prêt dans la rentabilité. Il paraît difficile de se lancer avec moins de 40 000 euros. Vous pouvez fonctionner avec des machines d’occasions pour diminuer la note, mais à vos risques et périls concernant les pannes de matériel.

Faites le tour des banques pour connaître leur taux, en ayant à l’esprit qu’il vous faudra apporter au moins la moitié de cette somme en fonds propres. Des aides pour les créateurs existent, pour se lancer et pour diminuer les charges les premières années (ACCRE) : n’hésitez pas à les solliciter.

Dans la série des autres dépenses, pensez à budgeter l’eau, l’électricité, les taxes diverses et variées, les dégradations possibles, le ménage du local si vous ne voulez pas le faire vous même.

Investir dans une micro-crèche


Saviez-vous que de nombreux couples hésitent à faire des enfants parce qu’ils n’ont pas de solution de garde ? Cette réalité structurelle des grandes villes principalement fait qu’ouvrir une crèche peut se révéler une bonne idée financière à l’heure de choisir son créneau pour se lancer dans l’entrepreunariat.

Son principal inconvénient reste les règlements qu’il faut respecter quand on travaille dans le secteur de l’enfance. Ouvrir une micro crèche, ce n’est pas comme ouvrir une boulangerie.

Les pièges à éviter : ce qu’il faut savoir

Source : macreationdentreprise.fr

Préparez vous à faire des démarches qui n’en finissent pas : mairie, conseil régional, département, la CAF… Le financement peut aussi être un frein, puisqu’une structure adaptée demande d’importants investissements, mais les organismes cités précédemment peut aussi se révéler de bons partenaires financiers.

Ouvrir une crèche parentale

C’est la solution choisie par des parents qui se regroupent pour réussir à faire garder leurs enfants dans de bonnes conditions. Souvent organisée en association, elles ne sont pas rentables, ce n’est pas leur but, il leur faut toutefois arriver à l’équilibre sous peine de disparaître, surtout s’il y a des personnes salariées qui sont embauchées pour faire tourner la structure, même avec l’aide des parents bénévoles.

Pour gagner de l’argent : le multi accueil

Voilà un modèle économique rentable dans le secteur de la petite enfance, surtout si on y réserve un nombre de places pour le personnel d’entreprises, toujours à la recherche de solutions pour leurs employés. Toutefois, il n’y a pas de place pour les petites structures.

Investir dans une salle de sport : est-ce rentable ?


Parmi les bonnes idées de business on retrouve celle de créer une salle de Cross Fit ou de fitness. La bonne idée : se tourner vers le « pas cher », d’autant plus que ce n’est pas le nombre de pratiquants qui manque, et cela va continuer à grimper avec le désir relayer par nos médecins de rester jeune, beau et en bonne santé. Mais comment monter une salle de musculation low cost ?

En effet, qu’il s’agisse d’une salle bon marché ou VIP, l’investissement sur les machines est à peu de choses près le même. Se pose donc la question de savoir comment gagner de l’argent en pratiquant des réductions draconiennes sur l’abonnement. C’est là où le chef d’entreprise intelligent entre en jeu.

Les services ajoutés qui peuvent tout changer

Car au final, l’abonné réglera la même chose, voire plus s’il utilise tous les services payants de son club lowcost : faire payer les douches, la mise à disposition de serviettes, le hammam si vous en proposez un, l’utilisation des vestiaires, la machine à café… Libre à chacun de dépenser pour un service supplémentaire ou pas, mais l’expérience montre que beaucoup d’abonnés le font.

Une franchise qui marche bien en France : la salle d’escalade


franchise escaladeGrimper sur un mur, grimper dans l’échelle sociale… L’escalade en salle a des adeptes. Sport ludique par excellence, il permet de passer un bon moment et de se défouler en même temps. Le plus grand réseau de France et d’Europe où il est possible de devenir franchisé s’appelle Altissimo. Son créneau : permettre au plus grand nombre de pratiquer, dans des conditions de sécurité optimales.

Un peu comme la laverie, on peut garder sa salle ouverte tous les jours, permettre l’accès en libre service sans toujours être sur place, à condition d’avoir des salariés compétents pour assurer l’accueil des usagers et des sportifs en herbe et en devenir, d’autant plus que pour les attirer, vous pouvez très bien décider d’offrir la première heure, technique commerciale « gratuite » qui donne souvent de bons résultats.

Ce concept fonctionne car les lieux d’escalade de cette franchise sont conviviaux, tant dans la pratique que dans les à-cotés détente et culture (organisations d’expositions).

Pour devenir franchisé

Avant de permettre à d’autre de se lancer sur des parois abruptes, il vous faudra tout de même investir, et ça représente tout de même quelque chose : presque 1 demi million d’euros, sans compter le coût du local si pas de porte il y a. Cet investissement comprend l’agencement dans sa totalité, ainsi que la communication de départ pour faire connaître votre lieu.

Une fois cet argent injecté, la rentabilité à des chances d’être à la hauteur de vos espérance, même si en matière de commerce, rien n’est gagné d’avance. Il vous faudra tout de même attendre entre 3 et 5 ans pour le retour sur investissement, ce qui est peux comparé à d’autres secteurs.

Si tout est bien en place, que la ville est bien choisie, que le local est assez grand, que vous montrer votre sens du commerce, la croissance devrait être au rendez-vous.

Ouvrir une salle de squash : rentabilité entre 6 et 7%


Voici un sport qui est populaire (mais qui pourrait l’être encore plus), surtout auprès des jeunes cadres, et qui demande moins de place que pour un terrain de tennis. Le business plan est de moindre envergure que pour l’escalade, mais peut-on en vivre décemment ?

Le problème n°1 qui va se poser va être l’emplacement, puisque pour fonctionner, la salle doit être dans des quartiers de bureaux, ou l’immobilier est souvent cher, et l’agglomération de 50000 habitants au minimum.

Car il faut quand même qu’elle est une certaine surface (avec plusieurs courts) pour inspirer la confiance et générer une certaine rentabilité, et être viable dans le temps. De plus, sauf à Paris, à Lyon, ou dans les très grandes villes, il faudra qu’elle ait un parking pour permettre aux clients de se garer facilement sans y laisser trop d’énergie avant leur séance.

Côté gain, comme pour la salle de sport, pensez au produits annexes qui pourront venir augmenter votre marge (petite restauration par exemple).

Les erreurs à ne pas commettre

La réussite reste tout de même aléatoire. Pour vous donner toutes les chances de réussir, il faudra être commerçant, pratiquer des tarifs abordables et communiquer à outrance. Vous devrez être très présent dans le tissu associatif et sportif de la commune, en organisant des évènements.

Côté investissement, murs et parquets en représentent le plus gros, ce qui ne doit quand même pas aller chercher très loin, même en penchant vers le qualitatif (conseillé).

Le gîte rural est-il toujours rentable ?


Il est différent des chambres d’hôtes, qui ne rapportent au mieux qu’un complément de revenu à leurs propriétaires, sauf à en avoir plusieurs (pas plus de 5). Celles-ci demandent quand même beaucoup de temps, car les gens réservent pour 1 ou 2 nuits. Il faut donc gérer les réservations, refaire la chambre tous les matins…

ouvrir un gîte

Le gîte est plus facile à gérer, mais plus contraignant à aménager du fait de sa surface, puisqu’il s’agit d’une maison meublée. Il n’y ait pas question de repas, et on peut le louer à la semaine. La démarche ne sera donc pas la même selon que l’on penche pour l’un ou pour l’autre.

Dans les deux cas, rapprochez vous du conseil régional, des subventions existent, il serait bête de ne pas en profiter.

Combien ça coûte ?

L’argent étant toujours le nerf de la guerre, il faut budgétiser avant de se lancer. Difficile de louer une chambre d’hôte sans y avoir dépensé au moins 20 000 euros (à moins d’être un bon bricoleur et de tout faire soi même), en réfection, travaux et mobilier. A 50 euros brut l nuit (il faudra retirer les charges), il faut en louer beaucoup pour rentrer dans ses frais.

Pour un gîte, c’est différent, puisque la location est faite à la semaine pour plusieurs centaines d’euros. Mais l’investissement sera un peu plus important, au moins 40 000.

Reste que pour l’un comme pour l’autre, on ne remplie pas à l’année, mais dans les mois touristiques. Difficile donc de conseiller cette activité pour bien gagner sa vie. Elle est plutôt a envisager comme un revenu complémentaire, en tout cas dans un premier temps. Par contre, mener de front votre carrière vous prendra de l’énergie, préparez-vous à peu dormir !

La dernière mode : le food truck


On les croise partout, dans tous les lieux branchés, ces camions qui distillent leur fumet, promesses de rapides agapes sur un coin de bitume : bonnes odeurs de crêpes, de pizzas, de burgers, de chiens chauds, de bo bun…

Mais lancer son camion de restauration n’est pas à la portée de tous, et ce n’est pas parce que votre activité sera mobile qu’il ne faut pas réaliser une sérieuse étude de marché. Il faut donc envisager la chose comme un restaurant, même s’il est monté sur 4 roues. Et attention en conduisant svp.

Votre concept doit être pensé entièrement, du produit cuisiné (carte de visite du camion), des prix pratiqués, aux emplacements. De délicieux hot dog à la Défense ont plus de chance de marcher que des frites au fin fond du Larzac.

food truck

Enfin, le succès d’un food truck, c’est le bouche à oreille, et la communication qui est faite pour montrer qu’on existe même si on n’a pas d’enseigne. Il faut investir les réseaux sociaux et faire parler de son affaire, encore et encore. Après une journée de travail, le soir à la veillée, c’est des heures en plus à consacrer à son activité, à moins d’avoir de petites mains secourables pour le faire.

Trouver les idées d’investissement qui vont rapporter le plus : c’est ce à quoi songe un entrepreneur, quand il ne sait pas encore dans quel secteur d’activité se lancer. Si vous ne savez sur quel pied danser, aller donc faire un tour du côté des Etats-Unis. Les petits business qui cartonnent aux USA aujourd’hui seront ceux de demain en Europe.

Autres idées de business qui peuvent marcher :

Les business qui fonctionnent, il y en a, à vous de choisir le bon, celui dans lequel vous allez vous épanouir tout en assurant votre avenir. Mais quel qu’il soit, il y aura du travail, beaucoup, avant d’en retirer les fruits. Attention, à vos marques, relevez vos manches, prêt, partez !

Investir dans un cheval de course: acheter en multipropriété est-il rentable ?

Bien des turfistes ont ce rêve un peu fou : devenir propriétaire d’un cheval de course. Mais le prix d’un pur-sang est élevé, et la rentabilité de l’investissement n’est pas avéré. Tout le monde n’a pas la chance de tomber sur le meilleur trotteur du monde, surtout si on n’est pas du sérail. Acheter en multipropriété représente une bonne alternative quant au risque pris. On gagne et on perd à plusieurs, sans parler du côté sympathique de se rendre ensemble au champ de course pour voir courir son protégé. Alors, serez vous l’heureux co-propriétaire du prochain Ourasi ?

Acheter des chevaux de course : est-ce rentable ?


La passion est saine, mais elle aveugle parfois celui qui s’y adonne. Contrairement aux idées reçues, il n’est pas nécessaire d’être riche pour devenir propriétaire d’un trotteur ou d’un galopeur, il y a assez de courses en France pour satisfaire tous les niveaux. Bien sûr, pour acquérir des trotteurs de légende, ou en tout cas appelés à le devenir, il faudra mettre le prix, les origines étant presque toujours déterminantes.

Tout dépend donc de votre objectif : gagner beaucoup d’argent ou juste rentrer dans vos frais histoire d’avoir de bonnes sensations sur le terrain toute l’année. Rien ne remplace l’ambiance d’une course, grisante à souhait.

Combien ça coute ?

Retour aux choses sérieuses, car quand il faut sortir le carnet de chèques, cela n’a plus rien d’un amusement. Commençons par les gains (qui sont net d’impôts, ouf), car tout n’ira pas dans votre poche. Il faudra en reverser 16% à l’entraineur et 6% au jockey.

Ensuite, il faudra veiller aux frais d’entretien, et plus l’entraineur est reconnu, plus ceux-ci sont élevés : comptez 20 000 euros par an pour un coureur moyen. Un cheval qui ne gagne pas devient donc vite un gouffre financier, mais quand on aime on ne compte pas, vrai ?

Si pour une raison ou une autre vous êtes un jour appelé à vous en séparer, et que vous avez la chance de le revendre à un bon prix, sachez que les plus-values éventuelles seront fiscalement imposables, même si des abattements sont prévus (15% par année de détention).

Le prix d’un pur-sang

La valeur d’un pur-sang arabe (ou non) va être fixé par ses origines, et par l’espoir qu’y mette les spécialistes, raison pour laquelle certains poulains valent déjà plus d’un million d’euro avant même d’avoir commencer à marcher. Mais personne n’est à l’abri d’une bonne surprise et de gagner le prix du jockey club avec un cheval venu de nul part.

Le pédigrée reste toutefois la meilleure façon de ne pas se tromper quand on achète. Si maman était une spécialiste des longues distances, il est fort à parier que le petit s’épanouira à partir de 2400 mètres. Crack ou non, si vous démarrez, l’achat d’un yearling (cheval de 2 ans) en multipropriété est conseillé.

Pourquoi vaut-il mieux acheter à plusieurs ?


France Galop, la société qui organise les courses, demande à chaque futur propriétaire d’avoir des revenus oscillant entre 30 et 75 000 euros en fonction du lieu d’entrainement envisagé pour pouvoir acquérir. Vous devez ainsi prouver que vous avez les moyens de subvenir au besoin de votre acquisition. Les achats groupés allègent donc cette obligation de revenu.

investir sur un trotteur

Devenir membre d’une écurie, c’est avoir des trotteurs en parts, ou des galopeurs qui portent vos couleurs. A plusieurs, on peut en effet diversifier les risques en achetant plusieurs chevaux. La plus grosse écurie connue est celle d’RMC, ou plus de 10 000 turfistes amateurs ont souscrit des parts valant chacune 50 euros. C’est aussi avoir les moyens financiers de s’entourer de professionnels compétents, pour l’achat et l’entrainement.

Comment acheter des parts ?

Si vous voulez démarrer votre carrière de propriétaire tout de suite, il faut contacter une écurie qui existe déjà, et voir avec elle si des parts sont à vendre. Une fois actionnaire, à vous les champs de course et les remises de trophées. Pour les cardiaques, attention aux palpitations.

Dans tous les cas soyez vigilant : le risque d’y laisser sa chemise est réel. Mais quel plaisir d’encourager son favori au bord de la piste ! Attention faites vos jeux, rien ne va plus… Envie d’autres investissements risqués ? Lire aussi :

Argent Métal: le placement refuge par excellence en cas de krach ?

Investir dans les métaux précieux, c’est des perspectives de gains, bien entendu, mais aussi un placement refuge en cas de krach de l’euro ou de faillite des banques. Parmi eux, il y en a un qui est sous évalué, il s’agit de l’argent. Là où tout le monde ne jure que par l’or, pourquoi acheter de l’argent physique ? Le meilleur placement alternatif n’étant pas toujours celui auquel pense le commun des mortels, nos raisons à suivre.

Une valeur refuge qui va prendre du galon


Ne nous voilons pas la face, l’économie mondiale va mal. Qu’il s’agisse d’un krach boursier, d’une crise des subprimes, de la chute du cours de l’or, on peut aller vers une faillite de la France. Il faut donc protéger ses économies. Et si c’était enfin l’année de l’argent ?

Certes, le métal précieux à moins de valeur que l’or, qu’il s’agisse d’acheter des lingots ou des pièces. Toutefois, comme il est toujours bon de se diversifier pour diminuer le risque de perte, mieux vaut en posséder un peu des deux. Rappelons que pour les 2 plus grosses puissances mondiales à venir, que sont l’Inde et la Chine, ils font aussi office de monnaie.

Pour le moment, il y a une différence de prix certaine entre l’or et l’argent, mais pour le second cité, les réserves sont moindres, et le cours de l’argent métal en 2015 pourrait donc s’envoler, surtout en cas de méfiance des marchés sur l’euro et le dollars, et la création d’une nouvelle devise (ce n’est pas encore pour demain, rassurez-vous).

Un métal dont l’industrie a besoin

C’est son principal avantage, puisqu’il entre dans la construction de nombreux produits industriels : qu’il s’agisse de fabriquer des armes ou des téléphones portables. On n’est donc pas à l’abri d’une augmentation de son cours, puisque des produits manufacturés ne peuvent s’en passer.

Les investisseurs avertis devraient donc acheter quelques lingots et les mettre au coffre, on ne sait jamais : cela pourrait servir ou rapporter dans un avenir proche.

Acheter de l’argent physique


Il n’y a pas que les riches qui peuvent le faire, et croire le contraire est absurde. On peut commencer avec une pièce, avant de passer au lingotin (à partir d’un gramme). Actuellement, la demande est si forte qu’il ne vous sera pas difficile de revendre vos achats de métaux précieux si besoin. Rappelez vous que ces matières premières étaient des devises avant de servir l’industrie, et qu’elles le resteront quels que soient les aléas économiques. De plus, leur rareté fait aussi leur valeur.

épargner dans l'argent précieux

Plutôt que de laisser toutes ses économies dormir presque à perte sur un livret A, vous pouvez prendre le risque d’en utiliser une petite partie (pas plus de 5%) dans un placement où rien n’est garantie, mais qui laisse présager de bonnes perspectives de gains.

Et en cas de catastrophe, à savoir la fin de la monnaie papier à cause de l’éclatement des différentes bulles, c’est une soupape de sécurité. Quoi qu’il arrive, c’est une façon de faire fi de l’inflation, qui diminue le bas de laine de tous les épargnants.

Qui détient le plus d’argent métal dans le monde ?

Il se dit, oh surprise, que ce serait JP Morgan, grand acheteur d’onces pour se constituer ce que les économistes appellent « un trésor de guerre ».

Même Warren Buffet fait pâle figure à côté du géant américain, même si comme toujours avec ce genre d’informations spéculatives, elles sont à prendre avec des pincettes. Mais si c’est cette banque qui contrôle les marchés, nulle doute qu’un jour elle ira prendre d’énormes bénéfices, puisque ce sera plus ou moins elle, du fait de ses réserves, qui fixera les prix.

Moralité : depuis des siècles, l’or et l’argent reste ce qu’il se fait de mieux pour se prémunir des différentes crises, et cela surtout depuis l’invention de la monnaie papier, qui peut s’envoler d’un seul coup de vent (à la différence du lingot, bien encré au sol de votre coffre fort). A chacun de savoir les risques qu’il est prêt à prendre, car en matière de gros sous, rien n’est figé dans ce monde qui perd peu à peu la boule.

Investir dans l’internet des objets: les start-up françaises les plus innovantes !

Investir en 2017 et dès maintenant dans les technologies d’avenir, tout est là. Et pourtant l’Internet des objets n’est pas récent. L’idée a déjà une quinzaine d’années, on l’appelait alors Machine to Machine aux États-Unis. Mais à l’origine il s’agissait surtout d’une utilisation permettant aux outils de travail de communiquer entre eux. Ce qui est nouveau dans l’Internet des objets, qui fait partie des idées rentables, c’est son application à la vie privée, notamment au travers de dispositif de contrôle de la santé. Et devinez quoi, les Français ne sont pas en reste, à travers 2 start-up qui réinventent les objets du quotidien pour le bien-être de l’utilisateur.

L’Internet des objets : un marché à 10 000 milliards de dollars


L’année 2017 nous dira si l’AppleWatch a obtenu le même succès que l’iPhone. Cette montre connectée peut être utilisée avec une application de santé, renseignant l’utilisateur sur son rythme cardiaque, son sommeil et même son diabète. Des capteurs posés sur la peau emmagasinent des données dans un serveur distant, et alertent le médecin traitant du porteur dès les premiers signes inquiétants.

Voilà ce que l’on appelle l’Internet des objets : des choses dont on se sert dans la vie de tous les jours et qui sont désormais connectées à un programme hébergé en cloud, capable d’analyser les informations qu’elles envoient.

L’avenir est en marche

Certains avancent que d’ici à 5 ans il pourrait y avoir 26 milliards d’objets connectés sur la planète Terre. Ils feront ainsi circuler près de 40 % des données mondiales, générant un marché de 10 000 milliards de dollars. Les start-up françaises ne sont pas en reste, à l’image de Sigfox qui vient de lever 77 millions d’euros. Cette société toulousaine spécialisée dans la connectivité cellulaire est en ce moment en train de travailler avec Airbus sur l’identification d’un signal envoyé au beau milieu de l’océan.

La start-up pourrait devenir le premier opérateur d’objets connectés, celle qui reliera un serveur distant à votre machine à café, ou même à votre matelas. Une valeur à suivre donc, car les nouveaux produits arrivés sur le marché auront besoin de sa technologie.

Cette start-up française qui vous connecte avec le soleil


Parmi les concepts qui fonctionnent en 2017, Cocorico, Netatmo est une start-up française. Elle s’est notamment spécialisée dans la régulation de votre système de chauffage, commandé depuis votre portable. Désormais vous pouvez diminuer vos factures énergétiques, en baissant le radiateur quand vous n’êtes pas à la maison.

Mais l’ingénieuse société française ne s’arrête pas là. Elle a mis au point un bijou élégant, qui mesure votre exposition au soleil et vous envoie des données en temps réel, afin de vous aider à mieux vous protéger. Le procédé s’appelle « June » et est présenté comme « un coaching personnalisé ». Le système vous suggère l’indice de crème en fonction de votre type de peau et de la force des UV, et vous envoie un signal sonore lorsqu’il est temps de vous mettre à l’ombre ou d’enfiler vos lunettes de soleil.


A lire aussi : les commerces rentables venant de l’étranger.


Foin de grosses joailleries dessinées à la va-vite, le design de la gamme a été confié à une créatrice. Pour l’instant il n’existe qu’un seul modèle en forme de diamant, décliné en 3 couleurs. Le prix de cette petite merveille technologique : 95 € pour éviter un vieillissement prématuré de la peau. Sans doute une opportunité d’investissement lorsque les mutuelles auront décidé de baisser leurs cotisations pour ceux qui s’équiperont du bracelet en été.

Cette start-up française qui prend soin de votre santé


Toutes celles et ceux qui pratiquent le régime ont une balance chez eux. Oui mais voilà, quel doit être leur poids idéal ? Et bien maintenant leur indice de masse corporelle sera envoyé directement sur leur Smartphone. Mieux, le « Smart Body Analyser » va prendre votre pouls et enregistrer son historique sur cloud. Vous pourrez ainsi avoir accès à une analyse du rapport entre votre surcharge pondérale et vos fonctions cardio-vasculaires. 2017, année du régime ?

Que demander de plus ? Mais que le pèse-personne mesure la qualité de l’air bien sûr. Déplacez le dispositif un peu partout dans vos pièces, ses capteurs analyseront la teneur de l’air en dioxyde de carbone, par rapport à la température. En ouvrant l’application de votre Smartphone vous verrez ainsi à quel niveau vous vous situez sur une échelle comprise de « excellente » à « très mauvais » et des icônes vous indiqueront les problèmes potentiels : mal de tête, picotements des yeux et autres.

entreprise qui innove

La start-up s’appelle Withings, et en plus de prendre soin de votre silhouette elle prend soin de votre tension. Fini le dispositif en forme de sac de couchage miniature, que l’on s’attachait autour du bras et que l’on gonflait à l’aide d’une poire. Désormais le tensiomètre sans fil ressemble à un gros pansement, que l’on enroule autour du bras, Smartphone à portée de main.

Les données sont analysées en cloud, et l’utilisateur reçoit des informations sur sa pression artérielle. Pour ceux qui n’ont pas fait d’études de médecine, des indicateurs rouges et verts les renseigneront sur l’urgence des résultats. Et pour ceux qui ont la flemme d’ouvrir leur Smartphone, les données sont envoyées directement à leur médecin, qui les convoquera en cas d’anomalie.

Luna, le matelas intelligent


Il y a la voiture connectée, le téléphone connecté, mais jusqu’à présent on avait oublié le matelas. L’erreur est réparée, voici Luna qui en fait n’est pas un matelas mais une housse bardée de capteurs. Son principal atout est d’ajuster la température en fonction des mouvements du corps, du rythme cardiaque ou de la respiration. Les données sont envoyées sur un serveur distant via un Smartphone, où un logiciel emmagasine et analyse les informations récoltées indirectement par l’utilisateur alors qu’il était dans les bras de morphée.

bonne idée de commerce

Résultat : la housse enregistre ses habitudes et finit par préchauffer le matelas juste avant l’heure du coucher. Et ce n’est pas fini, car Luna peut se connecter à plein d’autres objets dans la maison. Elle peut gérer les serrures et les ampoules, et pourra bientôt agir sur l’électroménager. À l’heure où vous vous couchez elle éteindra les lumières et fermera les serrures, juste avant de vous lever elle mettra en marche la machine à café et le chauffage. Vous pouviez déjà le faire tout seul depuis plusieurs années, oui mais maintenant justement vous n’aurez plus à le faire.

Investir à Cuba: quelles opportunités ?

Cuba ce ne sont pas que les mojitos et la salsa, surtout depuis que le pays s’est rapproché des Etats-Unis. Tout est à reconstruire, et il y a de grosses opportunités à saisir pour qui souhaiterait investir dans l’immobilier à Cuba. Cette terre d’aventures peut devenir un nouvel eldorado, un peu comme investir au Maroc. Les américains ne s’y sont d’ailleurs pas trompés et prévoient d’arriver avec leurs capitaux pour faire des profits gigantesques. Les français, comme souvent, sont un peu à la traine, mais tentent de grappiller un morceau du gâteau, en tout cas pour ceux qui aiment prendre des risques, notamment dans l’immobilier locatif. Toutefois, avant d’aller mettre ses économies dans ce petit coin des caraïbes, il y a des choses à connaître. Alors, peut-on investir à Cuba ?

Les entreprises américaines vont investir massivement dans les années à venir !


Dès qu’il y a de bonnes affaires en jeu, les américains ne sont jamais les derniers, et le dégel en cours à Cuba va sûrement leur permettre encore de s’enrichir encore plus. Il faut dire que les pays où il y a de tels opportunités de gagner de l’argent sont de plus en plus rares. Ainsi, les investisseurs regardent les starts-up cubaines avec des yeux remplis de dollars, car beaucoup de ces jeunes entrepreneurs vont chercher des capitaux du côté des Etats-Unis pour se développer en faisant appel au capital risque outre-atlantique.

D’ailleurs, tout se met en place pour leur permettre d’accéder au marché américain facilement avec création d’entreprise sur place, compte bancaire, etc… Pour les cubains, c’est la certitude d’accéder au marché mondial, et donc de voir beaucoup plus grand.

Les secteurs porteurs


La technologie à la peine car pour l’instant, la fracture numérique entre Cuba et le reste du monde est énorme, – de 5% des foyers équipés pour recevoir Internet, et encore dans des conditions très encadrées par le régime. Mais quant tout le monde va s’y mettre, avec l’ouverture, il va y avoir de grosses opportunités. Des partenariats entre de grosses entreprises américaines et Cuba sont d’ailleurs entrain de se nouer en ce sens : communication, Internet haut débit, smartphone, équipement informatique…

Mis il n’y a pas que le digital où il est possible de profiter de l’ouverture des frontières. Il y a également beaucoup d’argent à gagner dans le tourisme, qui est déjà la principale ressource en devises du pays : hôtels, logements chez l’habitant (Airbnb va encore se faire beaucoup de sous), restaurants, activités touristiques…

L’hôtellerie à le vent en poupe

Depuis qu’Obama a décider de renouer les relations avec Cuba, on assiste à une nouvelle ruée vers l’or de la part de ceux qui ne veulent pas laisser passer le train. De nouveaux hôtels américains vont ainsi ouvrir prochainement pour les touristes et les voyageurs d’affaires, rappelant l’âge d’or des années 50. Les grandes chaînes sont sur les dents pour devenir leader d’un énorme marché, comme Starwood qui va investir des millions de dollars.

Il faut dire qu’il y a tant de bâtiment historiques à rénover dans la Havane pour faire des hébergements de charme qu’ont ne peut les compter. Il y a pour l’instant un gros manque dans le secteur car la grande partie des touristes doivent se rabattre pour le moment sur des hébergements gérés par l’état. Mais Airbnb et les grandes chaînes ne sont pas les seuls sur le marché. Un acteur géant du web, booking, va aussi commencer à proposer des hébergements sur place via sa centrale de réservation. Le service sera d’abord réservé aux voyageurs américains.

Et cela va générer d’autres investissements dans les infrastructures : transports en communs, routes, réseaux énergétiques, et même jusque dans l’agriculture.

Et la France dans tout cela ?


Et bien elle va pouvoir devenir un partenaire économique, tout en essayant de se placer pour faire partie des heureux élus qui vont accompagner Cuba dans son développement. Reste que pour le moment, les entreprises étrangères rencontrent encore quelques barrages administratifs, notamment en ce qui concerne le paiement en monnaie étrangère. C’est pourquoi Paris a décidé de créer un fonds directement sur place alimenté par la dette que lui doit Cuba.

investir à la Havane

Se lancer à Cuba n’est donc pas simple, et les prises de tête sont encore légions quand on vient de l’étranger. Car n’oublions pas que l’administration y est très lourde, que la notion de risque pour son capital y est encore très importante et que l’embargo n’est pas encore officiellement terminé. C’est la raison pour laquelle Hollande a emmené dans ses bagages plusieurs chefs d’entreprises françaises lors de sa dernière visite officielle.

Tous les groupes ayant de gros projets dans le pays étaient de la partie. Il faut dire qu’il y a de grosse sparts de marché à prendre dans le renouvellement des infrastructures de l’île, et que es contrats ne devraient pas tarder à tomber dans l’escarcelle de ses aventuriers des temps modernes, même si pour l’instant, ce ne sont que des belles paroles.

L’aéroport de la Havane bientôt géré par les français ?

La nouvelle peut faire sourire, et pourtant c’est dans l’ordre des choses possibles, en tout cas on en parle de plus en plus. Car le marché des aéroports cubains va bientôt s’ouvrir à la concurrence. Les touristes, eux, vont continuer à se déverser en masse, et encore, le phénomène va se multiplier.

Les aéroports vont donc devoir suivre, et dans leur état actuel, ce n’est guère possible, d’où la nécessité de les faire gérer par des investisseurs étrangers. Mais ADP n’est pas le seul à en vouloir. Les grands groupes aéroportuaires d’Amérique latine sont aussi sur les rangs, près à en découdre.

Des difficultés encore bien réelles


Mais pour réussir son business a Cuba, il faut se lever de bonne heure, car les obstacles ne vont pas manquer de se dresser sur le chemin de l’homme courageux. Il faudra faire des allers-retours dans le pays, et pas qu’un seul, Rome ne s’est pas construite en un jour ! Les entrepreneurs doivent donc comprendre qu’il faudra du temps avant que les projets aboutissent. Et puis, politiquement, tout n’est pas réglé à 100%.

D’abord, l’embargo est toujours présent, et puis il y a l’incertitude des élections, des 2 côtés : on ne sait pas quelle sera la position du successeur d’Obama, et de celui des frères Castro. Pour l’instant, le changement, ce n’est que dans les paroles, on attend donc des actes. Le quotidien des cubains n’a pas changé, en fin pas encore, et leur monnaie vaut toujours que dalle, quant aux infrastructures, mieux vaut ne pas en parler…

Et pourtant, des projets à Cuba, il y en a plein. Restent les sous. Les financements peinent à être débloqués, trop risqué pour le moment. Les banques, elles, ne la ramènent pas trop, de peur de se faire rattraper par le gendarme américain et de devoir payer des amendes monstrueuses. Et puis, pour le moment, nous sommes vraiment dans le court terme, la visibilité sur l’avenir étant plutôt réduite.

Internet a encore du chemin à faire

Car seulement 1% de la population y a accès ! En encore, dire que ça rame est un euphémisme. Car pour connecteur les geeks locaux, c’est sous la mer que cela se passe, avec un câble tendu entre Cuba et le Venezuela.

Quant au wifi, pour trouver du réseau, il faut être un petit génie, ou avoir la chance de se trouver tout près d’en endroit le recevant. C’est simple, à la Havane, il n’y en a que cinq. Pourtant, rien n’interdit d’avoir le wifi sur l’île, c’est juste que les infrastructures ne sont pas mises en place, ou bien ne fonctionnent pas, ce qui doit sans doute pour le moment bien arranger les autorités.

voyage cuba

Et les petits malins qui ont mis la main sur un business wifi parallèle le savent : c’est de l’or en barre. Ils vendent des cartes à 3 euros l’heure, et quand on sait qu’un cubain moyen gagne 20 euros par mois, on ri jaune. Et encore, pour ce prix, pas de fibre ultra rapide, mais quelque chose entre l’escargot et la tortue.

Il n’y a que Facebook et WhatsApp qui arrivent à tirer leur épingle du jeu au niveau du débit, sous la surveillance implicite du régime. Mais quel est le gouvernement qui ne surveille pas ses ouailles ?

L’autre solution consiste à avoir Internet chez soi. Peu sont les cubains à bénéficier de ce passe droit. Il faut qu’il y ait une vrai raison, comme celle d’être un médecin, un chercheur, ou un hôtelier. Car en plus de la connexion, il faut avoir un ordinateur ou un smartphone, et donc connaître quelqu’un de l’étranger qui peut le ramener dans ses bagages. Vous avez dit parcours du combattant ?

Investir dans l’immobilier à Cuba


C’est la nouvelle tendance, le prix de la pierre étant vraiment abordable, il est donc normal que L’immobilier locatif explose ! Car les touristes sont de plus en plus nombreux a vouloir passer leurs vacances chez l’habitant, et refusent en masse les hôtels club sans âme. Airbnb Cuba fait donc un carton auprès des américains qui sont pour l’instant les seuls à y avoir accès.

La croissance du site sur la destination ferait pâlir de jalousie n’importe quel entrepreneur du monde. Les américains reviennent à Cuba, et en masse, pour profiter de ses charmes, comme au bon vieux temps. De là à dire que c’est une page qui se tourne… Il se dit qu’un cinquième d’entre eux passe par la centrale de réservation pour particuliers. Les hôteliers « classiques » n’ont qu’à bien se tenir, surtout à la Havane, où l’offre est très forte et les habitants nombreux à proposer une chambre chez eux pour mettre du beurre dans les épinards.

Car les touristes visitent l’île par millions. On se dit donc que quand ils pourront tous passer par Internet pour réserver chez l’habitant, le phénomène devrait exploser, comme partout ailleurs dans le monde d’ailleurs.

Parmi les autres pays tendance et qui se sont ouverts au monde, à suivre actuellement, citons aussi l’Iran où des opportunités de bonnes affaires existent. Ce pays plait aux investisseurs car comme à Cuba, les marchés à prendre son énormes.

Tout savoir avant de s’implanter


S’implanter à Cuba, cela ne s’invente pas, et ça ne se décide pas non plus sur un coup de tête, car même si les portes s’entrouvrent, elles ne s’ouvrent pas encore en grand, et ceux qui ont de larges épaules doivent faire profil bas s’ils veulent passer. Pourtant, le gouvernement cubain a enclenché la première pour faire venir les investisseurs étrangers dans le pays avec la carotte que tous préfèrent : des incitations fiscales.

Mais tous les domaines de l’économie ne bénéficient pas encore de conditions similaires. Ainsi, les armées, l’école, la santé et les médias sont toujours la chasse gardée de l’état. Mais il y a pour l’instant encore largement à faire ailleurs et les projets encours dans lesquels interviennent les étrangers se comptent par centaines, principalement dans le tourisme, mais pas que.

Cuba, par exemple, a du pétrole, mais elle a besoin des étrangers pour le raffiner et le vendre. La Russie et la Chine, partenaires historiques ne sont donc plus les seuls à faire la pluie et le beau temps sur l’île.

Les raisons pour investir à Cuba

Si vous lisez ces lignes, c’est que cela vous démange déjà. Et pour alimenter votre moulin, sachez qu’hormis les 4 secteurs économiques cités un peu plus haut, il y a de la place pour tout le monde, surtout si votre prédilection concerne les nouvelles technologies ou les infrastructures. Fiscalement, c’est intéressant : de nombreuses zones franches ont été créées. Résultat : pas d’impôt sur le bénéfice ni de charges sociales sur le coût du travail, ni de droits de douane, et ce pendant 12 ans.

aller à Cuba

Mais attention, tant que l’état sera aux manettes comme il l’est actuellement, il faudra composer avec lui et accepter qu’il agisse comme un véritable partenaire, ce qui a ses mauvais côtés mais qui peut aussi permettre de lever des barrières. De plus, dire que cela est sans risque serait mentir. Mais le jeu en vaut la chandelle, à condition d’être solide financièrement.

Cuba Libre n’est pas que le nom d’un excellent cocktail. C’est aussi un futur proche. Toutefois, nul ne sait ni le jour ni l’heure. Avis aux joueurs et aux risque tout.

Les meilleurs placements financiers originaux: oeuvres d’art, vaches, diamants, manuscrits…

Avec des rendements de 0,75 % pour les livrets réglementés et de moins de 2,5 % pour les assurances-vie en euros, les particuliers pensent de plus en plus aux placements atypiques. Les livrets manuscrits, les fonds exotiques, les vaches, les diamants et le vin, voici qui peut sembler dissonant à l’oreille d’un épargnant. Pourtant le retour sur investissement peut être particulièrement intéressant, à condition de ne pas oublier les règles de la diversification et de l’information préalable. Mais quel est le placement le plus rentable à long terme ?

Investir dans le vin, et pas seulement en achetant des bouteilles


Il n’est pas nécessaire d’être un fin œnologue pour investir dans le vin. Aujourd’hui les groupements fonciers viticoles (GFV) proposent aux particuliers d’acheter des parts d’une exploitation, pour une rémunération variant de 1,5 % à 3 %. Il est possible d’être payé en bouteille, ce qui procurera un meilleur rendement après un séjour suffisant dans une cave.

Aujourd’hui acheter des vignobles représente un très bon investissement, grâce à l’intérêt des nouveaux riches des pays émergeants : chinois, thaïlandais et indonésiens en tête. Toutefois il s’agit d’observer la même prudence que si l’on achète et revend du vin en bouteilles. En fonction de ses moyens, l’investisseur se tournera vers des terres prestigieuses, plus aptes à prendre de la valeur dans le temps. À titre d’exemple, le prix d’un hectare de Pouilly-Fuissé a augmenté de près de 40 % au cours des 10 dernières années.

Les contribuables lourdement imposés apprécieront l’exonération des vignobles à l’ISF, et l’exonération partielle des droits de donation.

Placer son argent dans des fonds « exotiques »


Les fonds exotiques souffrent d’une appellation faisant penser à un paradis fiscal inscrit sur la liste noire de toutes les administrations du G8. Il n’en est rien, ce label se réfère à un panier regroupant des fonds souverains de pays émergeants avec ceux de pays développés. Les gestionnaires les choisissent en fonction de la population qui doit être jeune et nombreuse, et de la présence de ressources naturelles.

Ces 3 facteurs doivent logiquement permettre une croissance économique, les déflations et autres dépressions ne sont pas retenues. L’intérêt des fonds exotiques réside dans leur inconvénient : la volatilité. Alors que les marchés émergeant ont subi des pertes de l’ordre de 9 % en 2013, ce type d’investissement a pris 21 % au cours de la même période.

Fluctuations

S’il n’est pas rare de voir des gains de 50 %, l’inverse peut également se produire et l’investisseur pourrait perdre la totalité de sa mise. C’est pourquoi il est conseillé de conserver ces parts à l’intérieur d’un portefeuille global, sans dépasser 5 %.

A lire aussi : comment s’enrichir avec la bourse ?

Miser sur des entreprises via le financement participatif


financement participatifLes particuliers disposant du temps et des connaissances nécessaires, peuvent participer à des rencontres entre Business Angels et entrepreneurs. Ils se pencheront particulièrement sur la personnalité des dirigeants, et tenteront d’établir les chances de réussite à l’intérieur du marché concerné.

Mais il existe des solutions plus simples au travers des nombreuses plates-formes de financement participatif. Plutôt que de prendre le risque de miser une grosse somme sur 1 ou 2 sociétés, les particuliers disposant de peu de temps et de connaissances peuvent investir dans plusieurs sociétés.

Placer son argent dans une start-up peut rapporter beaucoup

A condition de n’espérer de rendement qu’au moment de la vente des parts. Car il n’est que très rarement question d’une rétribution mensuelle ou trimestrielle. Une fois l’objectif économique atteint, les dirigeants décident de distribuer des dividendes aux actionnaires.

Ces derniers peuvent également choisir de céder leurs actions, afin de se payer sur le bénéfice réalisé. Aujourd’hui ces investissements ne sont plus si atypiques que cela, car les plates-formes de crownfunding doivent être inscrites à l’ORIAS.

Acheter de l’art, le conserver et le revendre


Si l’on veut gagner de l’argent avec l’art, il est impératif de s’y connaître. Certes il existe des fonds et des structures en indivision, dans lesquels chaque participant détient une part ou une quote-part. C’est alors aux gestionnaires d’acheter et de vendre, l’investisseur recevant son dû à chaque plus-value. Cependant il est nécessaire de bien connaître la structure, car l’actionnaire n’a pas de réelle visibilité sur l’activité d’achat – revente.

Celles et ceux qui ont réalisé le plus de bénéfices avec les œuvres d’art, se sont tournés vers des artistes en début de carrière, dont la renommée commençait à grandir. Ils ont diversifié leurs achats et ont conservé pendant longtemps.

Les collectionneurs ayant acheté des tableaux du peintre contemporain chinois Zang Xiaogang, ont dû mettre 50 000 € sur la table il y a 20 ans. L’année dernière, ces toiles se sont vendues 1 million d’euros en moyenne. Le tout avec une fiscalisation réduite, au nom de la conservation du patrimoine culturel.

Les vaches, les diamants et les manuscrits


acheter des diamantsInvestir de l’argent pour un rendement mensuel immédiat de 5 % ? Choisissez les vaches. Plusieurs fonds récoltent la mise des particuliers, et les destinent à des éleveurs laitiers.

Ces derniers rétribuent les investisseurs en leur versant une part mensuelle, et une assurance protège le capital investi en cas de décès ou de maladie du cheptel. Les parts se revendent, mais ne se valorisent pas dans le temps. Il n’en reste pas moins que le calcul démontre que les vaches rapportent plus qu’une assurance-vie.

Tout le monde peut acheter un diamant, fût-il de la taille d’une tête d’allumettes. Simple à dissimuler, il n’est pas nécessaire de payer des frais de coffre bancaire, et la pierre précieuse peut être échangée à tout moment. Au contraire de certains placements, la trésorerie est disponible en revendant le diamant, si possible avec bénéfice, sur un marché spécialement prévu à cet effet.

Est-ce une bonne idée d’investir dans les diamants ?

Mis à part l’amour que leur porte les femmes, le diamant a bien d’autres qualités pour l’investisseur. D’abord il résiste très bien aux différentes crises financières qui traversent les décennies. Même si aucune valeur n’est à l’abri des bulles, la pierre précieuse a quand même de quoi leur résister à condition que le marché ne perde pas la boule.

Le mieux, c’est de regarder sa courbe depuis un siècle. Elle est rectiligne. La valeur des diamants monte doucement mais sûrement, un peu chaque année. Un complément d’épargne donc, à mettre dans son portefeuille de valeurs en cas de coups durs.

En posséder quelques uns, c’est ne pas avoir trop de mal à bien les revendre, dans un futur proche ou lointain. En plus, il devient de plus en plus rare, donc la courbe ne devrait pas s’inverser.

Ne pas acheter n’importe quoi

comment-acheter-un-diamantEn effet, tous les diamants n’ont pas la même valeur, et ne se négocient pas de la même façon. Ainsi, il faut éviter les petites pierres. En dessous de 0,5 carat, c’est prendre un grand risque : il ne sont pas certifiables, et le marché est rempli de contrefaçons. Il vaut donc en acheter moins, mais de meilleures qualités : incolores (de D à F), pures et qui dépassent les 0,5 carats, mais sans dépasser les 2 carats (difficiles à revendre du fait de leur rareté).

A éviter aussi : les intermédiaires sulfureux et le diamant papier, qui n’est rien d’autre qu’une spéculation pouvant se transformer en feu de paille.

Une fiscalité à prendre avec des pincettes

C’est un peu comme pour l’or : c’est un peu compliqué. L’acheteur peut choisir son régime fiscal et opter pour la taxe forfaitaire de 6% ou pour celle sur la plus-value de 34,5%. A cela s’ajoute des exonérations, des abattements, et de la TVA.

Placements atypiques les précautions à prendre


L’AMF (Autorité des Marchés Financiers) rappelle que les marchés atypiques ne sont pas soumis à son contrôle. Si l’organisme ne dément pas la possible rentabilité, ses responsables invitent les investisseurs à se renseigner sur la structure proposant le produit. Où est-elle basée, quel est le nom des dirigeants ?

Il est également important de se renseigner sur la totalité des frais, et de s’assurer que l’on pourra revendre le produit acquis sur un marché existant. Enfin dernière précaution non négligeable : identifier impérativement les règles et facteurs qui déterminent la valeur de l’objet.

De nouveaux pouvoirs pour l’AMF

amfElle surveille les placements atypiques de très près, et ses pouvoirs viennent d’être élargis, en faisant plus que jamais un gendarme craint. Cette augmentation des contrôles est encore au stade de projet, mais celui-ci devrait voir le jour, tant le diamant et autres investissements atypiques (oeuvres d’arts, terres rares…) sont des placements qu’il est nécessaire d’encore mieux surveiller.

Le but, encore une fois, est de protéger le particulier de tous les excès. Les arnaques sont légions dès que les promesses de rendements miracles s’amoncellent et les escrocs pullulent. Les publicités qui promettent monts et merveilles vont ainsi être dans l’oeil du viseur.

Voilà, vous savez tout. Ne vous reste plus qu’à devenir riche maintenant. Bon courage.

Revendre un nom de domaine: ça peut rapporter gros !

Il est facile de gagner de l’argent avec Internet, en investissant dans les noms de domaine. Les NDD ne coûtent pas cher à l’achat, mais peuvent se revendre avec une belle plus-value, à condition d’être le propriétaire d’un terme recherché par les entreprises. Acheter des noms de domaine pour les revendre est devenu un vrai business, certains passant même par la vente aux enchères pour s’en séparer. Attention toutefois à ne pas vous tromper sur l’estimation de votre propriété : il y a aussi des NDD qui ne valent rien. Méfiance donc si vous êtes à l’achat.

Devenir riche avec la revente d’un nom de domaine


Le roi du secteur, et celui qui est pour beaucoup un exemple à suivre se nomme Rick Schwartz. Il ne se concentre que sur les termes qui peuvent lui faire gagner des millions de dollars, et pour lui, ça fonctionne. Il est exemple parmi d’autres de ceux qui ont fait de cette activité un métier lucratif à l’étranger, même si tout reste dans le virtuel.

Un domaineur achète un nom de site qui est libre. Une fois propriétaire, il peut choisir de le monétiser lui même ou bien de faire grimper les enchères pour le vendre au plus offrant. Si vous achetez un NDD avec le terme banque à l’intérieur, il y a fort à parier que vous allez intéresser les poids lourds du secteur, à condition d’en trouver un de libre auquel personne n’avait encore pensé.

Mais les poules aux oeufs d’or sont de moins en moins nombreuses, il va donc falloir vous creuser la cervelle pour anticiper les prochaines tendances. Les véritables gagnants sont ceux qui ont acheté au début du net, il y a 20 ans, même s’il reste encore de gros coups à faire.

Les conseils d’un domaineur, expert en achat-revente

Comment vendre un nom de domaine ? Pour que cette activité rapporte un jour de l’argent, il faut faire les choses dans l’ordre et pas par dessus la jambe. D’abord, sachez que l’enregistrement à un coût, d’environ 10 euros par an. Et encore, il s’agit là d’achat auprès de sociétés étrangères comme OVH, les français étant un peu plus chers.

Ainsi, posséder 1000 noms de domaine, c’est 10 000 euros à sortir chaque année, et les échéances font mal au portefeuille du domaineur français qui a été trop gourmand. De la même façon, ne vous risquez pas à acheter des noms de sociétés. C’est puni par la loi, à partir du moment où vous ne les exploitez pas.

Bien vendre

Reste la question de la vente. Où trouver l’acheteur, et à quel prix ? Tout va dépendre des mots-clés qui s’y trouvent et de leur fréquence de recherche sur le web. Plus un terme est demandé par les internautes, et plus un nom de site le contenant aura de chance d’être bien positionné sur les moteurs de recherche. A partir de là, les acheteurs, qui ont des outils d’analyses pointues se manifesteront.

Vous ne devez donc acheter qu’en pensant à la revente, et ne pas vous focaliser sur les NDD à faible valeur ajoutée. Une fois l’affaire conclue, la transaction peut prendre un peu de temps car il y a quelques formalités à respecter. Enfin, comme pout toute entreprise, n’oubliez pas de prendre en compte la fiscalité.

SEDO : le plus gros site d’enchères


C’est une place des marchés gigantesque virtuellement depuis 10 ans, avec plusieurs millions de membres. Le monde entier (ou presque) s’y donne rendez-vous pour acquérir ou vendre des NDD. Le catalogue en .com est important, et pour 100 euros, on peut déjà en acquérir un avec un peu de potentiel. Plusieurs formules d’achat : à prix fixe, aux enchères, après négociation. SEDO s’occupe du transfert une fois l’affaire faite.

vendre un nom de domaine

Les tendances du marché

Le prix moyen de vente est à la hausse pour le .com et le .fr, le .net et le .org ayant tendance a régresser. L’année dernière, un seul nom de domaine a dépassé le million. Il est donc encore possible de gagner de l’argent avec ce système, mais beaucoup moins qu’avant. Pour l’anecdote, ebola.com a par exemple été vendu plus de 150 000 euros. Il y en a que l’actualité dans ce qu’elle a de pire inspire… Même france.com a récemment été vendu.

Les NDD font partie de ces investissements auxquels on ne pense pas. C’est un marché de niche qui mérite qu’on s’y intéresse. Il n’est pas nécessaire d’avoir de grandes connaissances informatiques pour y exceller comme c’est le cas dans l’Internet des objets . Il faut juste avoir du nez, comme souvent.

Investir Dans Une Ferme: Vache Laitière et Poule Pondeuse

Qu’est-ce qui rapporte plus que la bourse ? Réponse : le placement d’argent dans les vaches laitière pour les confier à un exploitant permet un rendement de 4 % à 5 % par an. Et si vous réinvestissez votre rendement dans l’achat d’autres bêtes, vous obtenez un investissement moins risqué que les actions, et qui rapporte plus. Une autre astuce consiste à acheter une poule pondeuse pour économiser le coût sans cesse grandissant des œufs. Petit tour sur ces placements financiers d’un nouveau genre, qui rapportent régulièrement et sans risque.

Placement d’argent dans les vaches, comment ça marche ?


Un investissement à moins de 2000 €

Le prix varie de 1200 € à 1850 €. Il est donc possible de démarrer son investissement avec un petit budget, ou de miser d’entrée sur un troupeau si l’on dispose de suffisamment de capital. Le prix dépend de sa race, mais en particulier de son poids. Il est préférable d’opter pour une jeune, mais suffisamment mature pour produire du lait. Au fur et à mesure de sa croissance elle prendra du poids, et donc de la valeur.

Un rendement annuel entre 4 % et 5 %

C’est un investissement qui rapporte régulièrement et sans risque, eu égard aux besoins alimentaires de la planète. Selon une étude du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat), en 2050 l’être humain devrait consommer en moyenne 500 g de viande et 1 l de lait par semaine. La croissance de la population fait qu’à cette date, il y aura 34 % de personnes en plus sur la terre. Tout le monde a besoin de lait, et tout le monde a besoin de viande. Même le lait en poudre est fabriqué à partir du lait de vache.

Ces bonnes perspectives permettent d’obtenir un rendement compris entre 4 % et 5 %. Au départ, vous achetez une vache laitière sans jamais la voir. Elle sera confiée par le vendeur à un éleveur. À charge de ce dernier de la nourrir et de la soigner, il doit par ailleurs disposer d’une assurance. L’éleveur tire ses revenus de la vente du lait. Tous les ans, il verse un loyer au vendeur, qui en retour vous verse un revenu compris entre 4 % et 5 %.

À partir de là, vous disposez de 2 options : augmenter votre cheptel ou encaisser votre rendement.

Option augmentation du cheptel

La stratégie consistant à réinvestir le rendement obtenu par l’achat d’une vache est très intéressant. Dans cette configuration, vous utilisez les revenus perçus pour acheter une plusieurs supplémentaires. Vous pouvez également en racheter de vos propres économies pour augmenter votre cheptel. Pourquoi le feriez-vous ? Parce qu’il s’agit d’un investissement moins risqué que les actions, et qui rapporte plus que la bourse.

Prenons un exemple. Admettons que vous en achetiez 20 la première année, et que vous réinvestissiez le rendement tous les ans, sans en acheter de supplémentaires. Au bout de 10 ans vous obtenez 28 têtes de bétail.

Prenons un autre exemple

Admettons que vous en achetiez 6 par an au prix de 1167 € par tête, pendant 8 ans. Admettons que tous les ans vous réinvestissiez le rendement dans l’achat d’autres têtes de bétail. Au bout de 8 ans, vous possédez un troupeau de 55 bêtes, d’une valeur de 64 185 €.

Il est intéressant de constater que la stratégie consistant à réinvestir les rendements dans le placement même, est recommandée par les ténors de la bourse sur une durée de 35 ans. Effectivement, des études montrent que des actions du CAC 40 détenues pendant 35 ans et dont les dividendes sont réinvestis pour l’achat d’actions supplémentaires, permettent un rendement moyen de 10 %.

Le simple calcule ci-dessous montre que le placement d’argent dans les vaches rapporte plus que la bourse.

Option perception de rendement annuel

L’investisseur peut à tout moment choisir d’encaisser les bénéfices annuels. La plupart des solutions existantes présentent de la souplesse d’utilisation. Vous pourrez ainsi varier votre stratégie au fil des années, et au fil de vos besoins financiers. Mais attention, la vache est un placement financier sans capital garanti et sans possibilité de trésorerie disponible.

Placer son argent ainsi avec réflexion

acheter une vache

Si le coût d’achat est en moyenne de 1500 €, il ne s’agit pas d’un bien qui se revend rapidement sur le marché secondaire. Si vous avez besoin de trésorerie rapidement, vous aurez le droit de vendre votre animal à l’abattoir, mais n’en tirerez qu’une somme comprise entre 800 € et 900 €. Cet investissement doit donc se faire sur un moyen à long terme, en ciblant un volume qui ne sera pas handicapant pour votre budget.

Comment acheter une vache en France pour investir

On trouve plusieurs sociétés en France, spécialisées dans ce placement d’argent. L’intelligence du système est qu’il est mutualisé. Si vous achetez effectivement une herbivore, vous ne savez pas dans quelle exploitation elle se trouvera, et d’ailleurs vous ne connaîtrez même pas son nom.

Le principe de la mutualisation fait qu’en cas de maladie, vous continuez de percevoir votre rendement car le manque à gagner est partagé entre tous les investisseurs. On s’aperçoit vite qu’il s’agit d’un investissement moins risqué que les actions.

D’autant plus que l’exploitant a l’obligation de détenir une assurance. L’assureur indemnisera le système mutualisé en cas de mort, de perte ou de vol de l’animal.

Acheter une poule est un placement


Le prix des œufs augmente

Étant donné que le prix des œufs augmente, la poule aux œufs d’or est maintenant une gentille gallinacée que l’on trouve aux quatre coins des fermes. Car le prix a augmenté de 60 % de 2000 à 2010, et il continue de s’envoler du fait des nouvelles normes européennes.

Les enclos doivent maintenant laisser 750 cm² par bête, ce qui a pour effet d’augmenter les coûts de production, coûts qui bien entendu se répercutent sur le consommateur. À la décharge des éleveurs, force est de constater qu’ils n’ont pas le choix face au montant des prélèvements fiscaux et sociaux.

C’est ainsi que le coût industriels s’est envolé de 10 % à 20 % dès les premiers mois de la mise en application de cette mesure. Et encore, on ne parle pas d’œufs frais pondus par un animal élevé au grain de blé et de maïs.

Vous aussi pouvez en acheter une

Une seule est capable de pondre 280 fois par an, soit près d’un œuf par jour. Et quand on sait que son prix oscille entre 10 € et 20 €, on réalise tout de suite les économies potentielles. À raison d’un prix moyen de 2,50 € pour une boîte de 6 œufs fermiers bien frais et bien beaux, votre poule pourrait produire 117 € par an. Pour un coût d’achat de 20 € maximum, cela représente une belle économie, une vie saine et de la nourriture fraîche au petit déjeuner.

placer son argent dans des poules

Mais attention, la petite a besoin d’espace et d’une bonne alimentation. Un balcon peut suffire, un jardin c’est encore mieux, encore faut-il la rentrer au chaud l’hiver et la protéger du soleil l’été.

Les Américains l’ont déjà adopté

Si les Américains l’ont déjà adoubé dans les villes, c’est que ça marche. À Brooklyn, les habitants ont formé le club des éleveurs en ville. Dans un pays où l’aide sociale n’est pas la plus performante du monde, on apprécie d’avoir des œufs frais gratuitement. Les jardins communautaires accueillent donc de plus en plus de gallinacée, les produits de la ponte étant répartis entre tous les co-jardiniers.

Et lorsque qu’elles pondent moins ? Elles finissent en bouillon.

Les poules, les vaches et la fiscalité

Acheter une poule dans le seul but d’en consommer soi-même les œufs ne donne lieu à aucun impôt supplémentaire. Le propriétaire ne devra payer d’impôts qui s’il tire des revenus de la vente de ce qu’elle produit. Encore que l’administration fiscale n’ira pas à se déplacer pour une vingtaine de bêbêtes…

En revanche, les revenus perçus du placement dans les vaches donnent lieu à une imposition supplémentaire. Mais heureusement, il y a des bonnes surprises., Il doit être déclaré en tant que bénéfices agricoles imposés au régime réel normal. Ce régime fiscal vous permet d’amortir le prix afin de vous créer un déficit.

Admettons par exemple que vous en achetiez une à 1500 €, et que la première année vous perceviez un rendement de 75 €. Admettons que vous souhaitiez l’amortir sur 5 ans, cela représente 300 € par an. Vous avez donc 75 % de revenus en plus, vous amortissez 300 €, vous êtes donc en déficit de 225 €.

Vous pouvez utiliser ce déficit de 2 manières. Premièrement, vous pouvez le reporter sur vos revenus afin de diminuer votre base imposable. Deuxièmement, vous pouvez reporter ce déficit sur vos autres bénéfices agricoles des 6 années suivantes. C’est moins risqué que les actions, ça rapporte régulièrement et sans risque, et en plus on défiscalise…

Investir dans l’or ou le diamant: quel cours va monter ou baisser ?

Le placement dans l’or a été très attractif depuis le début de la crise économique mondiale en 2008. La hausse du cours du lingot d’or en a rendu riche plus d’un, en passant de 17 477 € en décembre 2007, à 43 296 € en août 2012. Après ces années fastes, le cours de l’or a diminué sans s’effondrer, et aux dernières observations il pourrait suivre une évolution à la hausse. Et il n’est pas le seul, car la valeur du diamant a augmenté de l’ordre de 20 % d’année en année, alors qu’il n’est sujet à aucune cotation. L’investissement dans le diamant commence à faire des émules, attirés par les promesses de croissance chinoise.

Bilan sur le cours de l’or


Baisse du prix de l’or actuel

Au cours de l’année 2013, le prix de l’or a chuté de 28 % en dollars, terminant ainsi sa première année en repli depuis le début du XXIe siècle. Il naviguait autour des 1216,10 US$ l’once au début du mois de février 2014. 

À titre de référence, en décembre 2012 la cotation d’un lingot d’or à Paris était de 41 360 €. La tendance est partie drastiquement à la baisse, puisque ce même lingot ne valait plus que 28 606 € en décembre 2013. Rien de dramatique cela dit, la cotation du lingot d’or est toujours 2 fois plus élevée qu’en décembre 2004, date à laquelle elle se situait autours des 10 000 €.

Mais pourquoi le cours mondial de l’or baisse ?

De nombreux spécialistes expliquent la baisse du prix de l’or par la chute du prix des matières premières. D’autres explications avancées sont les risques de déflation dans la zone euro, c’est-à-dire la baisse des prix. Le placement dans l’or fait figure de refuge en cas d’inflation, pas en cas de déflation. Enfin, à la mi-décembre 2013 la réserve fédérale américaine a annoncé la fin progressive de son plan de soutien à l’économie. Cette annonce fut le signe pour beaucoup d’une reprise de l’activité de la première puissance économique mondiale, par conséquent le précieux métal jaune pris de moins en moins de place dans les projets des investisseurs.

Prévision du cours de l’or en 2015

Il semble que les géants producteurs d’or aient été trop optimistes sur la consommation mondiale du précieux métal. Les plus grands acteurs du milieu s’étaient basés sur une cotation entre 1500 $ US et 1400 $ US de l’once, alors que celle-ci est descendue à 1220 $ fin 2013. Par conséquent ils devront bien baisser leur production, certains ayant même annoncé une réduction de 7 % de leur production d’or en 2014. 

La question que tout le monde se pose est quel sera le cours de l’or en 2015 ? La Banque Centrale de Chine, certaines banques centrales d’Asie et du Moyen-Orient semble penser que la baisse du prix de l’or ne durera pas. Pour preuve, elles ont profité de la cotation avantageuse pour acheter le précieux métal jaune en masse. Et ce que l’on sait pour sûr, et que les analystes les plus doués ne travaillent pas pour les journaux mais pour les banques centrales…

Faut-il acheter de l’or ?

La règle des marchés financiers veut que l’on achète lorsque les cours baissent. La règle de l’optimisation financière veut que l’on attende le point précis d’inversion de la courbe pour acheter. La réalité nous apprend que seuls les chanceux arrivent à acheter de l’or précisément sur le point d’inversion. Et si l’on observe d’un peu plus près le marché aurifère, on s’aperçoit que certaines compagnies cotées sur le marché secondaire ont des coûts de production largement en dessous de la cotation actuelle de l’or. Cela devrait préserver l’attractivité de leurs actions, voire stabiliser les cours.

La valeur du diamant


combien vaut un diamant

Y a-t-il un cours du diamant ?

Il n’existe pas de cours officiel du diamant. En revanche, certaines grilles d’évaluation apparaissent régulièrement sur le marché, c’est le cas du  «Rapaport» duquel les professionnels se basent pour fixer leurs prix. Martin Rapaport est un professionnel connu et reconnu pour son expertise en termes de valeur du diamant. C’est lui qui a établi les premières listes des prix de diamant en 1978, listes aujourd’hui indissociables du marché diamantaire. Il a maintenant créé un site intitulé RapNet, qui permet aux internautes de connaître les prix du diamant, à défaut d’une cotation officielle.

Quel sera le cours du diamant en 2015 ?

S’il n’y a pas de cours officiel du diamant, il y a donc la fameuse liste de Matin Rapaport. Il y a également les estimations de plusieurs professionnels du marché, et surtout la demande grandissante des pays émergeant. En Inde et en Chine on aime l’or, et l’on vénère le diamant. En 2012 des courtiers en diamant prévoyaient une hausse du cours du diamant, et ils ne se sont pas trompés. Il existe beaucoup trop de diversité dans les diamants pour donner un chiffre général. Il est cependant raisonnable de tabler sur une tendance à la hausse de la valeur du diamant.

La Chine, pour ne citer qu’elle, représente actuellement moins de 15 % du marché diamantaire. Mais la classe moyenne se développe, et le nombre de millionnaires augmente. On estime que les Chinois pourraient représenter 40 % des acheteurs de diamant à l’horizon 2020. Quand bien même cette proportion ne serait pas atteinte, l’augmentation de la demande suffirait à faire monter le cours du diamant.

Comment investir dans l’or et le diamant


L’investissement dans le diamant

Les frasques des milliardaires amoureux de starlettes ont contribué à l’établissement d’une image luxueuse, qui colle au diamant depuis des années. Pourtant il n’est nul besoin de signer un chèque à plusieurs zéro pour effectuer un investissement dans le diamant. 

Certaines sociétés proposent à des particuliers d’acheter une part de diamant. Le montant de la part est déterminé en fonction du carat, et dans certains cas le ticket d’entrée peut même être de 20 €. Une manière intelligente de profiter des hausses du cours du diamant, exactement comme on le ferait pour un placement immobilier ou financier.

Acheter des diamants physiquement

L’achat de diamant le plus commun se fait sous la forme d’un bijou monté, que l’on porte sur soi dans les grandes occasions et que l’on enferme dans un endroit sécurisé le reste du temps. Le diamant se transmet de génération en génération, ou se revend monté sur son bijou lorsque l’on constate une hausse du cours suffisamment importante. Ceux qui désirent réaliser un simple investissement dans le diamant pourront acheter la précieuse pierre, et la tenir en sécurité dans un coffre à la banque.

Car c’est là un des nombreux avantages de l’investissement dans le diamant : il est possible de transporter une forte valeur dans une poignée de main. La valeur de certains diamants équivaut à celle d’une valise remplie de lingots d’or. C’est toujours plus discret, moins lourd, et par conséquent les transactions de diamant présentent beaucoup moins de frais.

Les précautions à prendre lors d’un investissement dans le diamant

La seule chose que la plupart du commun des mortels sait d’un diamant, est qu’il brille. Excellente raison pour des courtiers peu scrupuleux de proposer des pierres s’apparentant au cristal, et dont la valeur pourrait peut-être permettre de se payer un café au bistrot du coin. Le diamant reste un investissement intéressant, surtout l’égard à la hausse probable de son cours, mais à condition qu’il soit vérifié et certifié.

Il est ainsi recommandé d’acheter un diamant muni d’un certificat. La Gemological Institute of America (GIA) est une organisation mondiale, visant à éduquer le public sur l’évaluation des pierres précieuses. Un certificat de valeur et d’authenticité délivrée par le GIA suffit pour vous rassurer dans votre achat. Vous pouvez également vous adresser au High Diamond Council (HRD) en Belgique, à l’International Gemological Institute (IGI) ou à l’European Gemological Laboratories (EGL).

L’idéal est que le diamant soit marqué d’un numéro de certificat au laser. Il peut également être acquis emballé sous vide dans une gaine de protection en plexiglas. En tout état de cause, la présence du certificat de valeur s’impose.

Placement dans l’or, comment ça marche ?


placement or

La manière la plus simple d’acheter de l’or est de se rendre à sa banque, et d’acheter de la monnaie en or. Napoléon, Louis, chacune de ces pièces dispose de sa propre cotation. Ensuite, il est préférable de laisser ladite pièce dormir tranquillement dans les coffres de ladite banque. Une fois la hausse des cours suffisamment importante, on pourra revendre sa pièce et profiter de la plus-value. Précisons que le cours des pièces d’or n’est pas le même que celui des lingots d’or. Il est bien entendu indexé sur le prix de l’once, mais la valeur historique des pièces d’or joue un rôle sur leurs cotations.

C’est pourquoi il est souvent conseillé aux novices de se tourner vers le lingot d’or, et pas forcément pour un budget important. Le lingot d’or de bourse pèse entre 995 gr et 1005 gr. À l’extrême, les lingots d’or accumulé dans les sous-sols de la Banque de France pèsent 12,5 kg chacun. Certaines sociétés permettent intelligemment aux investisseurs d’acheter des lingots, fondus en fonction du montant désiré de l’investissement. Car le cours de l’or est fixé à l’once, à partir de cela il est possible d’obtenir un lingot grand comme le petit doigt, ou large comme un bras de Mike Tyson.

Acheter des actions de producteurs d’or

Il est également possible d’acheter des actions de sociétés minières productrices d’or. Il s’agit là d’une forme d’investissement dans l’or, dont la stratégie se base sur des données commerciales et comptables. Les actions d’un producteur d’or pourraient très bien baisser alors que le cours de l’or augmente, et inversement.

C’est pour cette raison que les puristes déclarent que l’investissement dans l’or doit se faire en détenant physiquement un Napoléon, un Louis ou un lingot dans les coffres de sa banque ou d’une société spécialisée.

Placement tontine: Le Conservateur

Peu connu de l’épargnant moyen, le placement en tontine existe depuis le XVIIe siècle. Il consiste en une association d’épargnants, mettant des fonds en commun sur une durée temporaire ou viagère. La particularité du système est qu’en cas de décès de l’un des épargnants, sa participation se transmet aux autres sans qu’il ne s’agisse d’une succession. Les placements en tontine offrent donc des avantages patrimoniaux, et peuvent s’appliquer à une large gamme de produits. Le groupe Le Conservateur est présent sur le marché des placements en tontine depuis 170 ans, et vous propose entre autre des assurances-vie dont le rendement est supérieur à la moyenne.

Le principe de la tontine


Le fonctionnement de la tontine

Un placement tontinier consiste en une association d’épargnants, investissant communément dans un produit financier ou immobilier. La différence avec les fonds de placement classiques, est que la propriété totale revient aux survivants. Plus encore, lorsque le dernier vivant reçoit la propriété, il ne s’agit pas d’une succession mais de la simple réception d’un droit.

Mais la tontine n’est pas forcément viagère, elle peut s’effectuer sur une durée déterminée. À la fin de cette durée, l’actif est réparti entre tous les épargnants. Si entre-temps l’un d’eux venait à décéder, son actif serait réparti entre les autres. Il s’agit donc d’un bon moyen pour transmettre un patrimoine à des proches et de les protéger contre d’autres personnes.

Les différents types de tontine


On distingue deux types de pacte tontinier : la tontine immobilière et la tontine financière. 

Dans le cadre d’une tontine immobilière, les épargnants acquièrent un bien immobilier en commun. Admettons qu’ils soient en couple, lorsque l’un des deux décède le pacte tontinier prend fin et le survivant récupère le bien immobilier en pleine propriété, sans qu’il ne s’agisse d’une succession. Attention toutefois, le survivant devra s’acquitter de droits de succession classiques. Cependant, le bien immobilier est à lui et ne pourra pas être récupéré par des héritiers si toutes les dispositions ont été prises.

Dans le cadre d’une tontine financière, la même configuration se présente mais avec des placements. Il peut s’agir d’assurance-vie, de contrat de prévoyance d’épargne retraite ou de tout autre support. Reprenons l’exemple d’un couple. Admettons qu’ils utilisent la tontine pour souscrire une épargne-retraite. Une fois les droits à la retraite acquis et validés, le couple perçoit la rente prévue, qu’il utilise pour la communauté de vie. 

L’historique de la tontine

En 1653, le cardinal Mazarin fut chargé par le roi Louis XIV de lever des fonds pour financer l’État. Un banquier italien du nom de Lorenzo Di Tonti, lui apporta alors une solution sur mesure. Cette solution consistait à proposer à des investisseurs de percevoir une rente viagère, en l’échange d’une épargne. Au décès de chaque investisseur, sa part d’épargne revenait à l’État. Une fois le dernier des épargnants du cercle décédé, l’État de Louis XIV recevait la totalité du capital.

Cette configuration n’est plus en vigueur aujourd’hui, car en cas de décès de l’un des épargnants sa part est répartie entre les autres.

Les placements en tontine


investir dans une tontine

Assurance-vie

Le principe de la tontine peut permettre de souscrire une assurance vie. Comme dans tout contrat classique, la formule multisupport est disponible chez le groupe Le Conservateur. Ses performances ont été de 3,50 % en 2013, net de frais et hors prélèvements sociaux. 

Il est également possible de souscrire une assurance vie encore plus personnalisée sur le principe de la tontine. Chez Le Conservateur, ce produit s’appelle Hélios Sélection et a produit 3,75 % de taux de rendement en 2016, net de frais et hors prélèvements sociaux.

Placements financiers

La tontine étant une association d’épargnants, elle peut également s’appliquer aux placements financiers. Le Conservateur dispose de plusieurs solutions, allant du fonds monétaire au fonds obligataire, en passant par des fonds d’actions et des fonds diversifiés. 

Immobilier, métaux précieux, valeur des principaux indices, les épargnants souhaitant associer le principe de la tontine avec la rentabilité des meilleurs placements seront séduits par cette formule.

Épargne retraite

Le Conservateur propose 2 placements d’épargne retraite, basés sur le principe de la tontine. La formule du Plan Épargne Retraite Populaire (PERP) conservateur a permis un rendement de 4,10 % 2013, net de frais hors prélèvements sociaux. La fiscalité des contrats PERP permet aux salariés de déduire une partie des cotisations de leurs revenus imposables.

Le contrat MIP retraites sélection est tout désigné pour les travailleurs non-salariés (TNS). Suivant le principe de la loi Madelin, il permet aux indépendants de déduire une partie des cotisations de leur chiffre d’affaires. Le rendement en 2013 fut de 3,75 %, hors frais et prélèvements sociaux.

Prévoyance

Le conservateur propose 2 contrats de prévoyance en tontine. Le meilleur peut permettre d’obtenir jusqu’à 5 millions d’euros de capital garanti, le second permet d’obtenir jusqu’à 80 000 € de capital garanti. 

L’intervention du pacte tontinier ne change rien à la réglementation ni aux garanties, elles sont les mêmes que celles que l’on trouverait dans un contrat de prévoyance hors tontine. L’avantage du pacte tontine est que le capital prévoyance peut être octroyé à une personne n’entrant pas dans le cercle des héritiers.

Focus sur le groupe conservateur


économies tontine

Un réseau de 600 agents

La France métropolitaine, la Corse et les DOM-TOM content 600 agents membres du réseau Le Conservateur. Dans le cadre de la gestion de patrimoine, le rapport humain est primordial, par conséquent il est nécessaire de disposer d’une agence proche de chez vous. C’est chose faite avec l’implantation d’un réseau de professionnels expérimentés, couvrant tout le territoire français.

Fort de 170 ans d’expérience

En 1844, Eugène Riffault alors censeur de la Banque de France et le général Edmond Riffault, alors commandant de l’école Polytechnique, créent Les Associations Mutuelles Le Conservateur. L’objectif était de développer le système de la tontine imaginé 2 siècles auparavant.

Aujourd’hui, le groupe gère 5 904 millions d’euros, possède 266 millions en fonds propres, ainsi qu’une marge de solvabilité de 301 % sur les associations mutuelles en tontine. Cela signifie que Les Associations Mutuelles Le Conservateur disposent de 3 fois plus de moyens qu’il n’en faut pour régler leurs obligations financières.