AvaTrade (anciennement AVA FX): notre avis 

On pourrait résumer la plate-forme Ava Trade par 2 mots : sécurité et rapidité. Sous l’égide de différents gendarmes de la bourse, dont l’autorité des marchés financiers français, elle vous permet d’effectuer vos opérations en toute sécurité. Les transactions sont rapides, trader des bitcoin peut se faire simultanément sur 2 plates-formes, en 1 seul clic. Les gains sont rapidement disponibles, et les bitcoins peuvent être échangés avec des dollars. Les avis sont unanimes, il s’agit là d’un outil fiable et formateur pour l’utilisateur.

Notre avis sur Ava Trade


Un réel souci de sécurité

Elle donne l’impression d’être réellement soucieux de la sécurité des comptes de ses clients. Les comptes ségrégués  sont déposés à la Danske Bank, la plus grande banque du Danemark. Le slogan du trader parle de lui-même : « Trade with confidence » qui se traduit par « échangez en toute confiance ».

Agréé et autorisé

Le courtier bénéficie d’une reconnaissance quasi-internationale. La société est une entreprise irlandaise reconnue par la banque d’Irlande, mais elle est également présente dans d’autres pays. En France, elle est agréée par l’AMF (Autorité des Marchés Financiers) et  l’ACP (Autorité de Contrôle Prudentiel).

Elle est également autorisée en Australie par ASIC (Australian Securities & Investments Commission). Cela signifie qu’elle doit rendre des comptes aux gendarmes de la bourse, et présenter des gages de sécurité envers leurs clients.

Ses bureaux français ont pignon sur rue aux Champs-Élysées, la société possède également des succursales en Italie, au Japon, en Australie et en Chine.

Ava Trade, pourquoi faire ?


Trader en confiance et rapidité

Le système de reconnaissance permet aux traders de récupérer leurs gains obtenus sur le marché des devises ou le marché des actions. Le système sécurisé vous laisse investir en toute confiance et vous permet de disposer de vos fonds à tout moment. De l’avis de tous les professionnels de la finance, l’un de ses atoutsréside dans sa rapidité à traiter les transferts sur sa plate-forme.

Plusieurs types de plates-formes disponibles

La société propose plusieurs types de supports et de plates-formes pour trader en toute confiance, et selon son niveau. Il existe notamment un compte de démonstration qui dure 21 jours, le temps de se familiariser avec les différentes possibilités d’investissement à disposition.

On y trouve des niveaux classiques, comme celui de débutant, amateur, confirmé et expert. La différence avec la concurrence, réside dans le fait que le courtier propose un mode automatique et un mode mobile. On trouvera enfin un mode institutionnel et, chose très novatrice, un mode islamique. Les inconditionnels de la finance islamique pourront donc trader en toute confiance du respect de leurs convictions, via la plate-forme.

Certainement le trader le moins cher du marché

De tous les avis, elle est certainement le moins cher du marché. Il n’y a pas de frais de dépôt ni de frais de retrait, ce qui est déjà un gage de sérieux. Mais en plus Ava Trade vous propose des webinars gratuits afin d’en apprendre plus sur les stratégies d’investissement financier. Des bonus sont par ailleurs distribués afin d’aider les débutants à mettre le pied à l’étrier.

Utiliser le CFD (Contract For Difference) avec levier

Il est possible de traiter en CDT avec des effets de levier pouvant aller jusqu’à 20. Ce flexible instrument financier permet à l’investisseur d’indexer ses profits sur les variations à la hausse ou à la baisse du cours d’une action ou d’un indice. Certains contrats s’appliquent sur d’autres actifs, sans les détenir en droit de propriété. Ce type de contrat se traite généralement sur les marchés de gré à gré, et ne peut pas être trouvé sur les places boursières.

Les contrats pouvant être investis renferment un certain nombre d’actifs. L’investisseur notera qu’il est particulièrement intéressant de se concentrer sur des CDT actions et indices, et de conserver ses stratégies d’investissement à fort effet de levier sur de grosses liquidités du marché des devises.

Comment trader des bitcoins


bitcoin 2015

Pour pas cher, tous les jours

La plate-forme vous permet de trader des bitcoins à partir de 100 €. Chose assez rare sur le marché, il est même possible d’utiliser le CDT bitcoin avec un effet de levier jusqu’à 20. Elle est ouverte 5 jours sur 7,24 heures sur 24. La rapidité et la solidité du système informatique permet à l’investisseur d’acheter et de vendre instantanément sur les plates-formes MT4 et AvaTrader, en un seul clic.

Après avoir ouvert un compte de démonstration, vous disposez de 21 jours pour vous familiariser avec cette technologie de pointe. Vous vous entraînez ainsi à trader des bitcoins en toute sécurité, jusqu’à ce que vous soyez prêt à vous lancer avec un investissement réel.

Pourquoi trader des bitcoins ?

C’est une devise électronique échappant au contrôle des banques centrales et des gouvernements. Sa volatilité est énorme, on l’a déjà vu passer de 200 € à 800 € en l’espace d’un mois. Sa valeur dépend bien entendu du rapport entre l’offre et la demande, mais ce ratio est limité par l’algorithme de fabrication des bitcoins.

Pour pouvoir en créer de nouveaux, il est nécessaire de résoudre l’équation mathématique posée par des générateurs, que l’on assimile à des mines. Les petits génies ayant réussi à ouvrir la caverne d’Ali Baba s’appellent des mineurs.

Les bitcoins sont donc mis en circulation à chaque fois que des mineurs en sortent de nouveaux, mais également à chaque fois que de nouveaux marchands acceptent la monnaie électronique pour acheter biens et services. On notera également que l’apparition de nouvelles plates-formes d’échanges permet également d’augmenter les volumes de transactions.

Cela doit se faire à l’aide de supports rapides et sécurisés. Cerise sur le gâteau : il est désormais possible d’échanger le bitcoin contre des dollars sur les plates-formes MTA Trader 4 et Ava Trader.

Investir Dans Une Ferme: Vache Laitière et Poule Pondeuse

Qu’est-ce qui rapporte plus que la bourse ? Réponse : le placement d’argent dans les vaches laitière pour les confier à un exploitant permet un rendement de 4 % à 5 % par an. Et si vous réinvestissez votre rendement dans l’achat d’autres bêtes, vous obtenez un investissement moins risqué que les actions, et qui rapporte plus. Une autre astuce consiste à acheter une poule pondeuse pour économiser le coût sans cesse grandissant des œufs. Petit tour sur ces placements financiers d’un nouveau genre, qui rapportent régulièrement et sans risque.

Placement d’argent dans les vaches, comment ça marche ?


Un investissement à moins de 2000 €

Le prix varie de 1200 € à 1850 €. Il est donc possible de démarrer son investissement avec un petit budget, ou de miser d’entrée sur un troupeau si l’on dispose de suffisamment de capital. Le prix dépend de sa race, mais en particulier de son poids. Il est préférable d’opter pour une jeune, mais suffisamment mature pour produire du lait. Au fur et à mesure de sa croissance elle prendra du poids, et donc de la valeur.

Un rendement annuel entre 4 % et 5 %

C’est un investissement qui rapporte régulièrement et sans risque, eu égard aux besoins alimentaires de la planète. Selon une étude du GIEC (Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat), en 2050 l’être humain devrait consommer en moyenne 500 g de viande et 1 l de lait par semaine. La croissance de la population fait qu’à cette date, il y aura 34 % de personnes en plus sur la terre. Tout le monde a besoin de lait, et tout le monde a besoin de viande. Même le lait en poudre est fabriqué à partir du lait de vache.

Ces bonnes perspectives permettent d’obtenir un rendement compris entre 4 % et 5 %. Au départ, vous achetez une vache laitière sans jamais la voir. Elle sera confiée par le vendeur à un éleveur. À charge de ce dernier de la nourrir et de la soigner, il doit par ailleurs disposer d’une assurance. L’éleveur tire ses revenus de la vente du lait. Tous les ans, il verse un loyer au vendeur, qui en retour vous verse un revenu compris entre 4 % et 5 %.

À partir de là, vous disposez de 2 options : augmenter votre cheptel ou encaisser votre rendement.

Option augmentation du cheptel

La stratégie consistant à réinvestir le rendement obtenu par l’achat d’une vache est très intéressant. Dans cette configuration, vous utilisez les revenus perçus pour acheter une plusieurs supplémentaires. Vous pouvez également en racheter de vos propres économies pour augmenter votre cheptel. Pourquoi le feriez-vous ? Parce qu’il s’agit d’un investissement moins risqué que les actions, et qui rapporte plus que la bourse.

Prenons un exemple. Admettons que vous en achetiez 20 la première année, et que vous réinvestissiez le rendement tous les ans, sans en acheter de supplémentaires. Au bout de 10 ans vous obtenez 28 têtes de bétail.

Prenons un autre exemple

Admettons que vous en achetiez 6 par an au prix de 1167 € par tête, pendant 8 ans. Admettons que tous les ans vous réinvestissiez le rendement dans l’achat d’autres têtes de bétail. Au bout de 8 ans, vous possédez un troupeau de 55 bêtes, d’une valeur de 64 185 €.

Il est intéressant de constater que la stratégie consistant à réinvestir les rendements dans le placement même, est recommandée par les ténors de la bourse sur une durée de 35 ans. Effectivement, des études montrent que des actions du CAC 40 détenues pendant 35 ans et dont les dividendes sont réinvestis pour l’achat d’actions supplémentaires, permettent un rendement moyen de 10 %.

Le simple calcule ci-dessous montre que le placement d’argent dans les vaches rapporte plus que la bourse.

Option perception de rendement annuel

L’investisseur peut à tout moment choisir d’encaisser les bénéfices annuels. La plupart des solutions existantes présentent de la souplesse d’utilisation. Vous pourrez ainsi varier votre stratégie au fil des années, et au fil de vos besoins financiers. Mais attention, la vache est un placement financier sans capital garanti et sans possibilité de trésorerie disponible.

Placer son argent ainsi avec réflexion

acheter une vache

Si le coût d’achat est en moyenne de 1500 €, il ne s’agit pas d’un bien qui se revend rapidement sur le marché secondaire. Si vous avez besoin de trésorerie rapidement, vous aurez le droit de vendre votre animal à l’abattoir, mais n’en tirerez qu’une somme comprise entre 800 € et 900 €. Cet investissement doit donc se faire sur un moyen à long terme, en ciblant un volume qui ne sera pas handicapant pour votre budget.

Comment acheter une vache en France pour investir

On trouve plusieurs sociétés en France, spécialisées dans ce placement d’argent. L’intelligence du système est qu’il est mutualisé. Si vous achetez effectivement une herbivore, vous ne savez pas dans quelle exploitation elle se trouvera, et d’ailleurs vous ne connaîtrez même pas son nom.

Le principe de la mutualisation fait qu’en cas de maladie, vous continuez de percevoir votre rendement car le manque à gagner est partagé entre tous les investisseurs. On s’aperçoit vite qu’il s’agit d’un investissement moins risqué que les actions.

D’autant plus que l’exploitant a l’obligation de détenir une assurance. L’assureur indemnisera le système mutualisé en cas de mort, de perte ou de vol de l’animal.

Acheter une poule est un placement


Le prix des œufs augmente

Étant donné que le prix des œufs augmente, la poule aux œufs d’or est maintenant une gentille gallinacée que l’on trouve aux quatre coins des fermes. Car le prix a augmenté de 60 % de 2000 à 2010, et il continue de s’envoler du fait des nouvelles normes européennes.

Les enclos doivent maintenant laisser 750 cm² par bête, ce qui a pour effet d’augmenter les coûts de production, coûts qui bien entendu se répercutent sur le consommateur. À la décharge des éleveurs, force est de constater qu’ils n’ont pas le choix face au montant des prélèvements fiscaux et sociaux.

C’est ainsi que le coût industriels s’est envolé de 10 % à 20 % dès les premiers mois de la mise en application de cette mesure. Et encore, on ne parle pas d’œufs frais pondus par un animal élevé au grain de blé et de maïs.

Vous aussi pouvez en acheter une

Une seule est capable de pondre 280 fois par an, soit près d’un œuf par jour. Et quand on sait que son prix oscille entre 10 € et 20 €, on réalise tout de suite les économies potentielles. À raison d’un prix moyen de 2,50 € pour une boîte de 6 œufs fermiers bien frais et bien beaux, votre poule pourrait produire 117 € par an. Pour un coût d’achat de 20 € maximum, cela représente une belle économie, une vie saine et de la nourriture fraîche au petit déjeuner.

placer son argent dans des poules

Mais attention, la petite a besoin d’espace et d’une bonne alimentation. Un balcon peut suffire, un jardin c’est encore mieux, encore faut-il la rentrer au chaud l’hiver et la protéger du soleil l’été.

Les Américains l’ont déjà adopté

Si les Américains l’ont déjà adoubé dans les villes, c’est que ça marche. À Brooklyn, les habitants ont formé le club des éleveurs en ville. Dans un pays où l’aide sociale n’est pas la plus performante du monde, on apprécie d’avoir des œufs frais gratuitement. Les jardins communautaires accueillent donc de plus en plus de gallinacée, les produits de la ponte étant répartis entre tous les co-jardiniers.

Et lorsque qu’elles pondent moins ? Elles finissent en bouillon.

Les poules, les vaches et la fiscalité

Acheter une poule dans le seul but d’en consommer soi-même les œufs ne donne lieu à aucun impôt supplémentaire. Le propriétaire ne devra payer d’impôts qui s’il tire des revenus de la vente de ce qu’elle produit. Encore que l’administration fiscale n’ira pas à se déplacer pour une vingtaine de bêbêtes…

En revanche, les revenus perçus du placement dans les vaches donnent lieu à une imposition supplémentaire. Mais heureusement, il y a des bonnes surprises., Il doit être déclaré en tant que bénéfices agricoles imposés au régime réel normal. Ce régime fiscal vous permet d’amortir le prix afin de vous créer un déficit.

Admettons par exemple que vous en achetiez une à 1500 €, et que la première année vous perceviez un rendement de 75 €. Admettons que vous souhaitiez l’amortir sur 5 ans, cela représente 300 € par an. Vous avez donc 75 % de revenus en plus, vous amortissez 300 €, vous êtes donc en déficit de 225 €.

Vous pouvez utiliser ce déficit de 2 manières. Premièrement, vous pouvez le reporter sur vos revenus afin de diminuer votre base imposable. Deuxièmement, vous pouvez reporter ce déficit sur vos autres bénéfices agricoles des 6 années suivantes. C’est moins risqué que les actions, ça rapporte régulièrement et sans risque, et en plus on défiscalise…

Legendre Patrimoine: faut-il investir dans le photovoltaïque ?

L’investissement écologique n’est plus seulement une affaire de conviction, mais également de rendement. Aujourd’hui, investir dans le photovoltaïque permet d’obtenir 7 %, avec capital garanti à 87 % au bout de 10 ans de détention. Cette formule est proposée par le cabinet Legendre Patrimoine, et s’adresse principalement aux particuliers. Focus sur ce dispositif aussi sécurisé que rémunérateur.

Investir dans le photovoltaïque


Comment ça marche ?

Le cabinet de conseil financier Legendre Patrimoine propose cet investissement pour les particuliers, qui percevra ses revenus en vendant l’électricité produite à EDF. Les investisseurs sont regroupés au sein d’une société en participation (SEP). Les centrales sont installées en outre-mer, dans des endroits d’ensoleillement privilégié. La centrale est donnée en location à un exploitant, qui verse un loyer. Tous les ans à partir de la date d’anniversaire du contrat, la SEP reverse leur part aux investisseurs.

Ce rendement équivaut à 7 % net de leur investissement qui se font par tranche de 5000 €. Le particulier investissant ainsi, perçoit donc un retour annuel de 350 € par tranche de 5000 €.

Qu’est-ce qu’une société en participation ?

La Société En Participation présente la particularité de ne pas nécessiter d’immatriculation au registre du commerce. L’avantage est qu’il y a peu de frais à sa constitution. Elle ne comporte pas de dénomination sociale, ni de capital ni de siège social. Il n’y a pas non-plus besoin d’assemblée générale, ni de démarches administratives pour organiser sa vie courante.

Ses seules obligations sont fiscales. Les fondateurs de la société en participation doivent présenter un exemplaire des statuts à l’administration. Lorsqu’elle choisit l’imposition dite « transparente », les bénéfices perçus sont distribués aux associés, en fonction de leur participation. Les associés payent des impôts sur les revenus, après application des abattements et remises auxquelles ils ont droit.

Ce type de société est peu connu et pourtant couramment rencontrée. Les associés peuvent être des personnes physiques ou morales, ils doivent être au minimum 2.

Dans le cadre du placement photovoltaïque proposé par le cabinet Legendre, la SEP déclare ses revenus en tant que bénéfices industriels et commerciaux non-professionnels. Il n’y a donc pas de contribution sociale, et l’amortissement de la centrale vient se déduire des revenus, c’est-à-dire des loyers perçus par la société exploitante. Il y a donc une défiscalisation des revenus de la société.

Le capital est-il garanti ?

Cet investissement pour les particuliers, présente une garantie contractuelle du capital à hauteur de 87 %, après 10 ans de détention. Il est important de réaliser que la valeur des parts d’une SEP est établie en fonction de celle du patrimoine de la société, moins ses dettes. Étant donné que l’achat des centrales se fait par souscription, il n’y a aucune dette.

La valeur des parts pourrait cependant diminuer avec le temps, car les équipements se dévalorisent au fil des années. C’est cette particularité qui rend l’investissement écologique intéressant. Car avec un capital garanti à 87 % au bout de 10 ans de détention, l’investisseur ne subit que très peu les effets de l’amortissement.

Le rendement est-il garanti ?

Oui, il est possible d’investir avec un rendement garanti de 7 %. La SEP propriétaires de la centrale signe un contrat de location avec une société exploitante. Le contrat de location stipule le montant du loyer. Cette première disposition permet à l’investisseur de percevoir lui-même un retour sur investissement.

rendement photovoltaique

À cela vient s’ajouter une précaution permettant de s’assurer que l’exploitant sera effectivement en mesure de payer la SEP. Car elle possède non-pas une, mais plusieurs installations photovoltaïques, sur des sites géographiques différents. Cette diversification permet de minimiser les risques en les mutualisant.

Enfin, l’exploitant signe un contrat de vente d’électricité avec EDF qui démarre à la date de raccordement du réseau, et dure 20 ans. Il ne peut pas être remis en cause, à partir du moment où la centrale fonctionne correctement. Qui plus est, le tarif d’achat d’électricité par EDF est fixé par un arrêté ministériel. Les prix sont donc fixes et les revenus connus d’avance. La combinaison de ces 3 dispositions permet effectivement de garantir le rendement.

L’investisseur peut-il revendre ses parts

Il peut revendre son investissement écologique à d’autres personnes. On ne peut pas véritablement parler de parts, d’actions ou de titres car il n’y a pas de capital social. En revanche, il détient un droit sur la SEP qu’il a la possibilité de revendre sur un marché secondaire régi par l’offre et la demande. S’il n’y a pas de place de marché à l’heure actuelle, il est possible d’annoncer son désir de céder son droit dans une SEP d’investissement photovoltaïque pour les particuliers.

S’il y a beaucoup d’investisseurs, le détenteur du droit pourra agir selon le principe des enchères. Si le détenteur du droit a un besoin d’argent urgent, il pourra a priori revendre son droit facilement, eu égard à la garantie de rendement.

Notons qu’en cas de besoin financier, l’investisseur peut également s’appuyer sur le rendement garanti pour obtenir un prêt bancaire. Au pire, il pourra nantir ses parts auprès d’un organisme de crédit, afin de bénéficier d’une trésorerie.

À propos de Legendre patrimoine

Le cabinet est un spécialiste de l’investissement écologique. Les avis sont positifs sur Internet, le lecteur pourra notamment en découvrir une partie sur leur site. Leurs responsables marketing communiquent à travers de grands journaux économiques, comme lesÉchos.fr.

Sis au 34 avenue des Champs-Élysées à Paris, c’est un courtier en assurances et conseiller financier. Le cabinet bénéficie d’une garantie financière apportée par l’assureur centenaire QBE, implanté en Europe depuis 1904.

Focus sur l’investissement écologique


investissement écologique

Un besoin d’indépendance énergétique plus qu’un phénomène de mode

L’investissement écologique n’intéresse pas que les particuliers. De nombreux pays ont comprit l’intérêt qu’ils avaient à obtenir leur indépendance énergétique, à travers le placement photovoltaïque et éolien.

À la fin 2013, l’Éthiopie a achevé la construction d’un parc éolien suite à un investissement de 210 millions d’euros. Il s’agit du plus grand parc d’Afrique, capable de produire 120 MW, dont les équipements ont été réalisés par une société française. En plus des retombées économiques dans le pays, une attention toute particulière a été apportée au transfert de technologie. Ce sont ainsi les employés de sociétés africaines qui ont pu être formées à cette technologie. L’adjonction de cette nouvelle source d’énergie renouvelable et écologique, devrait permettre d’alimenter les besoins de l’industrie éthiopienne naissante.

Au Japon, le drame de Fukushima n’a pas laissé la population insensible, loin de là. 50 réacteurs nucléaires ont été arrêtés, certains temporairement, d’autres définitivement entre 2011 et 2012. En revanche, 7,4 GW ont été ajoutés au pays du soleil levant, grâce à l’implantation de systèmes de production d’énergie au solaire. Comme en France, le gouvernement a décrété un tarif de rachat, permettant aux producteurs de revendre leur électricité aux distributeurs locaux. Résultat : là-bas aussi des pionniers proposent aux particuliers d’investir dans le photovoltaïque.

L’Inde a démarré la production d’une centrale solaire, capable de produire 4000 MW à terme. La première production sortira des câbles en 2016, à hauteur de 1000 MW dans un premier temps. Mais surtout, l’Inde n’a fait que très peu appel à la technologie étrangère. Ce sont en particulier ses propres entreprises qui ont effectué des investissements. La puissance économique en devenir entend ainsi assurer son indépendance énergétique face aux besoins croissants de sa population, portés par l’arrivée de nouvelles classes moyennes.

Une obligation européenne

Les normes européennes imposent à la France de couvrir 23 % de ses besoins avec de l’énergie renouvelable, à l’horizon 2020. La photovoltaïque n’en est donc qu’à ses débuts en France et dans les départements d’outre-mer. Il est important de préciser que la France est bien en retard en termes d’infrastructures à énergies renouvelables.

En 2012, la Suède produisait plus de 50 % de ses besoins de cette façon. La France n’en était qu’à 12 %, ce qui était toujours mieux que l’Allemagne avec ses 11 %. Cela n’empêche pas l’Hexagone de se classer à la 17e place du classement européen. Sans surprise, ce sont les pays froids qui ont le plus décidé d’investir ainsi. La Lettonie, la Finlande et l’Autriche font partie du peloton de tête derrière la Suède, avec plus de 30 % de leurs besoins énergétiques provenant du renouvelable.

Le meilleur investissement financier à long terme: acheter des actions en bourse est le plus rentable!

Au vu des incertitudes qui planent au-dessus des pensions de retraite, beaucoup de trentenaires pensent déjà à investir pour leurs vieux jours. Et quel est le placement le plus rentable à long terme ? Les actions. Oui, des études effectuées par l’AMF sur les marchés américains, allemands, anglais et français prouvent que le rendement moyen sur 30 ans a été de 6,6 %. Et encore, on parle net d’inflation. Ainsi, l’équivalent de 100 $ US investis en deutsche marks sur des actions allemandes en 1934, et dont les dividendes auraient été réinvestis d’année en année sur les mêmes actions, permettrait aujourd’hui d’obtenir un capital de 87 000 €. Et pour obtenir les meilleurs placements financiers à long terme, nul besoin de bénéficier d’informations prioritaires. Il suffit d’investir dans le CAC 40.

Placements à long terme : les preuves


Le meilleur placement selon l’AMF

Dans un rapport du 6 décembre 2013, l’observatoire de l’épargne de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) a jeté un pavé dans la mare. En sous-titre : le rapport affiche « un investissement en actions françaises effectué en 1988 et conservé jusqu’en juin 2013 a affiché le meilleur rendement».

La moitié a été atteinte en réinvestissant les dividendes versés. Mais attention, l’observatoire de l’épargne de l’AMF précise que les investissements sur des durées plus courtes peuvent parfaitement procurer un rendement négatif. À ce titre, le rapport indique que les investissements réalisés en 2000 et en 2006 étaient encore en rendement négatif en 2013.

Et l’AMF de prouver, chiffres à l’appui, que les chocs boursiers des années 2000 ont été absorbés par les gains engrangés par les investissements effectués entre 1988 et 1996.

Et il n’y a pas que les actions françaises, car toujours selon le rapport, les britanniques, allemandes et américaines ont permis des rendements similaires entre 1988 et 2013.

En tenant compte des dividendes réinvestis, le rendement réel moyen d’un investissement en actions françaises réalisé en 1988 et conservé jusqu’en 2013 a été de 6,6 % par an. Précisons que ce chiffre tient compte de l’inflation. C’est mieux que les obligations d’État à 10 ans, qui ont affiché un rendement moyen de 6,2 %.

Selon l’Institut de l’Épargne Immobilière et Foncière (IEIF)

L’Institut de l’Épargne Immobilière et Foncière est un centre de recherche indépendant, ayant pour mission de fournir des analyses et des informations pour les professionnels de l’épargne et de l’immobilier. Ses membres sont composés de grands acteurs de la finance et de l’immobilier.

En 2008, l’IEIF déclarait dans les colonnes du Figaro que ses observations sur le long terme montraient que l’investissement le plus rentable était les actions, suivies par l’immobilier, suivi par les obligations et enfin les placements monétaires. Au moment de cette déclaration, les françaises avaient subi un sérieux revers suite à la crise des subprimes. Elles affichaient pourtant un Taux de Rendement Interne (TRI) de +4,4 % sur 5 ans.

Selon l’IEIF, le TRI sur 35 ans dépasse 10 %. Sur la même période, l’or rapporte 5 % et le placement en immobilier de bureau 4,9 %. Les livrets A ferment la marche avec un rendement de 3,5 %, toujours sur 35 ans. 

Selon Allianz Global Investors

Allianz Global Investors est un des leaders mondiaux de la gestion d’actifs, avec 304 milliards de dollars d’actifs gérés au 31 décembre 2012. Sur le marché français, la société pèse la bagatelle de 80 milliards d’euros d’encours. On peut donc décemment affirmer qu’elle s’y connaît.

Le 24 février 2014, la société remet un rapport sur les placements boursiers à terme aux États-Unis, se basant sur des données disponibles depuis 1801. Il en ressort que 100 $ investis dans un portefeuille en 1871 déboucheraient aujourd’hui sur un capital d’environ 15 millions de dollars. Les entreprises allemandes ne se débrouillent pas mal non-plus, car la même somme investie en 1934 permettrait aujourd’hui un capital de 87 121 €.

Selon l’étude, le rendement annuel net d’inflation a été de 6,94 % depuis 1801. Le pic a été atteint entre 1857 et 1887 avec 10,63 %, alors qu’à cette époque les emprunts d’État affichaient des pertes. Seulement pour obtenir l’investissement le plus rentable il faut attendre au moins 30 ans, c’est ce qu’il ressort de l’étude rendue publique.

Trouver le meilleur placement à long terme


la bourse monte

Les investissements doivent durer 30 ans

Les chiffres des différentes études publiées par l’AMF, l’IEIF et Allianz Global Investors le prouvent : les actions présentent l’investissement le plus rentable sur le long terme, c’est-à-dire sur 30 ans au moins. La raison est simple, leur valeur est déterminée par les bénéfices des entreprises. Si l’on vend ses actions à un moment où l’entreprise fait peu de bénéfices ou présente peu d’opportunités, le prix est faible et la rentabilité avec. L’actionnaire peut donc choisir de les conserver et de percevoir un faible dividende.

Mais si l’année d’après l’entreprise renoue avec les bénéfices, les dividendes perçus seront supérieurs à ceux de l’année précédente. S’il calcule la moyenne de ces 2 années, il obtiendra donc un bon rendement. Si au cours des 2 années suivantes les résultats ne sont pas bons, les bénéfices pourraient revenir 3 ans après.

L’inflation et les placements boursiers à terme

L’inflation joue un rôle prépondérant dans les résultats. Si une baguette de pain valait 0,09 € en 1970, en 2012 elle valait 0,86 €. Pourquoi : à cause d’elle. 

C’est exactement ce qui se passe avec le prix d’une action. Avec le temps les tarifs des matières premières augmente, ainsi que le coût des différents éléments qui composent la chaîne de production de l’entreprise. Pour compenser cette hausse, l’entreprise est obligée de vendre toujours plus cher, ce qui débouche forcément sur une hausse du prix d’une action, même lors d’une année de faible rendement ou de perte.

Prenons l’exemple d’un investisseur qui achète des actions d’une entreprise en 1980. Admettons qu’il les revende en 2014, alors qu’elle affiche des pertes et que son cours a chuté. Et bien le prix sera toujours largement supérieur de celui auquel il l’a acheté en 1980.

Réinvestir les dividendes

Les études précisent toutes que le rendement moyen de 6 % par an n’est valable que si l’investisseur réinvestit les dividendes versés dans ladite entreprise. Admettons par exemple qu’un investisseur achète des parts d’un constructeur automobile. Les études lui conseillent de racheter des parts tous les ans avec les dividendes perçus.

Pour arriver à ce résultat, il faut bien entendu acheter des actions en quantité suffisante, de manière à ce que les dividendes combinés de toutes les actions puissent permettre d’en acheter au moins une autre. Ensuite, l’investisseur ne doit pas toucher à son pactole pendant au moins 30 ans. 

Comment choisir ses placements boursiers


achat d'action

La diversification géographique n’est pas nécessaire

Dans un portefeuille spéculatif, la diversification est primordiale. Mais lorsque l’objectif est d’obtenir le meilleur placement à terme, la diversification géographique n’est pas nécessaire. L’enquête de L’AMF montre que les allemandes, britanniques, françaises et américaines sur 35 ans avoisine les 6,6 %.

En revanche, les pics de performance diffèrent selon les régions du globe. Un investisseur pensant qu’il pourrait avoir besoin de retirer sa mise avant une période de 30 ans ou de 35 ans, pourrait choisir la diversification géographique. 

Privilégier les valeurs du CAC 40

Toutes les études réalisées sur la pertinence de la conservation des actions pendant trente ans se sont basées sur des sociétés incluses dans de grands indices. Les placements à long terme doivent s’effectuer sur des sociétés solides, dont on est sûr qu’elles seront encore là dans des décennies. Certes elles peuvent subir des absorptions, ou des fusions-acquisitions, mais elles ne feront que former un groupe plus grand.

Dans un tel portefeuille, il est préférable d’éviter les start-up ayant pour seul objectif de prendre un maximum de risques afin de faire monter leur valeur.

Bulle internet : le krach boursier (Facebook, Amazon, LinkedIn, Twitter…)? 

Si vous souhaitez acheter des actions de Facebook, vous devez savoir que la valorisation du géant des réseaux sociaux est 57 fois supérieure à ses bénéfices annoncés pour 2014. Il y a mieux : Linkedin, le numéro 1 des réseaux professionnels, est aujourd’hui côté 124 fois par rapport à ses bénéfices annoncés. Depuis février, l’indice Nasdaq biotechnologie a perdu 19 %. En une journée, le Nasdaq lui-même a plongé de 3,10 %, la faute à Amazon (-4 %), Facebook (-5 %) et d’autres valeurs technologiques surcotées. Oui, il y a des risques d’investir en bourse, surtout s’il y a un krach boursier en vue. Aujourd’hui certains signes rappellent la bulle spéculative de 2000, et font ressortir le spectre de l’effondrement de la bourse américaine.

La bulle spéculative, qu’est-ce que c’est ?


Définition de la bulle économique

On en parle dans une situation où un marché est largement surestimé par rapport à sa valeur réelle. Les termes utilisés sont ceux de bulle financière, spéculative ou économique. Dans ces situations, un grand nombre d’investisseurs sont attirés par les lueurs de la plus-value. Ils sont donc nombreux à demander l’achat d’actions, ce qui augmente la valeur desdites parts. Mais à un moment donné, les résultats de l’entreprise montrent que le rendement est bien inférieur au prix que les investisseurs ont payé. Dès l’annonce des résultats, la réaction de ces investisseurs imprudents est imminente : vendre.

C’est donc l’inverse qui se produit, les vendeurs sont plus nombreux que les acheteurs et les prix des actions chutent. On dit alors que la bulle éclate. Et comme ce sont nos voisins d’outre-Atlantique les plus spéculateurs, le krach mondial commence avec l’effondrement de la bourse américaine.

Les raisons 

Elles naissent lorsque les logiques d’investissement sont basées sur une sorte d’instinct, mêlé à l’excitation du jeu. On pense que le prix sera plus élevé demain, alors on suit le mouvement sans se préoccuper de la pertinence de l’investissement.

Car l’humain peut se laisse facilement attirer par les chants des sirènes, et ce depuis fort longtemps.

La première de l’histoire 

C’est celle des tulipes de Hollande, qui illustre parfaitement la notion d’hystérie collective. S’il est difficile de retracer exactement l’historique de la crise des tulipes, on sait qu’en février 1637 un bulbe pouvait se négocier pour un montant égal à 10 ans de salaire d’un artisan qualifié. Toujours est-il que, sans que l’on sache vraiment pourquoi, elles sont devenus de plus en plus chers. Les prix montaient, montaient, montaient, et de fait tout le monde se mis à cultiver des tulipes parce que les prix montaient et que l’on pouvait les revendre. 

Et à un moment donné, la foule s’est rendue compte qu’il n’était pas nécessaire de verser le prix d’une maison pour un bulbe que l’on pouvait cultiver tranquillement dans son jardin. Du jour au lendemain, des investisseurs se sont retrouvés avec un morceau de tulipe qu’ils avaient payé le prix de 5 ha de terrain hier, et qui valait tout juste un quignon de pain aujourd’hui.

Par la suite, on recense quelques perles comme la spéculation immobilière de Paris, Berlin et Vienne vers les années 1870. N’oublions pas celle de 1929, et surtout le parfait exemple de la spéculation irréfléchie de 2000.

L’éclatement de la bulle Internet de 2000

Au début des années 90, les investisseurs commencent à s’intéresser aux valeurs technologiques. Les secteurs des télécommunications et de l’informatique sont particulièrement prisés. Le Minitel est progressivement remplacé par une technologie de réseau, appelé Web ou encore Internet. En 1995, Netscape s’introduit en bourse. En une seule journée, le cours de son action passe de 28 $ à 75 $, lui permettant de lever 2 milliards de dollars de capitalisation boursière.

bulle Internet

Pendant les 5 années qui suivent, tout le monde y va de son investissement et de ces faramineuses promesses de rendement. Les médias étalent des exemples de jeunes cadres dynamiques devenus millionnaires suite à leur introduction en bourse. Et personne ne se soucie de consulter leur bilan comptable, personne n’aperçoit le krach boursier en vue. 

Résultat : en mars 2000 la bulle Internet éclate, tous les profits réalisés depuis 1995 par les 4300 sociétés du Nasdaq partent en fumée en l’espace d’1 an.

Les risques de krach boursier en 2015


Les phénomènes Facebook et Twitter

Facebook est un bel exemple de réussite à l’américaine. Mais les investisseurs ont appris à réfléchir depuis mars 2000. Ils se méfient, aussi quand Marc Zuckerberg l’introduit en bourse le 18 mai 2012, le cours des actions finis en dessous de leur cours d’introduction. Mais en février 2014, le plus grand réseau social du monde achète l’application de messagerie WhatsApp pour 19 milliards de dollars. Et là tout le monde se pose la question : mais il est fou ? 

Oui, sans doute, tout autant que les banquiers et investisseurs qui l’ont suivi dans l’aventure, car personne ne s’est soucié de savoir si ça valait véritablement 19 milliards de dollars. Les investisseurs non plus, car le rachat de l’application a permis de faire monter l’action en bourse, sans fondamentaux rationnels. Après un demi-échec, maintenant tout le monde veut acheter des actions Facebook.

Car les investisseurs chevronnés gardent en mémoire l’entrée à Wall Street de Twitter, dont l’action a bondi de 70 % lors de sa première séance de cotation début novembre 2013. Or à ce moment précis, personne n’écoute la société de recherche Hudson Square, qui rappelle que Twitter est survalorisé 600 fois par rapport à son rendement d’exploitation anticipé. Twitter, ce réseau social qui n’a jamais dégagé un seul centime de bénéfices, affiche désormais une valorisation boursière de 23,4 milliards de dollars. 

Tout le monde a regardé le chiffre d’affaires, personne ne s’est occupé du bénéfice.

Quand le Nasdaq tousse, le monde est malade

Le 10 avril 2014, le Nasdaq perd 3,10 %. Amazone subit -4 % dans la journée, Netflix et Facebook accusent une baisse de 5 % de la valeur de leurs actions. Le lendemain la bourse de Tokyo perd 2,38 %, le Stoxx 600 (indice européen des valeurs technologiques) encaisse -2,1 %, et le CAC 40 perd 1,01 %. Et dans ce recul général, certains se trouvent en véritable situation de débâcle, à l’image de Splunk qui perd 39 %, et de Workday qui chute de 35 %.

chute de la bourse

Et l’on se rend compte alors que les fortes baisses des actions ne datent pas d’hier. En avril 2014, les 15 premières valeurs du Nasdaq ont perdu près de 150 milliards de dollars de capitalisation en tout juste 1 mois. Cela représente une baisse de 20 % de leur capital. Et les analystes de ressortir l’historique de la bulle Internet de 2000.

Ce sont particulièrement les sociétés technologiques spéculatives, présentant des bonnes opportunités mais pour l’instant peu de résultats qui souffrent. Et tout le monde est bien obligé de faire le rapprochement avec les fortes baisses des actions qui avaient eu lieu en 2000.

Des premiers signes de chute de la bourse en 2015 ?


Les raisons de voir une forte baisse des actions

Certains signes portent à anticiper une chute de la bourse en 2005. Par exemple, les valeurs biotechnologiques entament elles-aussi périodes de baisse. L’indice Nasdaq biotechnologie a perdu 19 % depuis la fin février. Juste avant, on avait observé un engouement pour des valeurs biotechnologiques en 2012 et 2013. Résultat, des sociétés comme Bioalliance Pharma avaient gagné 138 % de cotation ! Suivie fièrement par Inate Pharma avec ces +114 %, tandis que Valneva n’affichait « que » +61 %. Tout porte à croire que la hausse des actions fait suite à un engouement impulsif d’un grand nombre de petits porteurs.

Certains soupçonnent que l’indice est artificiellement gonflé par des fusions-acquisitions dans le secteur technologique. Début mars, il avait atteint son plus haut niveau depuis avril 2000. C’est notamment l’acquisition de WhatsApp par Facebook qui a participé au gonflage de l’indice.

Les raisons de ne pas paniquer

À la fin du premier trimestre 2014, on estime que les valeurs technologiques sont valorisées en moyenne pour 22 fois leurs bénéfices. Dans les années 2000, cette survalorisation était de l’ordre de 60 fois. On en est donc loin, et le phénomène de sur-cotation ne concerne pas la majeure partie des entreprises cotées en Bourse. 

Le début de l’année 2014 s’est d’ailleurs particulièrement bien déroulé en bourse. La baisse qui se présente actuellement pourrait bien n’être qu’un simple ajustement.

Il convient de relativiser, la forte baisse est pour l’instant limitée aux valeurs technologiques et biotechnologiques surcotées. Des valeurs sûres comme Microsoft ont pris +3,5 %, et Apple n’a perdu que 1,39 %. Nous sommes encore bien loin des chiffres des années 2000. 

En 1999, le montant total des capitaux levés en bourse était de 39,9 milliards de dollars, pour 373 introductions nouvelles. En 2012, on n’a vu que 25 nouvelles entrées en bourse, pour une levée de capital de 20,5 milliards de dollars, dont Facebook représentait 16 milliards de dollars à lui tout seul.

Conseils boursiers: le guide pour investir sur les meilleures actions

2017 sera l’année de la reprise de la croissance dans la zone euro et au niveau mondial. Les prévisions boursières sont donc optimistes, à condition de savoir quelles actions acheter. À défaut de parler précisément des entreprises concernées, nous pouvons dresser la liste des secteurs permettant d’investir dans des actions rentables. Pour obtenir le meilleur rendement, les meilleurs conseils boursiers sont de surveiller 4 facteurs en particulier.

Quelles actions acheter ?


Un œil sur les actions européennes

Le meilleur investissement boursier pourrait être sur les actions européennes. La principale raison est la reprise de la croissance économique qui pointe à l’horizon. De nombreuses opportunités devraient ainsi apparaître sur certains secteurs de l’industrie évoluant dans une niche. Ces entreprises sont actuellement décotées par rapport à leur valeur comptable, une reprise de l’activité économique déclencherait un phénomène de rattrapage qui ferait monter leurs actions. 

Les prévisions boursières  sont assez optimistes concernant les pays du sud de l’Europe. L’Italie, le Portugal et l’Espagne ont entamé des réformes courageuses, qui commencent à porter leurs fruits. Ce sont donc certaines de leurs entreprises qui devraient retrouver de la valeur.

L’Allemagne devrait subir le contrecoup de l’instauration de son salaire minimum, puis le phénomène devrait se stabiliser une fois le choc absorbé. Les prévisions quant aux entreprises françaises n’étaient jusqu’alors pas brillantes, cependant le plan de 50 milliards d’euros d’économies proposé par le nouveau premier ministre devrait suffire à provoquer un effet de dynamisme.

Le meilleur investissement boursier pourraient être sur les petites valeurs

Les entreprises de niche se trouvent souvent dans la catégorie des petites valeurs. L’avantage de travailler dans une niche et que vous avez peu de concurrence, vous pouvez donc fixer vos prix surtout si vous travaillez à l’exportation. Les meilleurs conseils boursiers que l’on pourrait donner seraient de se fixer sur de petites entreprises françaises innovantes, dont les ventes sont dédiées à l’exportation et non-pas au marché français.

Surveiller de près notamment les fournisseurs de machines industrielles et de logiciels. Si la croissance est au rendez-vous, ces entreprises seront les premières à en bénéficier. On cite par exemple les constructeurs d’imprimante en trois dimensions, dont l’effet levier devrait encore s’accélérer.

Étant donné que l’on parle véritablement d’un secteur de niche, cela autorise les constructeurs à pratiquer des marges élevées, et donc d’offrir un bon rendement potentiel à leurs associés, et donc de faire augmenter le prix de leurs actions.

Prudence avec le secteur bancaire

C’est l’audit des actifs bancaires qui renseignent l’investisseur sur les actions à acheter dans le secteur bancaire. Si le troisième volet des accords de Bale a allégé la réglementation, les banques trop exposées au risque seront toujours obligées de se recapitaliser.

L’effet sera forcément une baisse du montant des actions. Ces banques présenteront sans doute des opportunités plus tard, pour l’instant les prévisions boursières en ce qui concernent le secteur bancaire sont mitigées. L’investisseur doit impérativement s’avancer en connaissance de cause.

Méfiance envers le luxe, la consommation et les télécoms français

Les valeurs de croissance dans le secteur du luxe et de la consommation ont beaucoup augmenté ces dernières années. Certaines se retrouvent aujourd’hui surcotées. Si le boursicoteur ne dispose pas des moyens de savoir lesquelles sont surévalués, il a tout intérêt à se tenir loin de ces secteurs à valeur de forte croissance, mais potentiellement dangereux pour son portefeuille.

placement bourse

Les actions portant sur des produits d’utilité comme les télécoms ne sont intéressantes que dans les pays affichant une consommation croissante des ménages. Ce n’est donc par la situation en France, ainsi le secteur des télécoms pourrait ne pas être performant, voire s’ajuster à la baisse. Certaines actions ont déjà amorcé leur descente.

Garder un œil sur la situation politique des pays émergeant

Si en 2013 les meilleurs conseils boursiers recommandaient de s’orienter vers les pays émergeant, la situation a bien changé. La guerre en Ukraine a mise à mal bon nombre d’entreprises russes, la situation politique en Thaïlande devrait priver le pays des sourires de sa croissance annuelle. En revanche la situation de l’économie sud-coréenne reste toujours attirante, et l’on n’exclut pas de bonne performance du côté de la Chine, de l’Inde et de la Corée du Sud.

4 facteurs qui détermineront les actions à acheter


Les bénéfices des entreprises

Commençons par le plus simple, ce sont les bénéfices des entreprises qui déterminent leur valeur. Le meilleur rendement d’un investissement boursier s’oriente bien évidemment sur les entreprises disposant d’une marge suffisante.

Les actions européennes ont présenté une bonne performance globale ces dernières années. Mais ça n’est pas tout, la prime de risque joue également un rôle important. La prime de risque se réfère à un marché financier. Elle mesure l’écart de rentabilité prévue entre le marché financier et son équivalent en obligations d’État.

acheter des actions

Lorsque la prime de risque est faible, cela signifie que les actions à acheter présentent grosso modo le même niveau de risque que les obligations. Et comme le niveau de risque est presque identique, autant investir dans des actions pour se donner la possibilité d’un meilleur rendement.

L’investisseur boursier doit donc se tenir à l’écoute de la marge bénéficiaire des entreprises européennes. Et justement, la politique de protection de l’euro menée jusqu’alors par la Banque Centrale Européenne (BCE) pourrait bien s’assouplir afin de ramener un peu d’inflation dans la zone euro.

Les risques de déflation et les prévisions boursières

On parle de déflation lorsque les prix baissent. Ce qui fait la joie des consommateurs ne fait pas du tout l’affaire des économistes. Lorsque les prix baissent, les entreprises doivent vendre moins cher, et font donc moins de bénéfices.

Si elles font moins de bénéfices, elles sont obligées de se séparer d’une partie de leur masse salariale à fin d’octroyer le meilleur rendement à leurs actionnaires. Une entreprise ne peut lever de capitaux sur le marché que si elle propose aux particuliers d’investir dans des actions rentables.

La déflation donc, n’est pas une bonne nouvelle. D’autant plus qu’elle a tendance à être provoquée par les consommateurs, qui attendent que les prix baissent avant d’acheter. En conséquence les stocks s’accumulent, les entreprises doivent casser les prix pour vendre et se restructurer pour conserver une marge bénéficiaire suffisante.

Depuis la crise de la dette en 2010, la Banque Centrale Européenne a maintenu une politique de protection de l’euro. La conséquence a été la déflation, mais certaines prévisions boursières avancent que la tendance pourrait s’inverser. L’investisseur doit donc garder un œil sur la courbe de l’inflation/déflation.

En cas de déflation, il devra être très prudent sur les actions à acheter. En cas d’inflation, il disposera de meilleures opportunités pour investir dans des actions rentables.

La situation économique au Japon

Troisième puissance économique mondiale, le Japon s’est fait voler sa deuxième place par la Chine et entend bien la reprendre. Aux grands maux les grands remèdes, la banque centrale du Japon a décidé de combattre la déflation, afin de provoquer une lente inflation au pays du soleil levant.

La Banque Centrale du Japon a donc injecté 23 % du PIB national dans le mécanisme financier. À titre de comparaison, la Banque Centrale Européenne n’en a injecté que 6 %. Le Japon table donc sur sa croissance économique grâce à l’inflation, tout comme les États-Unis dont la réserve fédérale a injecté 20 % du PIB national dans le système bancaire et financier.

Malheureusement les autorités japonaises ont dû faire comme en France : augmenter la TVA. Sauf qu’au Japon elle est passée de 5 % à 8 %, ce qui pourrait porter un coup à la consommation des ménages. L’investisseur boursier doit donc consulter les chiffres de la consommation au Japon. Si effectivement l’arrivée de l’inflation et de la hausse de TVA est absorbée par des augmentations de salaire, alors par effet domino la bourse française pourrait en tirer des bénéfices.

Les taux d’emprunt de la France

Malgré l’abaissement des notes de la dette souveraine française par diverses agences de notation, l’Hexagone a pu emprunter à des taux très intéressants. Les Obligations Assimilables du Trésor (OAT) se souscrivent même à des taux de rendement sans cesse en baisse. Mais si nous sommes aujourd’hui aux alentours des 2 %, cela risque de prendre fin avec la reprise de la croissance mondiale. 

Les gros investisseurs se tournaient jusqu’à présent vers la dette française, à défaut de mieux. Plus il y a d’acheteurs pour la dette française, plus la France peut la vendre cher, c’est-à-dire avec un taux de rendement faible. Mais à l’inverse, le moins il y a d’acheteurs, le plus le taux de rendement doit grimper pour attirer les investisseurs.

Cela signifie que l’État français dispose de moins de moyens pour financer les entreprises et l’économie dans sa globalité, l’effet pourrait être une diminution des performances boursières. S’il s’agit d’un risque sérieux, il ne concerne de toute manière pas l’ensemble des secteurs économiques. Au cas où la France emprunte à des taux plus élevés, l’investisseur devra suivre les meilleurs conseils boursiers pour ne pas voir la valeur de son portefeuille diminuer.

Baisse du prix de l’or : quel sera le cours (tendances actuelles et prévisions) ?

Les fluctuations du cours de l’or sont toujours une source d’inquiétude pour ceux qui possèdent quelques lingots du précieux métal. La baisse du cours est une réalité, et rien à voir avec un krach boursier en France ou aux Etats-Unis. En acheter est un investissement risqué, même si les spécialistes continuent à penser qu’il s’agit d’un bon placement sur le long terme. A suivre, nos prévisions sur le cours de l’or.

La chute du prix de l’or : pourquoi ?


Bien sûr, on évoquera la crise de l’euro, ou la crise économique tout cours. En tout cas, la constatation fait froid dans le dos de ceux qui possèdent quelques louis d’or : le prix officiel a chuté, et de beaucoup ! Mais il n’est pas le seul a avoir vu son évolution contrarié. Les autres métaux précieux ont aussi pris du plomb dans l’aile, comme c’est le cas pour le platine mais aussi pour l’argent. 

La baisse de l’or en 2015 est peut-être un signe pour qui aime investir en prenant des risques. Et si c’était le moment d’acheter ? Profiter d’un cours bas est une bonne opportunité, car l’or a toujours été considéré comme une valeur refuge, mais quand reverra t-on les belles perspectives des 10 ans qui viennent de s’écouler ?

Pourquoi l’or baisse en ce moment ?

Comme souvent dans ces cas là, c’est l’effet boule de neige qui se met en place. C’est aussi une histoire d’offre et de demande, et si les investisseurs n’achètent plus parce que le cours baisse, celui-ci ne risque pas de se relever, et c’est ce qui se passe aussi.

Pour trouver une explication, on peut dire que l’économie va mieux, donc ceux qui ont de l’argent à placer se tournent de nouveaux vers la bourse, et délaissent les valeurs refuges pour des investissements plus rémunérateurs à court terme. De plus, les risques d’inflation à venir ont poussé ceux qui avaient du stock à vendre. Enfin, les pays émergeants ont vu leur économie croître moins vite que prévu : résultat, moins de demande d’or de la part de pays comme l’Inde et la Chine.

La baisse du prix de l’argent et du cours du platine

On peut difficilement parler de l’or sans évoquer le cours de l’argent, qui subit un recul encore plus fort le plaçant en tête des métaux précieux qui ont dégringolés. Dans la même veine, le platine a lui aussi morflé, mais un peu moins, chutant de 10% sur l’année écoulée.

Le métal jaune va perdre de sa valeur : encore ?


C’est dur à dire, mais les prévisions ne sont pas bonnes, en particulier si on se penche d’un peu plus près sur la demande indienne. Le platine a un peu plus de chances de s’en sortir, notamment en raison de son utilisation dans les nouvelles technologies, la reprise mondiale allant l’aider beaucoup à retrouver un niveau de prix appréciable. Les 6 mois à venir vont être analysés de très près pour déceler une tendance sur toute l’année 2015.

prix or

Les perspectives les plus pessimistes parlent d’une once d’or qui pourrait encore perdre 1000 dollars dans les deux années à venir, à cause principalement de la remontée des taux. La baisse de 30% en 3 ans a déjà fait grincer des dents, qu’en sera-t-il de celle-ci ? La valeur refuge n’est donc plus l’investissement rêvé, mais rappelons que l’or s’appréhende sue le long terme, en faire un placement à cours terme ne fait qu’augmenter les risques. Alors, l’once aux alentours de 1000 USD ?

Rappelons que l’or ne donne pas de revenus comme peuvent le faire les actions. Quand on investi en bourse, on a des revenus tous les ans, alors que le rendement de l’or ne s’appréciera que lors du moment de la vente, ce qui fait de l’or un placement à part.

Les raisons qui peuvent faire repartir l’or à la hausse

Pour que le métal jaune remonte, il faudrait que l’inflation reparte à la hausse, pour refaire de l’or la valeur refuge numéro 1. Même chose pour les salaires. Concernant les Etats-Unis, il faudrait de mauvaises perspectives économiques avec des taux d’intérêts négatifs. Enfin, il ne faut pas que les états soient vendeur, une baisse des réserves feraient chuter à coup certain l’or avec le jeu des vases communicants. 

Pour le moment, rien de tout cela ne se passe, c’est même le contraire qui est entrain d’arriver, raison de la chute du cours de l’or. Grosso modo : plus l’économie va mal, et plus l’or monte. En cas d’embellie, c’est la dégringolade.

Comme toujours depuis quelques années, ce sont les Etats-Unis et la Chine qui vont faire la pluie et le beau temps pour les prévisions du cours de l’or à venir. Notre conseil, même si les prix sont bas : acheter, mais en très petite quantité, les risques de baisses étant très importants à l’heure actuelle.

La France en faillite: une année noire pour les épargnants ?

La situation de la France ne s’améliore pas, c’est indiscutable. Ce dont on parle le moins c’est d’une très probable dégradation de l’environnement économique, pouvant même mener jusqu’à la faillite de la France. Le commerce extérieur va mal, les dépenses publiques sont élevées et par voie de conséquence la dette l’est aussi, tandis que le chômage ne cesse de grimper. Que l’on se rassure, si l’effet domino entraîne une faillite des banques françaises, la garantie des dépôts bancaires en France protégera le consommateur. Surtout s’il a eu la prudence de souscrire des assurances vie.

Faillite de la France : les signes


Le commerce va mal, très mal

Les chiffres du commerce extérieur suscitent l’inquiétude chez les spécialistes. La différence entre les importations et les exportations n’a cessé d’évoluer en faveur des importations. Nous nous trouvons donc dans une situation de balance courante en perpétuelle récession, ayant même atteint un seuil négatif en 2005. En 2011, le déficit du commerce extérieur français se montait à 73 milliards d’euros.

Comparons la France à une entreprise. Si cette entreprise dépense plus qu’elle ne gagne, elle a besoin d’emprunter sans cesse pour payer ses dépenses courantes. Si la France achète plus qu’elle ne vend, elle dispose de moins de capitaux pour se financer et doit alors faire appel à des investisseurs étrangers. Le jour où ces investisseurs étrangers se retireront, ils pourront provoquer la faillite de la France.

Coup de théâtre : en 2013 le déficit extérieur a baissé de 6 milliards d’euros. Douche froide : on apprend que 60 % de la réduction du déficit est dû à une baisse de la facture énergétique.

Les dépenses publiques sont élevées

Les règles de sécurité de l’Union Européenne veulent que les déficits budgétaires ne dépassent pas 3 % du Produit Intérieur Brut (PIB). En France, nous en sommes loin avec -4,3 % en 2013 et -3,8 % en 2014. La faute aux 1000 milliards d’euros dépensés chaque année pour faire tourner les politiques publiques. Financement des couvertures sociales, des collectivités territoriales, dépenses de l’État, coût de la fonction publique, nous en arrivons à une dépense publique équivalente à 56,3 % du PIB.

L’heure n’est donc pas à la demi-mesure, le nouveau premier ministre M. Manuel Valls a présenté un plan d’économie de 50 milliards d’euros sur 3 ans, plan qui a obtenu la confiance de l’Assemblée nationale. C’est obligatoire, car si la France n’a plus d’argent elle ne peut plus financer les banques qui financent les entreprises. Les prévisions se veulent rassurantes : on arrivera à un déficit de 3 % à l’horizon 2017. Mais ce ne sont que des prévisions.

La dette de la France ne s’améliore pas

En 1974, la dette de la France représentait 21,2 % du PIB. Aujourd’hui elle est à plus de 91 %, mais devrait repartir à la baisse à la fin de l’année 2014. Et il vaudrait mieux, car les intérêts de la dette représentent la première dépense de l’État : 46 milliards d’euros. Les deux tiers de cette dette sont détenus par des non-résidents français, donc des créanciers à qui on ne pourra pas demander de tirer un trait sur leur avoir par esprit patriotique.

Or il faut bien emprunter pour payer les dépenses publiques, quand on n’a pas un sou en poche. C’est la raison pour laquelle les agences de notation Standard & Poor’s et Moody’s ont dégradé la France de son AAA à AA+. Cela n’a pas empêché le ministère des finances d’emprunter à des taux relativement avantageux sur le marché, fort heureusement.

Le chômage, toujours le chômage

À la fin 2012 on comptait environ 500 000 chômeurs longue durée, ce qui représente une progression de près de +19 % sur 12 mois. Le nombre de chômeurs de plus de 50 ans a augmenté de +15,2 % sur 1 an, pour atteindre lui aussi environ 500 000 personnes. 

la france en faillite

En mars 2014, on nous parlait de la stabilité du chômage. Cela signifiait plus clairement qu’il y eut 1600 personnes supplémentaires inscrites à Pole Emploi, exactement comme en février 2014. En 1 mois le chômage a donc crû de +4,1 %, le nombre de chômeurs supplémentaires augmente donc de façon constante.

En mars 2014, la France métropolitaine comptait 5 621 700 demandeurs d’emploi, soit une augmentation de +5,2 % sur un an. Et le chômage coûte cher : près de 19 milliards d’euros par an. Comment financer ces dépenses lorsque la balance du commerce extérieur ne cesse de diminuer ? Mais en grossissant la dette bien sûr.

Scénario en cas de faillite bancaire


La garantie des dépôts bancaires en France

En cas de faillite des banques françaises en 2015, l’épargnant est protégé. Grace à de nouveaux accords sur l’union bancaire, les dépôts sont maintenant garantis à hauteur de 100 000 € par compte. Les consommateurs disposant de moins de 100 000 € sur leur compte courant n’ont donc rien à craindre. Celui qui dispose de plus de 100 000 € peut tout simplement ouvrir plusieurs comptes bancaires, afin de protéger son épargne de la crise.

faillite de l'état

Et encore, les états eux-mêmes peuvent décider d’augmenter le plafond de garantie des individus, en fonction de leur situation. Un État peut par exemple exonérer les PME de participation, ou mettre à l’abri les personnes ayant récemment conclu une transaction immobilière. Le scénario chypriote d’une taxation de 47,5 % des dépôts au-delà de 100 000 € est tout de même peu probable en France.

Fin de l’euro et retour au franc ?

La fin de l’euro n’est certainement pas pour 2017, même en cas de faillite de l’un de ses poids lourds comme la France. En tout état de cause, même au cas où le retour au franc serait d’actualité, les dépôts bancaires et épargnes seraient garantis à hauteur du même montant, une fois la conversion euro-franc effectuée.

L’assurance-vie pour protéger son épargne de la crise

Les dépôts effectués sur une assurance-vie n’entrent pas dans le cadre de la garantie des dépôts bancaires limités à 100 000 €. Cela signifie qu’un particulier peut disposer de 100 000 € sur son compte courant et de 100 000 € sur son assurance-vie, ces 200 000 € de capitaux seront toujours garantis.

Une crise des subprimes ? Titrisation en France, shadowbanking en Chine, surendettement en Grèce…

L’économie se redresse, l’Europe renoue avec la croissance et le printemps revient. Tout cela ne serait que bonnes nouvelles sans l’arrivée des titrisations dans l’économie française, le risque du Shadow Banking à outrance en Chine, et surtout les signes d’une probable crise de l’immobilier en Grèce. On a vu des printemps pluvieux, et certains analystes tirent la sonnette d’alarme quant à la possibilité d’une nouvelle crise économique mondiale en 2015. Si on ne peut pas encore parler de l’arrivée imminente d’une crise financière en 2015, il serait bon de gonfler la bulle de la croissance avec prudence, pour éviter l’éclatement. Voici trois signes que les ministres de l’économie feraient bien de prendre en compte.

La titrisation des créances en Europe


En quoi consiste la titrisation des créances ?

Lorsqu’un particulier ou une entreprise souscrit un crédit auprès d’une banque, la banque possède donc une créance envers l’emprunteur. Elle lui a prêté un capital sur lequel elle perçoit des intérêts pendant un certain temps, capital qu’elle ne pourra récupérer qu’avec parcimonie, jusqu’à la fin des remboursements. En clair, l’argent prêté ne pourra pas servir à prêter davantage jusqu’à ce qu’il soit intégralement remboursé.

Si elle veut disposer du capital prêté avant qu’il ne lui soit entièrement remboursé, une banque peut revendre sa créance à des investisseurs. C’est ce que l’on appelle une titrisation. Cela ne change absolument rien pour l’emprunteur, qui continue à rembourser sa banque, banque qui reverse ces remboursements aux investisseurs auprès de qui elle a « titrisé ».

Jusqu’ici tout va bien, sauf lorsque les emprunteurs ne remboursent plus.

La titrisation provoquera-t-elle l’effondrement de l’économie française en 2015 ?


La Banque Centrale Européenne (BCE), la Banque de France (BDF) et d’autres banques centrales de pays européens soutiennent la titrisation des créances. C’est ainsi que plusieurs grandes banques comme BNP Paribas, Crédit Agricole, HSBC France, Société Générale et BPCE se sont lancées dans la titrisation au début avril 2014. 

Au grand dam des détracteurs de ce principe financier, qui rappelle que Lehman Brothers était spécialistes de la titrisation.

Pas de panique répond la Fédération des Banques Françaises (FBF), notre titrisation à nous répond à « des standards élevés de transparence, de simplicité et de sécurité favorisant ainsi une titrisation de haute qualité ». Les 2,65 milliards de dollars titrisés en avril ont une maturité de 3 ans, leur risque est en partie garanti par la Banque de France. Dernières informations rassurantes, la FBF précise que les créances adossées à ces titrisations ont une note élevée dans l’échelle de cotation de la Banque de France.

Lehman Brothers aussi avait une note de confiance élevée au sein des agences de notation.

La bombe à retardement chinoise


Définition du Shadow Banking

Le Shadow Banking est l’art et la manière de financer comme une banque, sans être soi-même une banque, en prenant le moins de précautions et le plus de risques possibles. Comme il faut bien une entité légale, on a recours à des trusts, c’est-à-dire des sociétés financières en qui il ne faut surtout pas avoir confiance. Alors pourquoi le Shadow Banking représente 20 % du PIB chinois, pour un volume de l’ordre de 3300 milliards de dollars ?

danger des subprimes

Parce que les banques traditionnelles et sérieuses sont moins enclines à prendre des risques et donc à financer des projets insensés. En contrepartie, le rendement qu’elles distribuent sur leurs placements financiers n’est pas vraiment attractif. Par conséquent les villes chinoises souhaitant se livrer à des projets pharaoniques empruntent à la finance du Shadow Banking, qui elle-même s’adresse à des investisseurs privés attirés par les promesses de gros bénéfices.

Quand le Shadow Banking menace de provoquer une crise financière en 2015

La China Credit Trust a récemment fait trembler l’économie mondiale. Cette très respectable société de Shadow Branking avait collecté 500 millions de dollars pour les prêter à une entreprise énergétique de la province du Shanxi. Tout se passe bien pour les 700 investisseurs qui récupèrent environ 80 millions de dollars, jusqu’à ce que cette entreprise fasse faillite en 2012 et les laisse sur le carreau pour 420 millions de dollars.

La banque ayant servi de devanture légale se désolidarise de la chose et s’en frotte les mains. Le gouvernement chinois réagit aussitôt en trouvant d’autres investisseurs, et en forçant la banque impliquée à mettre la main à la poche. Les victimes du Shadow Banking, à savoir les 700 investisseurs, récupéreront la totalité de leur capitale et tireront un trait sur leurs intérêts.

Mais ça, c’était pour uniquement 500 millions de dollars. Que se passera-t-il si les 600 milliards de dollars financés à travers le Shadow Banking chaque année ne sont pas remboursés ?

Risque de crise immobilière en Grèce


La Grèce se redresse, mais n’est pas encore debout

Bonne nouvelle, la Grèce pourrait afficher un excédent budgétaire en 2014. C’est ce que nous apprend la troïka, précisant même que cet excédent budgétaire pourrait atteindre les 1 milliards d’euros. Sauf que l’on entend un autre son de cloche du côté des banques. Dans un rapport publié conjointement dans la presse grecque, les banques avancent que 2 millions de prêts sont aujourd’hui en défaut de paiement. Il y aurait dessus notamment 300 000 crédits immobiliers dont les remboursements n’ont pas été honorés depuis 3 mois.

crise immobilière

Pas de panique, nul doute que l’Union Européenne (UE) et le Fonds Monétaire International (FMI) vont financer tout ça. Eh bien justement, sans doute pas.

Retour probable des saisies immobilières

Les saisies immobilières peuvent reprendre en Grèce depuis le début de l’année 2014. Cela signifie que si ces 300 000 prêts immobiliers non-remboursés ne sont finalement pas soldés, on procédera à quelque 300 000 saisies dans la péninsule hellénique. Et 300 000 logements supplémentaires sur un marché toujours fragile, cela suffit pour provoquer une crise immobilière en Grèce.

Tout le monde connaît maintenant l’effet domino techniquement nommé « crise systémique », qui pourrait alors fort bien provoquer une crise financière en 2015. Une situation qui forcerait les banques centrales à faire fonctionner la planche à billets, avec les risques d’inflation que l’on connaît.

Investir dans l’or ou le diamant: quel cours va monter ou baisser ?

Le placement dans l’or a été très attractif depuis le début de la crise économique mondiale en 2008. La hausse du cours du lingot d’or en a rendu riche plus d’un, en passant de 17 477 € en décembre 2007, à 43 296 € en août 2012. Après ces années fastes, le cours de l’or a diminué sans s’effondrer, et aux dernières observations il pourrait suivre une évolution à la hausse. Et il n’est pas le seul, car la valeur du diamant a augmenté de l’ordre de 20 % d’année en année, alors qu’il n’est sujet à aucune cotation. L’investissement dans le diamant commence à faire des émules, attirés par les promesses de croissance chinoise.

Bilan sur le cours de l’or


Baisse du prix de l’or actuel

Au cours de l’année 2013, le prix de l’or a chuté de 28 % en dollars, terminant ainsi sa première année en repli depuis le début du XXIe siècle. Il naviguait autour des 1216,10 US$ l’once au début du mois de février 2014. 

À titre de référence, en décembre 2012 la cotation d’un lingot d’or à Paris était de 41 360 €. La tendance est partie drastiquement à la baisse, puisque ce même lingot ne valait plus que 28 606 € en décembre 2013. Rien de dramatique cela dit, la cotation du lingot d’or est toujours 2 fois plus élevée qu’en décembre 2004, date à laquelle elle se situait autours des 10 000 €.

Mais pourquoi le cours mondial de l’or baisse ?

De nombreux spécialistes expliquent la baisse du prix de l’or par la chute du prix des matières premières. D’autres explications avancées sont les risques de déflation dans la zone euro, c’est-à-dire la baisse des prix. Le placement dans l’or fait figure de refuge en cas d’inflation, pas en cas de déflation. Enfin, à la mi-décembre 2013 la réserve fédérale américaine a annoncé la fin progressive de son plan de soutien à l’économie. Cette annonce fut le signe pour beaucoup d’une reprise de l’activité de la première puissance économique mondiale, par conséquent le précieux métal jaune pris de moins en moins de place dans les projets des investisseurs.

Prévision du cours de l’or en 2015

Il semble que les géants producteurs d’or aient été trop optimistes sur la consommation mondiale du précieux métal. Les plus grands acteurs du milieu s’étaient basés sur une cotation entre 1500 $ US et 1400 $ US de l’once, alors que celle-ci est descendue à 1220 $ fin 2013. Par conséquent ils devront bien baisser leur production, certains ayant même annoncé une réduction de 7 % de leur production d’or en 2014. 

La question que tout le monde se pose est quel sera le cours de l’or en 2015 ? La Banque Centrale de Chine, certaines banques centrales d’Asie et du Moyen-Orient semble penser que la baisse du prix de l’or ne durera pas. Pour preuve, elles ont profité de la cotation avantageuse pour acheter le précieux métal jaune en masse. Et ce que l’on sait pour sûr, et que les analystes les plus doués ne travaillent pas pour les journaux mais pour les banques centrales…

Faut-il acheter de l’or ?

La règle des marchés financiers veut que l’on achète lorsque les cours baissent. La règle de l’optimisation financière veut que l’on attende le point précis d’inversion de la courbe pour acheter. La réalité nous apprend que seuls les chanceux arrivent à acheter de l’or précisément sur le point d’inversion. Et si l’on observe d’un peu plus près le marché aurifère, on s’aperçoit que certaines compagnies cotées sur le marché secondaire ont des coûts de production largement en dessous de la cotation actuelle de l’or. Cela devrait préserver l’attractivité de leurs actions, voire stabiliser les cours.

La valeur du diamant


combien vaut un diamant

Y a-t-il un cours du diamant ?

Il n’existe pas de cours officiel du diamant. En revanche, certaines grilles d’évaluation apparaissent régulièrement sur le marché, c’est le cas du  «Rapaport» duquel les professionnels se basent pour fixer leurs prix. Martin Rapaport est un professionnel connu et reconnu pour son expertise en termes de valeur du diamant. C’est lui qui a établi les premières listes des prix de diamant en 1978, listes aujourd’hui indissociables du marché diamantaire. Il a maintenant créé un site intitulé RapNet, qui permet aux internautes de connaître les prix du diamant, à défaut d’une cotation officielle.

Quel sera le cours du diamant en 2015 ?

S’il n’y a pas de cours officiel du diamant, il y a donc la fameuse liste de Matin Rapaport. Il y a également les estimations de plusieurs professionnels du marché, et surtout la demande grandissante des pays émergeant. En Inde et en Chine on aime l’or, et l’on vénère le diamant. En 2012 des courtiers en diamant prévoyaient une hausse du cours du diamant, et ils ne se sont pas trompés. Il existe beaucoup trop de diversité dans les diamants pour donner un chiffre général. Il est cependant raisonnable de tabler sur une tendance à la hausse de la valeur du diamant.

La Chine, pour ne citer qu’elle, représente actuellement moins de 15 % du marché diamantaire. Mais la classe moyenne se développe, et le nombre de millionnaires augmente. On estime que les Chinois pourraient représenter 40 % des acheteurs de diamant à l’horizon 2020. Quand bien même cette proportion ne serait pas atteinte, l’augmentation de la demande suffirait à faire monter le cours du diamant.

Comment investir dans l’or et le diamant


L’investissement dans le diamant

Les frasques des milliardaires amoureux de starlettes ont contribué à l’établissement d’une image luxueuse, qui colle au diamant depuis des années. Pourtant il n’est nul besoin de signer un chèque à plusieurs zéro pour effectuer un investissement dans le diamant. 

Certaines sociétés proposent à des particuliers d’acheter une part de diamant. Le montant de la part est déterminé en fonction du carat, et dans certains cas le ticket d’entrée peut même être de 20 €. Une manière intelligente de profiter des hausses du cours du diamant, exactement comme on le ferait pour un placement immobilier ou financier.

Acheter des diamants physiquement

L’achat de diamant le plus commun se fait sous la forme d’un bijou monté, que l’on porte sur soi dans les grandes occasions et que l’on enferme dans un endroit sécurisé le reste du temps. Le diamant se transmet de génération en génération, ou se revend monté sur son bijou lorsque l’on constate une hausse du cours suffisamment importante. Ceux qui désirent réaliser un simple investissement dans le diamant pourront acheter la précieuse pierre, et la tenir en sécurité dans un coffre à la banque.

Car c’est là un des nombreux avantages de l’investissement dans le diamant : il est possible de transporter une forte valeur dans une poignée de main. La valeur de certains diamants équivaut à celle d’une valise remplie de lingots d’or. C’est toujours plus discret, moins lourd, et par conséquent les transactions de diamant présentent beaucoup moins de frais.

Les précautions à prendre lors d’un investissement dans le diamant

La seule chose que la plupart du commun des mortels sait d’un diamant, est qu’il brille. Excellente raison pour des courtiers peu scrupuleux de proposer des pierres s’apparentant au cristal, et dont la valeur pourrait peut-être permettre de se payer un café au bistrot du coin. Le diamant reste un investissement intéressant, surtout l’égard à la hausse probable de son cours, mais à condition qu’il soit vérifié et certifié.

Il est ainsi recommandé d’acheter un diamant muni d’un certificat. La Gemological Institute of America (GIA) est une organisation mondiale, visant à éduquer le public sur l’évaluation des pierres précieuses. Un certificat de valeur et d’authenticité délivrée par le GIA suffit pour vous rassurer dans votre achat. Vous pouvez également vous adresser au High Diamond Council (HRD) en Belgique, à l’International Gemological Institute (IGI) ou à l’European Gemological Laboratories (EGL).

L’idéal est que le diamant soit marqué d’un numéro de certificat au laser. Il peut également être acquis emballé sous vide dans une gaine de protection en plexiglas. En tout état de cause, la présence du certificat de valeur s’impose.

Placement dans l’or, comment ça marche ?


placement or

La manière la plus simple d’acheter de l’or est de se rendre à sa banque, et d’acheter de la monnaie en or. Napoléon, Louis, chacune de ces pièces dispose de sa propre cotation. Ensuite, il est préférable de laisser ladite pièce dormir tranquillement dans les coffres de ladite banque. Une fois la hausse des cours suffisamment importante, on pourra revendre sa pièce et profiter de la plus-value. Précisons que le cours des pièces d’or n’est pas le même que celui des lingots d’or. Il est bien entendu indexé sur le prix de l’once, mais la valeur historique des pièces d’or joue un rôle sur leurs cotations.

C’est pourquoi il est souvent conseillé aux novices de se tourner vers le lingot d’or, et pas forcément pour un budget important. Le lingot d’or de bourse pèse entre 995 gr et 1005 gr. À l’extrême, les lingots d’or accumulé dans les sous-sols de la Banque de France pèsent 12,5 kg chacun. Certaines sociétés permettent intelligemment aux investisseurs d’acheter des lingots, fondus en fonction du montant désiré de l’investissement. Car le cours de l’or est fixé à l’once, à partir de cela il est possible d’obtenir un lingot grand comme le petit doigt, ou large comme un bras de Mike Tyson.

Acheter des actions de producteurs d’or

Il est également possible d’acheter des actions de sociétés minières productrices d’or. Il s’agit là d’une forme d’investissement dans l’or, dont la stratégie se base sur des données commerciales et comptables. Les actions d’un producteur d’or pourraient très bien baisser alors que le cours de l’or augmente, et inversement.

C’est pour cette raison que les puristes déclarent que l’investissement dans l’or doit se faire en détenant physiquement un Napoléon, un Louis ou un lingot dans les coffres de sa banque ou d’une société spécialisée.