35 AutoEntrepreneurs & Commerces Qui Cartonnent

Le guide 2018 pour monter son entreprise (franchise, auto-entrepreneur, business porteurs…).

La petite entreprise est un marché en expansion. Ouvrir un business rentable est un projet pour beaucoup, qu’ils soient jeunes diplômés, chômeurs de longue durée ou cadres voulant changer de vie. Reste à connaître les secteurs d’activités en croissance pour ne pas se planter, en auto entreprise ou non. En tout cas une chose une certaine : entrepreneur est un métier d’avenir. Ce qui marche :

  • Les franchises
  • L’autoentreprise
  • La micro entreprise
  • Certains secteurs en particuliers

Auto entrepreneur: quel métier rapporte ?


C’est la formule idéale avant de vous lancer dans le grand bain. Et des auto entrepreneurs qui cartonnent, il y en a un paquet ! Monter une petite affaire avec un petit budget, c’est largement faisable, à condition de choisir un secteur d’activité en expansion. Laissez moi vous donner leurs secrets.

Les nouveaux concepts qui marchent

  1. Se lancer dans des solutions informatiques auxquelles personne n’avait pensé jusqu’à maintenant comme l’e-learning, la 3D et le virtuel.
  2. Travailler comme coach. C’est à la mode, pour aider les clients à atteindre leurs objectifs, en les faisant bénéficier de votre expérience.
  3. Aider les créateurs d’entreprise à se lancer.
  4. Fabriquer des outils de communication originaux…

Mon conseil : commencez par faire ce que vous savez faire ! Il y a forcément un domaine où vous êtes bon. C’est là que vous devez creuser, car même avec un micro budget, ça fonctionne !

Des idées d’auto entreprise en fonction de vos qualités

Vous aimez parler et rencontrer des gens. Pour vous :

  1. Esthéticienne
  2. Coiffeuse
  3. S’occuper d’une personne âgée.
  4. Jardinier.
  5. Nounou.
  6. Dépanneur informatique.
  7. Coursier.
  8. Ouvrir des chambres d’hôte.
  9. Organiser des visites touristiques.

Vous savez faire des choses de vos mains. Pour vous :

  1. Fabriquer des produits artisanaux, et les vendre.
  2. Donner des cours de loisirs créatifs.
  3. Couture.
  4. Personnaliser des objets.
  5. Bricoler.

Vous savez cuisiner. Pour vous :

  1. Préparation de repas et livraison à domicile.
  2. Cours de cuisine.

Les animaux vous passionne. Pour vous :

  1. Promener chiens et chats
  2. Garder les animaux au domicile de leur maitre pendant les vacances, ou chez vous.

Vous aimer faire la fête ?

  1. Organiser des goûters d’anniversaire ou des mariages.
  2. Faites danser les gens (DJ)
  3. Créer des faire parts de mariage originaux.

Sans diplôme et auto entrepreneur ? Ce qui marche


Certaines professions sont réglementées, et nécessitent d’avoir un diplôme. Mais il y a beaucoup d’activités commerciales que vous pouvez faire sans en avoir un, comme :

  1. L’achat et la revente de marchandises (excepté les cigarettes).
  2. Ouvrir un restaurant.
  3. Vous lancer dans une activité libérale qui n’est pas réglementée : naturopathe, réflexologue, musicothérapeute, sophrologue, art-thérapeute…
  4. Devenir consultant.
  5. Faire traiteur.
  6. Fabriquer des objets.
  7. Travailler dans l’informatique.

Ce que vous n’avez pas le droit de faire

Ce sont surtout certaines activités artisanales, qui sont bien réglementées, et qui demandent un CAP ou un BEP, comme :

  • La mécanique.
  • Les métiers du bâtiment.
  • Le ramonage.
  • L’esthétisme (les soins) et la coiffure.
  • Les métiers de bouche qui nécessitent de la fabrication : boulangerie, pâtisserie, boucherie, charcuterie et poissonnerie…

Quel commerce ouvrir avec un petit budget ?


Une micro-entreprise qui rapporte ne nécessite pas forcément d’investir trop d’argent dedans. Le commerce qui marche le mieux n’est pas celui qui coûte le plus cher !

Ce que vous pouvez faire avec un budget de 5000 € et moins

Vous avez peu de capital ? Même s’il vaut mieux démarrer avec un bon apport, ce n’est pas primordial. Vous pouvez vous lancer même si vous avez peu d’argent à investir dans votre auto entreprise.

Je vous conseil d’abord d’abandonner l’idée d’ouvrir un commerce. En comptant le local + le stock, votre budget sera bouffé trop vite. Vous devez vous concentrez sur une idée qui ne nécessite de faire d’importants investissements.

Quelques idées :

  1. Ouvrir une boutique de e-commerce en ligne : vous n’avez pas besoin d’avoir une boutique et dans certains cas, vous pouvez même fabriquer à la demande.
  2. Vous lancer dans le service à la personne : la matière première, c’est vous, donc l’investissement est de 0.
  3. Faire de la vente à domicile : même chose. Peut-être aurez-vous quand même besoin d’un véhicule.
  4. Vous installer comme agent immobilier, mais en indépendant : vous êtes payé à la commission et vous profitez des infrastructures d’un autre.
  5. Faire de la brocante.
  6. Donner des cours à domicile, ou en ligne.

Vous voulez ouvrir une enseigne franchisée ? Allez voir ailleurs ce qu’il s’y passe !


C’est un marché porteur. Les franchises qui marchent à l’étranger sont de bonnes idées de business pour un auto-entrepreneur débutant. Les secteurs qui marchent ailleurs sur la planète peuvent aussi réussir chez nous.

Dans la série des bonnes idées, les meilleures franchises du moment sont celles qui innovent et qui prennent des risques, en inventant un nouveau concept. Pour ne pas louper l’affaire du siècle, restez connectés à l’actualité des startup qui sont un bon baromètre de ce qui va révolutionner le monde.

À LIRE : comment démarrer avec 10000 euros ?

Se servir de ce qui existe déjà

L’avantage de se lancer avec un petit budget ( si c’est possible) dans quelque chose qui a déjà fait ses preuves ailleurs, c’est qu’on a entre les mains une enseigne qui a bien fonctionnée. Donc, en appliquant bien la recette, vous devriez aussi pouvoir en retirer du profit.

Pour connaître les business qui marchent, c’est ICI

Parmi les idées récentes qui ont rencontrées leur public en France : les yaourts glacés, ou les salons de coiffure express, sans rendez-vous. Si vous voulez réussir, prenez donc un billet d’avion et parcourez le monde. Vous y puiserez toute l’inspiration nécessaire.

Les franchises qui marchent


Jetez un coup d’oeil, ce sont de bonnes idées, même si elles ne sont pas les seules.

Une franchise de salon de coiffure express

Il fallait y penser, mais beaucoup de gens n’aiment pas passer des heures dans un salon de coiffure. L’idée est donc de coiffer et de couper les cheveux très vite, sans faire de shampoing. Cette franchise s’appelle BEAUTY BUBBLE, et permet de se faire pomponner en 10 minutes pour 10 euros. C’est pas cher et rapide.

Combien faut-il mettre d’argent ?

Au niveau de l’investissement demandé, il faut avoir environ 20000 euros à mettre dans le projet. Pas de boutique à proprement parler, mais des espaces dans des lieux fortement fréquentés : gares, aéroports, centre commerciaux… Ces petites surfaces permettent de dégager une rentabilité maximale sans investir trop d’argent : pas de rachat de fonds de commerce, pas de travaux…

La franchise, elle, cartonne et les BEAUTY BUBBLE s’ouvrent un peu partout dans des endroits emblématiques, à Paris et en province. Il n’est pas nécessaire d’avoir fait des études de coiffure pour devenir franchisé de l’enseigne (mais il faut en embaucher au moins un de diplômé). Mieux vaut être un bon gérant, avec des aptitudes commerciales et financières.

Une franchise de yaourts glacés : LLAOLLAO

Le marché du yaourt glacé en France augmente car c’est à la mode, popularisé par les youtubeuses.  A l’étranger, ça cartonne déjà depuis un bon moment, là où les glaces reculent. Le frozen yogurt, c’est l’avenir du dessert rafraichissant, car très branché et peu calorique.  Beaucoup de parfums et de toppings sont proposés aux clients.

On en trouve même en libre service (Tutti Frutti). Ne pas avoir d’employés réduit considérablement les frais fixes, c’est la borne automatique qui s’occupe de tout (ou plutôt le client, qui paye pour faire le travail). Plusieurs nouveaux points de vente sont prévus en France.

Une recette simple mais qui cartonne :

Quel investissement ?

LLAOLLAO, pour un apport total de 90000 € (dont 15000 de droit d’entrée), avec une formation inclus et des aides au financement possibles.

Attention : cette somme ne comprend pas le droit au bail, tout dépend donc du local, de sa taille et de son lieu d’implantation, sachant qu’il faut privilégier le centre ville ou les stations balnéaires. Comme dans presque toutes les franchises, il faut reverser annuellement des royalties et une somme pour la publicité.

Monter votre boîte : quel statut adopter ?


À LA RECHERCHE D’UNE L’IDÉE QUI MARCHE ? monter une pizzeria

Quel capital minimum pour démarrer son entreprise ?

Qu’il est loin le temps où il fallait avoir les poches pleines pour pouvoir se mettre à son compte. Aujourd’hui, un euro symbolique suffit pour créer sa société, même s’il en faudra beaucoup plus pour lui mettre le pied à l’étrier.

Mais l’apport personnel, lui, peut se limiter à cette somme là. Le capital minium n’est donc plus de mise, sauf pour les sociétés anonymes. Pour l’EURL (associé unique) ou la SARL (2 associés ou plus), un euro, c’est suffisant.

L’apport en capital va dépendre de la teneur du projet

Tout dépend s’il y a un droit au bail à acheter, un stock à créer, et des prêts à obtenir. Car la banque ne prêtera que s’il y a un apport personnel en rapport avec la demande de crédit, soit au moins 1/3 de la somme.

De plus, les fournisseurs regardent souvent le capital minimum pour s’assurer du sérieux d’une entreprise. Et 1 euro ne leur inspire pas d’accepter un paiement à 30 jours ou plus.

À LA RECHERCHE D’IDÉE ORIGINALE ? investir dans une ferme

S’installer en micro entreprise : une vrai bonne idée ?


Un point sur le statut d’auto-entrepreneur : Il fait le une de l’actualité depuis 10 ans, et on a bien failli lui couper les vivres avant qu’il renaisse de ses cendres. Mais pour une fois qu’une mesure économique fait le consensus dans les deux camps, il aurait été stupide de la remettre en question. Non seulement, cela n’a pas été le cas, mais elle vient même d’être renforcée, surtout pour ceux qui tirent le diable par la queue.

Vous voulez entreprendre ? Les nouveautés qui vous attendent en 2018

Pour les auto-entrepreneurs et les micro entreprises, c’est une petite révolution qui se prépare grâce à Macron, pour qui, dans l’idéal, chacun devrait bientôt être en mesure de créer son propre emploi. 

Les grands changements sont :

  1. Un plafond de chiffre d’affaire multiplié par 2.
  2. Commerçants et artisans vont aussi pouvoir bénéficier de ce régime.
  3. Plus de cotisations sociales pour tout le monde en année 1, et pas seulement pour les chômeurs qui bénéficient de l’ACCRE.
  4. RSI à la poubelle, et passage de tous dans le grand régime général de la sécurité sociale (avec malheureusement une petite hausse des cotisations.
  5. La possibilité de s’inscrire à Pôle Emploi et surtout d’être indemnisé par les Assedics.

1. Le CA

C’était jusqu’à présent le principal frein. Bien trop bas, il empêchait beaucoup la volonté d’entreprendre. Bon à savoir : réévaluation du  seuil prévue tous les 3 ans.

Les nouveaux plafonds :

Attention : si vous dépassez le plafond en année 1, c’est que ce régime n’est pas fait pour vous. Vous serez automatiquement re-dirigé vers une entreprise individuelle.

2. Artisans et Commerçants

Ils se plaignaient d’une concurrence déloyale du régime d’auto-entrepreneur par rapport au leur. Maintenant, ils peuvent, s’ils le veulent et si leur CA le permet choisir le régime de la micro entreprise pour leur activité, et même passé de l’un vers l’autre d’une année sur l’autre.

Rappel : en micro-entreprise, vous ne pouvez pas déduire la TVA. Le jeu en vaut-il la chandelle ?

3. Les cotisations sociales

Avoir une année 1 sans charges, c’est pouvoir se servir de cet argent pour développer son entreprise. Pour le moment, seuls les demandeurs d’emploi depuis + de 6 mois y avaient droit. L’idée est bonne, à condition que chacun joue le jeu et n’abuse pas du système (ouvrir une micro entreprise, la garder 1 an ouverte, la fermer, en ouvrir une autre…)

Les taux de cotisations actuels :

4. Plus de RSI

Qui n’a pas un ami ou un membre de sa famille qui passe ses journées à râler contre le RSI ? Pas grand monde. Il faut dire que le système date et ne brille pas par son efficacité, alors qu’il devrait être au service de ses adhérents.

L’idée est donc de passer tout le monde au régime universel. Cette uniformité aura au moins le mérite de mettre les uns et les autres sur un pied d’égalité.

5. Le droit de toucher le chômage

Jusqu’à présent, un créateur qui met la clé sous la porte n’a que ses yeux pour pleurer ses poches vides. Le micro-entrepreneur va maintenant lui aussi avoir le droit à l’assurance chômage. Fini le spectre de la cessation d’activité. Prendre des risques se voit enfin récompensé.

Des idées pour créer votre micro entreprise

Les auto-entrepreneurs, s’ils ont bien la fibre commercial en eux manquent parfois d’idées, surtout quand il s’agit de se trouver un complément de revenu . La liste à suivre n’est pas exhaustive, mais elle peut faire s’allumer la petite ampoule dans votre esprit avide de se lancer.

  • Apporter un service à domicile : s’occuper d’une vieille personne en lui préparant son diner et en lui faisant les courses et le ménage, faire des massages ou de belles coupes de cheveux, tondre les pelouses.
  • Proposer un service : baby sitting, informatique, jardinage, déménagement, conseils ou aide à remplir les documents administratif.
  • Mettre en avant vos compétences : dans le sport, dans les matières scolaires, dans un art, la musique ou les langues étrangères.
  • Avoir la bonne idée : qu’elle concerne l’artisanat, l’écologie, la nourriture.
  • Travaillez à la maison : faites du repassage chez vous, construisez des meubles, préparez des repas que vous irez vendre sur le marché…

Bref, il n’y a pas une direction à prendre, il y en a 100 000. Reste à trouver celle où vous vous sentez le mieux, et qui corresponde à vos inspirations (ce qui vous permettra, le cas échéant, de gagner un peu mieux votre vie).

ON N’Y PENSE PAS MAIS CA MARCHE : ouvrir une friperie

C’EST A LA MODE : ouvrir un magasin de jeux vidéos

Les secteur économiques porteurs


Dans quel domaine créer votre entreprise ? En France aussi, il y a de bons concepts. Il n’y a pas que les étrangers qui soient capables de cartonner dans le biz, les français, s’ils s’en donnent la peine, le peuvent aussi !

La preuve avec tout se qui touche au luxe, qu’il est possible d’implanter ailleurs, notamment dans les pays du Golf. Les vêtements haut de gamme, les bijoux, les parfums, les belles montres…

Le futur

Parlons des gros justement. De ceux qui voient grand, avec l’idée de devenir riche. Si, si, ça existe, et c’est possible. Cela ne surprendra personne si dans ce domaine, ce sont les nouvelles technologies qui sont à l’honneur, en particulier les objets connectés.

Même si les lunettes de Google ne sont pas encore entrées dans les moeurs, il a fort à parier que la domotique va tout révolutionner et changer nos habitudes. Et les start-up lèvent des millions d’euros auprès des business angels prêts à financer les recherches avec des perspectives de gains importants. Les sociétés qui se sont lancées dans les imprimantes 3D en sont la preuve.

La liste des business angel qui investissent le plus en France :

Faire du commerce sur le net

Là, nous sommes dans le présent. Les commerces en ligne se multiplient comme des petits pains, et deviennent des poids lourds de l’économie. L’exemple de vente-privée est le plus emblématique. Mais il y a encore des choses à inventer, en particulier dans la vente et la fourniture de services.

La santé

Mais il n’y a pas que les robots qui ont le vent en poupe. Les cigarettes électroniques aussi. Vapoter vient même d’entrer dans le dictionnaire.

Et avec le nombre de fumeurs qu’il y a dans le monde, le marché est colossale. Les premiers à avoir transformer leur taxiphone en boutique de ce genre ont fait des fortunes.

Reste que la concurrence s’est organisée et multipliée, et que l’effet de mode dissipé, la croissance est redevenue régulière et modérée. A moins, qu’un scandale de santé publique associée aux produits utilisés éclate un jour.

Prendre soin de soi, c’est aussi manger mieux. Le gluten free est dans tous les rayons de supermarché, propulsé par des sportifs aux résultats éclatants. Avoir une alimentation sans blé, et sans produits laitiers est à la mode. De là à devenir tous des champions de tennis, il n’y a qu’un pas.

C’est mieux se soigner également, avec des vaccins qui respectent notre corps, des médicaments bio…

L’écologie

Tout ce qui touche à l’énergie, et à la façon de ne pas la dépenser inutilement. Au recyclage aussi, et à la lutte contre la pollution. Qui saura inventer la voiture électrique performante ?

Citons aussi les produits de beauté bio, la nourriture saine, les matériaux de construction qui ne donnent pas le cancer…

Les transports

Si vous avez de l’énergie, et que vous ne craigniez pas de vous lancer dans la circulation, alors ce secteur est fait pour vous.

Que vous soyez chauffeur de véhicule de tourisme, à la tête d’un rickshaw ou d’un vélo, le marché s’ouvre, surtout à Paris où les habitants considèrent qu’ils ne sont pas assez nombreux.

Les personnes âgées

Nous sommes tous appelés à en devenir une, si on a de la chance. Et nous voudrons profiter de la vie et de nos économies le plus longtemps possible.

Toujours plus nombreux, il faudra adapter les voyages et les activités, sans parler de l’aide à domicile. Un secteur passionnant pour qui sait bien s’y prendre.

Le tourisme

Là il faut savoir où on met les pieds, et comprendre que ça peut prendre, ou pas. On peut choisir de faire visiter sa ville à pied, de monter une table d’hôte, ou une petite auberge dans le Cantal. On peut aussi s’intéresser à certaines minorités, et leur proposés des produits adaptés.

On aurait pu aussi parler des secteurs à éviter, de ceux qui se cassent la gueule, de ceux qui ne rapportent pas un euro, mais on pense, à juste titre, qu’il faut positiver er donner les exemples qui fonctionnent.  A vous d’y piocher une idée, une source de motivation ou une direction à prendre. Quand vous aurez donné vie à votre projet, une chose est sûre : vous ne serez plus jamais le même.

Si malgré tout, vous ne voulez pas travailler : lisez comment devenir riche sans rien faire…

Trouver un Nom d’Entreprise Original Qui n’Existe Pas

Vous cherchez un nom pour votre société ? Quelque chose de percutant pour un commerce rentable ? Alors vous êtes au bon endroit ! Au menu : les générateurs de noms d’entreprises gratuits, les services payants (si vous cherchez un service premium) et toutes les règles relatives au dépôt INPI.

Pourquoi est-ce important de trouver le bon nom ?

C’est lui que vos clients, fournisseurs, et collaborateurs vont retenir en premier lieu, et qui va vous permettre de communiquer.

Et en la matière, les idées originales ne manquent pas, à condition que le nom de domaine soit encore non utilisé et donc possible à réserver (je vais vous expliquer comment un peu plus bas dans cet article).

BON À SAVOIR : les auto-entrepreneurs aussi peuvent avoir un nom commercial

Et pourquoi ne le pourraient-ils pas ? D’accord, il s’agit d’une entreprise individuelle mais tout de même. Si rien ne l’indique lors de la création, rien ne vous en empêche.

Vous pouvez donner un nom à votre activité qui ne soit pas celui de votre patronyme. Pensez également à le déposer à l’INPI pour éviter tous litiges (attention il y a des frais pour cela, voir plus bas).

Une recherche pas si facile

Pour un auto-entrepreneur qui débute, choisir un nom d’entreprise original et qui n’existe pas est rarement quelque chose de facile à faire.

Que vous soyez dans l’informatique, le consulting ou le bâtiment, dans un secteur d’activité qui marche ou pas, le problème posé reste le même : comment être percutant et original à la fois ?

Trouver le bon nom

Je vous recommande d’éviter les clichés et les jeux de mots ringards qui n’aideront pas votre marque ou votre commerce à se valoriser. Ce que vous trouvez drôle ne l’est pas forcément pour tous, et d’une manière générale, humour et business ne font pas bon ménage. Ayez l’esprit tourné vers le long terme.

Un nom doit être :

  • Court
  • Facile à se rappeler
  • Avec une orthographe pas compliquée
  • Il doit faire penser à votre produit
  • Il doit être libre (réservé par personne)

Les règles de base

Essayez de trouver quelque chose de moderne, qui est dans l’heure du temps mais pas « à la mode », car on ne sait pas ce qu’il en sera dans 10 ans. La mode est éphémère et à trop surfer dessus, elle est dangereuse. Soyez créatif. Mettez-y votre personnalité, vos envies, vos espoirs.

Trouver un nom qui ne ressemble qu’à vous et qui pourra se décliner avec une identité visuelle efficace. Enfin, gardez à l’esprit que c’est la clientèle que vous visez qui fera le succès (ou non) de votre marque.

Pour trouver quelque chose d’accrocheur et de glamour à la fois, il est possible de passer par un générateur de noms d’entreprise gratuit ou bien avec un peu plus d’argent, par les meilleures agences de naming, spécialisées dans la création de marques. Une façon de rester zen et de vous concentrer sur le reste.

Les générateurs gratuits

Les réunions avec vos futurs associés se succèdent et vous n’avez toujours pas trouvé le nom de votre future entreprise ?

Le générateur de noms est un premier pas, facile à faire car il n’est pas payant, ce qui à son importance quand on peine déjà suffisamment pour rassembler la somme nécessaire au lancement de sa boîte. Les générateurs sont pleins de bonnes idées.

La liste non payante : 14 générateurs

  1. Trouver-nom-entreprise : permet de faire une recherche en s’aidant de la racine de votre activité.
  2. Trouverunnom : un peu le même principe avec la possibilité de savoir si le nom de domaine qui va avec est disponible.
  3. Id2nom : on va encore plus loin dans l’idée du package, avec la création du site Internet et du logo, bref de tout ce qui va entourer la marque.
  4. Generateur-marque : même chose, on sait immédiatement si le nom de la société est disponible (il ne s’agirait pas d’entrer en conflit avec l’INPI).
  5. NOMINO : recherche par nombre de syllabes.
  6. MotBot : conseillé si vous cherchez un nom de startup.
  7. Panabee : entrez les mots que vous souhaitez et le générateur fera le reste.
  8. Nomatic : donnez la racine et le générateur vous fera des propositions.
  9. Shopify : des milliers de suggestions.
  10. Impossibility : fonctionne par mots clés.
  11. WORDOID : créatif.
  12. NAMINUM : pour ceux qui cherchent la perfection.
  13. JENKENSON : pour quelque chose de classique.
  14. NameBoy : des idées mais pas trop créatif.

Avec ces outils là, vous allez avoir forcément des propositions à faire en réunion à vos associés. Si personne n’est encore convaincu, il faudra passer à l’étape suivante, à savoir payer une agence pour lancer sa marque.

Un générateur à la loupe : l’exemple de SHOPIFY

C’est un générateur de noms de boutiques ou d’entreprises. Comment ça marche ?

  • Commencez par entrer 1 mot (que vous voudriez voir figurer dans la proposition finale).
  • Lancez l’outil de recherche.
  • Vous avez aussi la possibilité de vérifiez la disponibilité du domaine

Comment faire le bon choix ?

Un générateur va vous faire des propositions, mais vous allez devoir choisir. Pour vous aider,  parlez-en autour de vous, idéalement à des gens que vous ne connaissez pas ou peu. Vous verrez bien leurs réactions et surtout s’ils retiennent facilement le nom que vous avez choisi.

Rappelez vous une chose : il faut que ce soit facilement prononçable et pas trop long car sinon il sera impossible à mémorisez (et dieu sait que les français ont la mémoire courte) !

Mon conseil : faites dans la simplicité. C’est bien d’être créatif mais à vouloir faire trop compliqué, vous allez vous prendre les pieds dans le tapis. C’est une étape de création d’entreprise qui n’est pas simple. No pain no gain comme on dit !

Passer par un service payant

Tout va dépendre de l’importance de votre business, si vous voulez vous lancer à l’international… Passer par une agence, ce n’est pas seulement trouver un nom, c’est réfléchir de manière globale à tout ce qui va être compris dans la marque, et à l’image que celle-ci va renvoyer au public.

Les agences dont c’est le métier connaissent les règles et les écueils à éviter. Ce qui vous coûte de l’argent aujourd’hui peut vous en faire économiser beaucoup demain.

les agences de création de noms de marque

Quelques exemples :

  1. Nomen : c’est un ensemble de compétences qu’on vient chercher ici : marketing, juridique, design… Car une marque ne sort pas d’un seul cerveau mais de celui d’une équipe entièrement tourné vers le projet.
  2. Fondamenti : comme son nom l’indique, ce qui compte dans une marque, ce sont ses fondamentaux. Car elle devra passer les années et continuer à être moderne. C’est le temps qui lui donnera toute sa valeur, à condition de prendre un bon départ.
  3. Enekia : cette jeune agence travaille sur les concepts, et ne fait pas de différence entre petite et grande entreprise. Ca sent la modernité à plein nez ici. Rappelez vous que le nom de votre société devra raconter une histoire. C’est une justification suffisante pour passer par une agence de naming.

Ce que vous devez savoir avant de vous décider

Une fois le choix fait et la machine administrative et marketing lancée, il sera difficile de revenir en arrière. Il faut donc ne pas se tromper. Le nom commercial devra répondre à des règles de base obligatoires, avec la nécessité d’éviter les pièges allant avec.

Les pièges à éviter

Le plus important est de ne pas prendre un nom qui est déjà pris par quelqu’un d’autre. Mais ce n’est pas le premier piège auquel penser, plutôt le dernier. Pour commencer, il faut prendre son temps car ce n’est pas un acte anodin. Il va s’inclure dans un projet global, donc il faut penser aussi déclinaison et utilisation.

Exemple de nom pour une SCI immobilière

Ce sont des noms difficiles à trouver. Mais l’étape est cruciale si vous ne voulez pas à avoir à changer de nom en cours de route.

Pour trouver l’inspiration :

  • Demander l’avis des gens qui vous entourent.
  • Faites des recherches sur la toile.
  • Penser à utiliser des synonymes.

Je vous donne une idée : si vous êtes plusieurs associés, prenez vos initiales et combinez-les, à condition qu’on puisse toujours prononcer le nom.

ATTENTION

Rappelez vous qu’une SCI doit avoir dans son nom celui des associés qui sont responsables des dettes ainsi que son statut juridique.

Le dépôt INPI

C’est la dernière étape. Une fois le précieux nom en poche, il faut se rendre à l’institut de la propriété industrielle pour le faire enregistrer. Ne pas le faire vous exposera à des complications juridiques un jour ou l’autre.

Cette visite à l’INPI vous permet d’abord de vérifier que le nom est libre, puis de le réserver pour plusieurs secteurs d’activité. Ainsi, personne ne pourra vous copier. Ne faites pas l’erreur de ne pas vérifier l’antériorité : vous pourriez perdre votre nom de domaine ou de société à posteriori.

Le coût :

225€ sans les options (cette somme a tendance à augmenter chaque année).

Important : ce prix ne couvre que la France. Si vous voulez enregistrer votre marque à l’international, il existe un forfait à 424 € qui couvre 75 pays.

Pourquoi l’enregistrement est important ?

Le dépôt d’un nom de marque à l’INPI va vous protéger et aura une valeur de preuve devant un tribunal pendant 10 ans. Si une autre société porte le même nom dans le même secteur d’activité, vous pouvez l’obliger à en changer.

Vous pouvez y enregistrer :

  • Un nom de marque
  • Un slogan
  • Un logo
  • Un signe sonore…

Lors de l’enregistrement, vous pourrez choisir trois secteurs d’activités (les « classes ») parmi ceux proposés. Chaque classe rajoutée à ces 3 là sera payante en plus (40 euros par classe).

La marche à suivre

Une fois que vous avez déposé votre nom à l’INPIE, vous n’avez plus qu’à aller enregistrer votre société au Registre de Commerce et des Sociétés (RCS) et auprès du Greffe du Tribunal.

Pensez à bien faire figurer votre nom dans vos statuts, puis à faire une annonce dans un journal légal.

BON À SAVOIR : vous avez toujours la possibilité de changer votre dénomination sociale pendant la vie de votre entreprise. Il faut juste que les associés soient d’accord, et refaire les formalités.

Des sites qui peuvent vous aider à protéger votre nom :

Vous pouvez aussi consulter le site Infogreffe pour voir si d’autres sociétés portent la même raison sociale que la votre.

2 sociétés peuvent elles avoir le même nom ?

Oui, à conditions qu’elles ne soient pas dans le même secteur d’activité, et que la réservation de celui-ci soit libre.

Vous vous souvenez de l’histoire du portail de Vivendi, vizzavi ? Ces champions du monde n’avaient pas vérifié que le site existait déjà, le nom appartenait à un obscur cyber-café. Résultat : Vivendi à payé 3,7 millions d’euros pour garder le nom. Le jackpot pour le cyber-café.

Qu’en est-il de l’enseigne ?

Pour les boutiques, c’est différent. Vous pouvez vous appeler pareil qu’une autre boutique, à condition qu’il ne s’agisse pas d’une marque. Si vous appelez votre restaurant « chez Jean-Pierre » ou « au rendez-vous des amis », vous aurez sûrement des homonymes dans d’autres villes de France.

À l’opposé, deux mêmes noms dans une même ville posera problème, à cause de la possibilité de confusion pour les clients. Il sera possible de faire débaptiser la dernière enseigne à s’installer.

Voilà. Si avec tout cela, vous n’avez pas réussi à trouver un nom… Alors je ne peux plus rien pour vous ! Mon conseil : ne passez pas plus de temps qu’il n’en faut là dessus (sans négliger cette étape bien sur), et utiliser votre précieux temps pour développer votre boîte ! Il faut avancer.

Investir au Maroc: Guide 2018 (idées business, immobilier)

Vous souhaitez investir au Maroc en 2018 ? Il y a des opportunités. Le royaume renforce sa réglementation et sa transparence afin d’implémenter un environnement sécurisé pour les investisseurs : exonération des plus-values immobilières, allégement de l’impôt sur le revenu locatif… Les autorités font tout pour attirer les capitaux ! À suivre : quels sont les projets rentables, et quel petit investissement faire avec des idées de mini projet.

Pourquoi choisir le Maroc pour investir ?

  • Un accord de libre échange avec l’Union Européenne existe depuis 18 ans !
  • La croissance est bonne (supérieure à celle de la France avec une hausse importante encore à venir).
  • Le niveau de vie des ménages augmente.
  • Le gouvernement facilite les investissements des étrangers : simplification des procédures pour créer une entreprise.
  • Les coûts de production sont intéressants : le salaire moyen du travailleur marocain est faible, 327 $ par mois (mais surtout les charges salariales sont réduites).
  • Le gouvernement investi dans des infrastructures de qualité : ports, routes, aéroports.

Est-ce une bonne idée d’investir dans l’immobilier au Maroc ?

Rappel : le droit foncier marocain est basé sur celui de la France, ce qui vous apporte certaines garanties si vous achetez dans le neuf.

Ainsi :

  1. Il est possible d’acheter un logement en VEFA (Vente en L’État de Futur Achèvement), en limitant les risques de vous faire arnaquer.
  2. Les paiements sont non-seulement échelonnés mais également réglementés. En fonction de l’état d’achèvement et de la garantie proposée par le promoteur, ce dernier doit présenter aux acheteurs un plan d’étalement des paiements.

Combien ça coûte d’investir dans l’immobilier au Maroc ?

Rassurez-vous : pas besoin de vous diriger vers des villas luxueuses ou des ryads d’exception pour effectuer un bon investissement. Il est possible d’acheter un superbe appartement à partir de 100 000 €, en bord de mer et dans une station balnéaire.

Si l’immobilier vous intérèsse, ces articles sont pour vous :

Les prix marocains :

L’investisseur ne doit pas pour autant oublier les règles de prudence. On peut différencier 2 catégories de prix :

  • les prix locaux
  • et ceux pour les « riches investisseurs » européens.

Une villa vendue à 700 000 € sur le marché international pourrait fort bien être obtenue moitié prix si l’on passe par un agent indépendant.

Attention : les prix peuvent fortement variés au sein d’une même ville, d’un quartier à l’autre : l’exemple de Casablanca.

Il s’agit toujours de porter une attention toute particulière sur l’emplacement et les finitions. Il est crucial pour l’investisseur de se déplacer afin d’observer par lui-même la qualité de la construction, mais également les infrastructures environnantes. Le bien doit être placé à proximité de transports, de commerces et d’animation.

Une fiscalité très attractive

Les étrangers sont exonérés d’impôt sur les revenus locatifs pendant les 3 ans qui suivent l’achèvement de la construction. Ce dispositif s’adresse donc particulièrement au neuf. Par la suite, l’abattement sur les revenus locatifs est de 40 %, contre 30 % en France dans la location vide.

Un appartement acheté et conservé pendant 8 ans ne donne pas lieu à l’impôt sur la plus-value. Ainsi, un Français prêt à investir en 2018, pourra revendre en 2026 sans payer d’impôt sur les plus-values.

Par ailleurs, s’il est non-résident il pourra transférer l’intégralité du produit de la vente de son bien en dehors du pays.

Vous ne voulez pas mettre toutes vos économies dans un projet ? Pourquoi ne pas acheter à crédit ?

Il est possible d’acheter un appartement au Maroc à l’aide d’un crédit immobilier. Les banques locales demandent un apport de 30 % aux étrangers.

Les taux sont à négocier avec les prêteurs potentiels, l’investisseur fera attention à la nature du taux. Car si en France on prête  majoritairement à taux fixe, les prêts immobiliers au Maroc pourraient être à taux variable.

Pour vous, Il s’agira de négocier des contrats représentants des limites de hausses de taux.

Acheter un riad pour le rénover : est-ce toujours rentable ?

Il y a 15 ans, tout le monde voulait acheter un riad à Marrakech ! Et la Medina voyait passer presque plus d’agents immobiliers que de touristes. La faute aux journalistes qui faisaient croire que l’on pouvait acquérir ces morceaux d’histoire pour une bouchée de pain.

Il faut dire que la ville à de quoi séduire les français en manque de soleil et de dépaysement. Quelques heures d’avion et le tour est joué, on peut y aller tous les week-ends, surtout qu’il y a des vols low-cost.

Les prix d’un riad

Ils ont grimpé en flèche, très vite, de 20% chaque année au début de cette ruée vers l’or immobilier. Ceux qui sont arrivés au tout début ont fait de très bonnes affaires, c’est certain, à condition de ne pas avoir trop de rénovations à faire.

Les travaux peuvent faire doubler ou tripler le prix d’acquisition. Il ne faut pas acheter trop cher. Hors, beaucoup ont continué à spéculer.

Attention aussi aux histoires d’héritiers. Beaucoup sortent du chapeau au moment de l’achat, compliquant grandement les choses et multipliant les intermédiaires pour réussir à devenir enfin propriétaire.

Pourquoi les prix vont continuer à monter : je vais vous dire un secret !

Les chinois arrivent ! Le tourisme chinois se développe au Maroc. Est-ce une bonne nouvelle pour l’économie locale et les investisseurs ? Pour les souks de la Medina de Marrakech comme pour celle de Fès, sûrement.

Les chinois achètent tout et n’importe quoi. D’ailleurs, ils n’ont plus besoin de visa pour se rendre au Maroc. S’ils commencent à s’intéresser à l’immobilier, nul doute que les prix vont exploser, une nouvelle fois.

L’autre bonne idée marocaine : investir dans les terres agricoles

Le royaume a pris conscience de l’importance à développer une solide infrastructure agricole. Les autorités ont ainsi mis sur pied une stratégie appelée Plan Maroc Vert. Le ministère de l’agriculture et des pêches maritimes entend consolider le secteur agricole, qui représente 19 % du PIB national.

L’objectif est ambitieux et louable : il vise à créer 1 150 000 emplois jusqu’en 2020, et à tripler ainsi le revenu de près de 3 millions de travailleurs du monde rural. Ce sont 545 projets d’intensification et/ou de professionnalisation de petites exploitations agricoles qui vont être mis en place.

Le pays recherche des investisseurs !

On a donc besoin d’investissements pour améliorer la distribution d’eau, et apporter des techniques modernes de production.

Bien entendu le rendement n’a pas été laissé de côté. C’est ainsi que le Plan Maroc Vert prévoit de se détacher progressivement des cultures trop dépendantes en eau, telle que la céréaliculture.

Monter une start-up au Maroc : les bonnes idées pour savoir dans quoi investir

Il y a un concours annuel parrainé par Total : le challenge Startupper de l’Année. On y retrouve tous les grands projets tournés vers l’avenir et vers le développement du continent. Les lauréats reçoivent une aide financière conséquente et un accompagnement de la part de Total.

Les projets récemment primés :

  1. L’application LIK mobile : où comment gagner rapidement du crédit téléphonique en contrepartie de réception de messages publicitaires.
  2. Un système permettant de marquer numériquement les animaux pour reconnaitre leurs propriétaires : Flextick.
  3. Un service de cours particuliers par visioconférence : ALLO OUSTAD

Point négatif : difficile de trouver un business angel

Avoir une idée c’est bien, mais il faut des fonds pour la mettre en oeuvre. Les start-ups sont des projets qui nécessitent beaucoup de cash pour passer du rêve à la réalité. Sauf qu’au Maroc, les fonds d’investissement prêts à prendre ce risque sont rares.

Quel fonds d’investissement contacter ?

Il y en a un qui devrait bientôt être opérationnel : Innov Invest, avec un budget de 700 millions de DRH.

Vous êtes à la recherche d’un incubateur ?

Essayez Technopark. 3 sites :

  1. Tanger
  2. Casablanca
  3. Rabat

Les business qui marchent au Maroc : quel est le meilleur commerce et le plus rentable ?

Et si je vous dis ouvrir un café, me croiriez-vous ? Car les cafés cartonnent au Maroc ! (On est loin des nouvelles technologies là). Pourquoi ?

  1. D’abord parce qu’il s’agit d’une habitude culturelle.
  2. Peu de charges
  3. Matière première à forte rentabilité (thé et café)

Comment réussir dans ce domaine ?

Pour ne pas vous tromper, suivez ces recommandations :

  • Le plus important : avoir un bon emplacement (rue passante, avenue)
  • Le local doit avoir une taille suffisante : il faut de la place !
  • Ne sous-estimez pas le budget de départ : 2 MDH pour les travaux d’aménagement + 1,5 MDH pour les équipements.
  • Ayez un fonds de roulement suffisant pour ne pas vous faire piéger au démarrage : 100.000 DH.
  • Ne négligez pas la déco : on doit se sentir bien dans votre café.

Avoir un café, combien ça rapporte ?

Si votre commerce est bien placé, vous pouvez facilement gagner  3.000 DH par jour. D’une façon générale, la marge brute est de 40%.

À lire aussi :

Les activités qui marchent

Comment faire pour ouvrir un dépôt vente

Ouvrir Une Pizzeria → LA RENTABILITÉ

La pizza est rentable. Sa marge brute est la plus importante de la restauration (avec la crêperie peut-être). Vous voulez savoir combien rapporte une pizzeria ? À suivre si vous voulez vous mettre à votre compte : taux de marge et le chiffre d’affaire moyen d’une pizzeria, d’un camion ou d’une franchise. BONUS : les formations pour apprendre le métier rapidement.

Pourquoi une pizzeria rapporte plus que tout le reste ?

Le taux de marge sur une pizza est important du fait des ingrédients utilisés, bon marché. Vous l’aurez compris, la rentabilité peut-être élevée car la différence entre le coût de fabrication et le prix de vente TTC peut avoir un rapport entre 3 et 5. Autrement dit, un restaurateur peut les vendre entre 3 fois et 5 fois plus chères qu’il ne les produit.

Cet article peut vous intéresser : quels sont les commerces qui marchent aujourd’hui ?

Les coûts

Si vous en êtes au stade où vous réfléchissez au plan de financement, sachez faire la différence entre les coûts variables et les coûts fixes. Ces charges vous permettront de calculer le ratio moyen.

2 exemples de ration pour un CA de 177253 et de 65792 euros. Regardez la marge brut. Ça laisse rêveur.

Les coûts variables

Ce sont ceux qui vont dépendre de votre niveau d’activité. Concrètement, plus vous vendez de pizzas, plus vous allez dépenser.

Les postes de dépenses variables :

  • La matière première
  • L’énergie : gaz, électricité ou bois
  • Le personnel

Les coûts fixes

Ce sont eux qui vont vous faire relativiser. Ne tenez pas compte des chiffres, ils servent d’exemple. Ce sont les postes de dépenses qui sont importants.

N’oubliez pas les impôts et les prélèvements sociaux :

  • La TVA
  • Les charges sociales
  • Les impôts sur le bénéfice (si vous êtes en société)

Plus l’écart entre le coût de production et le prix de vente est élevé, moins les taxes et prélèvements sociaux ne vous poseront de problème.

Le Business Plan pour des pizzas à emporter

Avantages : moins de coûts fixes ( – de personnel) et une amplitude horaire réduite (vous ne travaillerez souvent que le soir). Mais combien de pizzas devez-vous faire par heure pour bien gagner votre vie ?

Hypothèse

Vous faites 100 pizzas par jour et vous ouvrez 21 jours par mois, ce qui vous fait 2100 pizzas mensuel. Partons sur un chiffre rond pour le tarif : 10 euros / pizza. Votre chiffre d’affaire sera de 21000 euros.

BON À SAVOIR : 80% du CA d’une pizzeria est réalisé avec :

  • La Reine,
  • La Margarita,
  • La Calzone
  • Et l’Orientale.

Les charges pour des pizzas à emporter

  1. Les Matières premières : environ 1,5 € / pizza = 3150 € / mois.
  2. Le local (ou le loyer du camion) : 600 €
  3. Les salaires : 1568 euros brut par employé (sur la base du SMIC avec les aides de l’état). Si vous êtes 2 à travailler = 3136 € /mois.

Total des charges : 3150 + 600+ 3136 + 2000 (autres charges : comptable, énergie, internet, emballages, assurance…) =  8886 €.

Combien allez-vous gagner par mois ?

21000 – 7886 = 12114 €

Bon, ce ne va pas être le montant net de vos dividendes. À cette somme il va falloir retrancher les impôts, l’achat du matériel, le remboursement du crédit… Si vous voulez augmenter le rendement, vous pouvez jouer sur votre marge en :

  • Augmentant le prix de la pizza : avec de meilleurs ingrédients.
  • Ouvrir plus longtemps, donc vendre plus de pizzas.
  • Élargir la carte : avec des dessers, des antipastis, des boissons.

Une hypothèse qui a ses limites

Les charges peuvent aussi bouger, notamment avec le loyer. Tout dépend où vous êtes installé. Même chose pour le nombre de pizza par jour. Il va dépendre de votre notoriété, de votre lien d’implantation, du talent du pizzaiolo…

Pour en savoir plus sur la pizza, vous pouvez consulter ces 2 sites :

Comment calculer le seuil de rentabilité ?

On vient de l’aborder mais je vais vous donner quelques éléments en plus pour vous permettre de le calculer plus facilement. Un seuil de rentabilité, c’est le moment à partir duquel vous allez commencer à gagner de l’argent.

Un petit tableau pour vous aider à calculer votre seuil de rentabilité. À vous de jouer !

Concrètement, à partir de combien de pizzas vendues votre affaire va commencer à faire des bénéfices :

Camion pizza: est-ce rentable ou pas?

L’idée a ses avantages comme ses inconvénients par rapport à l’achat et à la location d’un local.

À lire aussi si vous avez peu d’argent à investir : ouvrir un commerce avec 10 000 €.

Le camion à pizza : simple et indépendant

Il est généralement moins cher, mais il nécessite pour autant un budget de départ. Son avantage est qu’il est mobile, vous pourrez donc vous placer près d’une zone industrielle ou d’une zone de bureaux à l’heure du déjeuner, et vous déplacer proche de quartiers résidentiels à l’heure du dîner afin de faire de la vente à emporter.

Le seul loyer sera le leasing du camion, ce qui est bien moins cher qu’un loyer dans une rue commerçante. Vous pourrez en plus vous rendre directement auprès de vos fournisseurs avec ce même camion.

  • Vous aurez besoin de moins d’argent pour commencer par rapport à un local (4 x moins).
  • Vous allez pouvoir toucher une clientèle plus large (en vous déplaçant).

Désavantages du camion

  • L’obligation d’avoir une carte professionnelle de commerçant (démarches supplémentaires),
  • D’obtenir une autorisation de la mairie pour vous garer là où vous le souhaitez.
  • Vous avez peu de place pour travailler à l’intérieur (à la longue ça peut être usant, d’où la nécessité de bien vous organiser).
  • Même chose pour stocker les aliments : manque de place.
  • Vous allez travailler dehors : couvrez-vous bien l’hiver et hydratez vous bien l’été !

Pour en ouvrir un camion à pizza

Vous devez d’abord vous rendre auprès de la préfecture du département dans lequel vous allez circuler avec votre camion. Vous y demanderez une carte professionnelle de commerce ambulant. On ne vous demandera que des pièces d’identité, un justificatif de domicile ainsi que les documents attestant de la création de votre entreprise, ou de l’acquisition de votre statut légal.

Ensuite, il vous suffira de vous rendre auprès de la mairie dans laquelle vous souhaitez circuler afin de demander des emplacements. Attention, vous n’aurez pas le droit d’arrêter votre camion où bon vous semble.

Un conseil : n’oubliez pas les places de marché le samedi et le dimanche.

Comment ouvrir sa pizzeria ?

La marche à suivre pour y arriver, dans l’ordre.

1. Suivre une formation de pizzaiolo

Pour réussir en affaires, il faut être indépendant. Vous devez donc être capable de cuire vos pizzas seul, et pour cela vous devrez suivre une formation. Il est hors de question que vous soyez obligé de fermer boutique parce que votre cuisinier est malade, ou refuse de travailler parce qu’il vient de finir ses 35 heures.

Soyez circonspect avec le choix de votre formation. Préférez l’aspect qualitatif, et n’oubliez pas d’inclure des modules de formation à la gestion d’une petite affaire.

Quelques formations :

http://www.ecolefrancaisedepizzaiolo.com/

http://www.formationpizzaiolofrance.fr/formation.html

http://www.pole-pizza.fr/

2. Trouver un local avec pignon sur rue

Trouver un local n’est pas compliqué, trouver un bon local est déjà plus dur. On ne rappellera jamais assez les 3 principales règles du commerce :

1 -L’emplacement,

2-L’emplacement,

3-L’emplacement.

Plus l’emplacement commercial est situé sur du passage, plus le succès est garanti.

Par ailleurs, un business plan précisant l’acquisition d’un emplacement de passage a beaucoup plus de chances de trouver du financement. Et du financement il en faudra, car le budget nécessaire pour ouvrir son affaire sur un bon emplacement est forcément élevé.

Où vous installer ?

Parmi les meilleurs emplacements, on trouve les rues piétonnes. Il est préférable d’ouvrir son commerce à côté d’autres restaurants, afin de bénéficier de l’effet de levier. Ce ne sont pas les emplacements les moins chers, loin s’en faut, il convient donc de bien étudier la rentabilité d’une échoppe située dans une rue piétonne où le mètre carré commercial se loue cher.

CONSEIL : allez voir ce qui se passe à l’étranger ! À lire : les bonnes idées qui nous viennent d’ailleurs pour un max de rentabilité.

Investir dans un kiosque à pizza

À mi-chemin entre le commerce ambulant et le restaurant avec pignon sur rue, il y a le kiosque. Non-seulement il est possible de se franchiser, mais c’est généralement beaucoup plus simple.

Vous n’aurez qu’à demander un emplacement auprès de la mairie, et vous trouverez des solutions clés en main auprès de franchises sérieuses. Vous bénéficierez d’un endroit tout équipé, votre menu vous sera fourni avec recettes et formations.

Avantage :  vous pouvez travailler seul, sans frais de personnel.

Pensez à la législation

S’il n’y a pas de diplôme spécifique pour devenir pizzaiolo, il y a une législation stricte pour ouvrir sa pizzeria. Vous devrez vous immatriculer au registre du commerce, et choisir un statut légal. Auto-entrepreneur, commerçant, ce ne sont pas les choix qui manquent. Rendez-vous à la chambre du commerce et de l’industrie afin d’obtenir des conseils sur la création d’entreprise.

On vous y apprendra notamment quelles sont les charges à déclarer, comment tenir votre comptabilité, et surtout quelle est la législation hygiénique en vigueur. Car vous aurez plusieurs inspections des services de l’hygiène dans l’année, et vous devrez satisfaire à tous les contrôles.

Budget nécessaire : de 0 à 100 000 €

S’il n’est pas facile d’ouvrir un restaurant sans apport, ça se trouve tout de même. Tout dépend de votre faculté à convaincre un banquier ou un franchiseur. Plus raisonnablement, le budget nécessaire pour une ouverture réussie avoisine les 90 000 €. Cependant, il n’est pas nécessaire d’apporter la totalité de la somme, on demande souvent un effort personnel de 20 %.

Évitez le système du « fait-maison-pour-dépenser-moins ». Il est préférable de suivre une formation comprenant également l’aide à la recherche au financement du budget nécessaire. Les banques apprécient les entrepreneurs qui prennent le temps d’apprendre.

Se franchiser : la solution la plus simple

Se franchiser est certainement la solution la plus simple pour ouvrir son commerce. La plupart des franchiseurs incluent une école de formation, au cours de laquelle vous suivrez des cours de cuisine mais également pour connaître la législation. Tous les franchiseurs incluent déjà un business plan dans leurs prestations, et vous aident à le présenter aux banques.

Si vous choisissez la voie de la franchise, que ce soit pour investir dans un kiosque ou pour ouvrir un restaurant sans apport, vous n’êtes pas seul. Vous conservez toujours une certaine dose de liberté car vous êtes votre propre patron, et l’on vous donne en plus la méthode (les recettes) et les outils de travail (les fours et les équipements de cuisine).

D’autres commerces qui rapportent :

Investir 10000 Euros: 10 Idées Pour Ouvrir un Petit Commerce

Investir 10000 euros : oui mais dans quoi ? Certaines franchises sont accessibles à ce prix là. C’est l’occasion de se lancer dans la création d’entreprise en franchise, tout en bénéficiant d’une formule qui marche et qui a déjà fait ses preuves ailleurs. À vous de trouver la voie qui vous correspond. Mon conseil : n’ayez pas peur de l’échec, c’est une étape vers la réussite, rien d’autre.

Pourquoi vous lancer dans la franchise : les avantages

Par rapport à un entrepreneur qui créerait son entreprise de toute pièce, la franchise permet de gagner beaucoup de temps :

  • Vous démarrez clé en main
  • Vous vous lancez avec un produit qui a déjà fait ses preuves
  • Vous serez formé pour acquérir de nouvelles compétences
  • Vous profitez de la publicité faite par la maison mère
  • Vous avez une exclusivité sur un certain secteur

Dans quel secteur investir avec un tout petit apport ?

Certaines franchises sont plus faciles que d’autres à ouvrir si vos moyens financiers sont limités. Par exemple, mieux vaut éviter pour le moment l’hôtellerie et la restauration qui demandent de gros investissements.

La question de l’apport peut vous bloquer. Même si vous avez de l’argent personnel, vous n’avez pas envie de le perdre et de l’investir. On vous comprend. Pas de panique, il y a des possibilités d’apport à moindre coût.

Comment financer votre entreprise ?

Pas d’apport ? Lisez ceci !

Ne pensez pas que faire partie d’un réseau franchisé soit toujours payant. Pour une enseigne, demander un droit d’entrée minime ou même rien du tout peut être une façon de se faire connaitre. Il faudra donc être à l’affut des tendances !

Les 3 règles pour que vous ne mettiez pas trop d’argent dans votre projet :

  • Peu ou pas de stock
  • Pas de local commercial
  • Pas ou peu de matériel

Vous l’aurez vite compris : c’est travailler à domicile qui coûte le moins cher ! Autre moyen : vous déplacer directement au domicile des clients.

Les franchises avec un faible apport

Investir avec un petit budget n’a rien d’exceptionnel, car il faut bien commencer par quelque chose. L’exemple d’un petit investissement qui rapporte gros : l’achat de parkings. Au niveau de l’entreprise, quand on choisi d’être franchisé, mieux vaut privilégier certains secteurs, plus accessibles que d’autres aux petites bourses.

Pour découvrir les enseignes qui montent, c’est ici !

Le plan de financement classique 

Les services à la personne

Ils ne nécessitent pas de gros investissements, mais beaucoup d’huile de coude. Ainsi, vous pouvez rejoindre le réseau A2micile pour 6 500 €.

L’immobilier

Avec les nouvelles technologies, plus besoin d’être installé en centre-ville dans un beau local pour trouver des clients. Un ordinateur, bien utilisé, suffit, voir du porte à porte.

Parmi les enseignes, citons :

  • Chem-Dry,
  • CapiFrance ou encore
  • OptimHome Immobilier,
  • Eco Travaux
  • ou SAFTI.

On peut au choix chasser les bonnes affaires, si on a le flaire pour cela ou apporter un service ajouté aux propriétaires comme le diagnostic sur la performance énergétique de son appartement.

L’informatique

Beaucoup d’entreprises se lancent dans le créneau, parfois avec succès. Là encore, les franchisés n’ont pas besoin d’investir à outrance pour profiter des premières retombées économiques de leur implication.

Citons City Flash qui vend des applications pour Androïd, Vacation Key et son guide Internet de B&B, Ankaa Engineering, Ibootic qui comme son nom l’indique est un magasin e-commerce, ou bien encore Web-Réseau. On peut aussi choisir de réparer le matériel informatique des entreprises ou des particuliers si on a des compétences pour le faire.

Les business avec peu d’investissement

Ce qu’il faut, c’est trouver la bonne idée, celle qui n’est pas compliquée à mettre en oeuvre mais qui peut rapporter beaucoup d’argent si elle fonctionne. Le mieux est ici d’avoir un peu de temps devant soi pour laisser le produit se développer et prendre toute son ampleur dans un monde de plus en plus concurrentiel, mais la bonne nouvelle, c’est qu’il y a de la place pour tout le monde.

Les exemples de métiers et de franchises :

  • Conseiller immobilier (SAFTI)
  • Commercial en immobilier (LA LUCARNE)
  • Courtier en assurance de prêt (AS COURTAGE)
  • Nutrition animale (HUSSE) : apport personnel de 4000 € demandé
  • Lavage écologique de voiture (COSMETICAR) : apport 3000 €
  • Aide aux personnes âgées (AD SENIORS)
  • Ménage (DOMICILE CLEAN)

Les bonnes questions que vous devez vous poser pour ne pas vous tromper dans votre choix

Trouver une franchise qui vous accepte avec un tout petit apport est une bonne chose, mais elles sont peu nombreuses. Peut-être qu’il y a des raisons moins avouables. Demandez vous donc si :

  • C’est une bonne opportunité
  • C’est un bon réseau

D’autres secteurs pour vous lancer avec moins de 10 000 euros

  1. Les services à la personne (KIDS PARADIS – garde d’enfants)
  2. Les services aux PME (gestion, marketing, communication) (RIVALIS – consulting)
  3. La grande distribution (location gérance CARREFOUR ou CASINO)
  4. Le web (aide au référencement – NETINUP – apport personnel de 5 000 €)

Vous en voulez encore ?

  • Ad Seniors : 4 000 €
  • Besson Chaussures : 5000 €
  • Servizen : 4000 €

La recharge de cartouches d’encre : un secteur en plein expansion !

Le concept est simple : permettre aux clients d’économiser sur les cartouches, en les rechargeant à moindre coût par rapport à ce que pourrait faire un géant du secteur.

Exemples :

Franchise point d’encre : 9000 euros d’apport

Recycl’Me : apport 5000 euros.

D’autres bonnes idées

Commençons par la livraison à domicile : si beaucoup de choses ont déjà été inventées, il y a encore des créneaux à prendre. Apéro Mobile, par exemple, vous livre votre pastis et vos cacahuètes devant votre porte. Les innovations technologiques et écologiques ont aussi le vent en poupe.

On a ainsi inventé le nettoyage sans eau. Pour en savoir plus, voir les franchises Cosmeti’Car et Autobella. Pareil pour tout ce qui touche à la santé, sevrage tabagique en tête. Dans la série de ce qui marche encore malgré la concurrence, citons le dating, qui vivra tant que les grandes villes seront bourrées de célibataires et que les petites manqueront de lieux de rencontres.

Partir de zéro

Devenir riche n’est pas un rêve inaccessible, bien au contraire, et les self made men existent encore en France, Xavier Niel en est la preuve flagrante.

Bref, tout ça pour dire qu’il suffit de pas grand chose pour se lancer dans le grand bain de l’entrepreneuriat, avec tout ce que cela  comporte comme possibilités de réussir sa vie professionnelle et d’être épanouit dans son travail au quotidien. Mais avant de connaître la réussite, il faudra travaillé, en oubliant bien souvent que le temps de travail est limité à 35h…

Alors retroussez vos manches, et au boulot ! Pour celui qui voudrait faire autre chose avec ces 100000 euros, il y a toujours la possibilité d’acheter un cheval

Prêt Brasseur: 100 000 euros gratuitement?

Si vous voulez ouvrir votre café et que vous n’avez pas d’argent pour cela, il y a une solution : le prêt brasseur. Cette grosse somme d’argent tombée du ciel peut vous permettre d’ouvrir un bar sans apport. Mais avant de signer l’offre de prêt, renseignez-vous bien :

  • Comment obtenir un prêt brasseur ?
  • Quelles vos être vos obligations ?
  • Est-ce facile de résilier le contrat ?
  • Quels sont les côtés négatifs de l’opération ?

Le crédit brasseur : pour ouvrir une brasserie sans apport


Trouver un fournisseur de boisson pour un bar n’est pas difficile : les grandes brasseries vont se bousculer pour devenir votre partenaire privilégié. Heineken, Carlsberg, si votre emplacement est bon, vous aurez l’embarras du choix.

Cette concurrence peut vous permettre d’obtenir à crédit l’argent qui vous manque pour ouvrir votre bar, grâce à un contrat brasseur. Car quand on se lance, on a peu souvent les fonds nécessaires disponibles.

Vous cherchez à ouvrir un commerce ? Lire aussi nos articles sur ceux qui marchent :

Comment ça fonctionne ?

Qu’est-ce-que le prêt brasseur ?

On l’appelle aussi le contrat bière. C’est un contrat qui lie le propriétaire du bar avec un grand brasseur. En échange de l’argent prêté, le propriétaire doit se servir uniquement chez ce fournisseur, c’est aussi valable pour le café, le vin et les boissons diverses.

Vous n’avez pas trop d’argent ? On vous donne des idées de commerces à ouvrir avec peu de sous.

Le saviez-vous ? C’est une pratique qui date du Moyen-Âge !

Pourquoi souscrire un contrat bière ?

Ne pas avoir le choix de ses produits ne se fait pas de gaieté de coeur. Bien souvent, on y a recours quand la banque ne veut pas suivre. Si vous êtes entrain de chercher un fonds de commerce, vous vous rendez vite compte que les établissements bien placés (et donc ceux qui vont rapporter) coûtent un bras.

En matière de commerce, il n’y a qu’une seule règle : l’emplacement. Vous comprenez pourquoi certains n’hésitent pas une seconde avant d’accepter l’offre de leur distributeur de boissons.

D’autres idées pour ouvrir votre business :

  1. Les franchises qui cartonnent en ce moment
  2. Le dépôt-vente

Que va vous donner le brasseur ?


  • D’abord il va vous prêter de l’argent. 100 000 euros si c’est une grosse affaire, un peu moins si c’est une petite affaire, de 30 à 50000 euros.
  • Vous n’aurez pas à acheter la tireuse à bière. Il va vous la prêter et vous l’installer gratuitement (de belles économies à faire là dessus). Le bon plan, c’est que si elle tombe en panne, un coup de fil et il vient la réparer.
  • Il va aussi vous charger en bière et en mobilier à l’effigie de sa marque.
  • Certains vont encore plus loin, en offrant la licence IV !

Cette vidéo peut vous intéresser, elle vous explique comment obtenir la licence IV et ce qu’elle coûte (et surtout comment il est difficile d’en avoir une !) :

Source : La Quotidienne

Et que devrait-vous lui donner en échange ?

On ne vous prête jamais de l’argent gratuitement. Il y a toujours une contrepartie. D’abord, il faudra rembourser le prêt, même si en fonction de votre CA, le brasseur peut se montrer peut presser de récupérer ses billes.

Ensuite, et c’est là que ça se corse (rien à voir avec la région) il faudra vous engager à passer un certain nombre de fûts par mois.

Les modalités du contrat


Rien de caché ni de sorcier dans les modalités. Attention : cela ne veut pas dire que vous n’avez pas une marge de négociation sur le taux du prêt et la durée de remboursement. Pensez aussi à inclure dans la négo le prêt de la machine à café (à condition que le café soit bon). Ca vaut une fortune.

Il faut que vous restiez bien concentré aussi sur la durée de l’exclusivité qu’on va vous proposer. Plus elle est longue, plus vous êtes pieds et poings liés (façon de parler).

BON À SAVOIR : vous ne pouvez pas conclure le même genre de contrat avec deux fournisseurs, dans quel cas vous seriez responsable pénalement et vous devriez payer de lourdes indemnités financières aux brasseurs lésés.

Et que se passe-t-il si vous vendez votre affaire avant la fin du contrat ?

Vous y trouverez une clause, qui s’appelle « clause de porte fort du distributeur » qui prévoie la cession du fonds de commerce. La personne qui va vous acheter le fonds devra continuer à honorer ce contrat jusqu’à son terme. Ca peut être un vrai frein à la vente.

En plus, vous êtes le garant de cela. Ainsi, s’il passe outre, même si vous n’êtes plus en activité, ça sera à vous de payer.

Pourquoi ce n’est pas toujours une bonne affaire ?

Avoir un contrat d’exclusivité avec un brasseur suppose que vous allez devoir accepter ses prix tant que vous n’aurez pas remboursé le prêt ou que vous vous servez de sa tireuse. Hors, celui-ci en profite un peu pour vous vendre ses produits à un prix plus élevé qu’ailleurs. Vous trouverez ainsi moins cher chez les petits distributeurs.

Préparez-vous donc à payer au dessus des prix du marché, ce qui peut vous bouffer votre marge, à moins de répercuter les prix sur la clientèle. Mais là, vous risquez de la perdre parce que vous êtes trop cher. Bref, c’est le serpent qui se mord la queue.

D’autres prêts pour vous aider à monter votre boîte :

Quels sont vos droits ?

BON À SAVOIR : la loi vous protège quand même un peu là-dessus, puisqu’elle n’autorise ce genre de contrat qu’à raison d’une exclusivité de 80%. Vous avez donc, en théorie, le droit d’aller vous servir ailleurs pour 20% de votre CA.

Le souci, c’est si le distributeur est mécontent car il estime que vous n’avez pas vendu les hectolitres prévus au contrat. Il peut alors le casser et il faudra le rembourser.

Que se passe-t-il en cas de contentieux ?

D’abord, si rien de particulier ne vient l’entacher, c’est un contrat valide si les deux parties y trouvent leur compte. Après tout, rien ne vous oblige à signer.

Vous ne pourrez pas évoquer la liberté de concurrence pour vous en dédouaner, car c’est une exclusivité limitée dans le temps. Enfin vous pouvez toujours essayer, mais les juges la reconnaissent rarement comme valable.

Après, vous pouvez toujours essayer de chercher la petite bête dans votre contrat, à savoir que votre consentement a été biaisé par exemple. Mais là, je vous souhaite bonne chance pour voir tout cela aboutir.

Vous voulez accepter ? Sachez que vous n’êtes pas seul !

Vous ne serez ni le premier ni le dernier à avoir passé un contrat avec votre brasseur. On estime que 8 cafés sur 10 qui s’ouvrent ont recours à ce système pour pouvoir se lancer. Le problème viendrait donc des banques, trop frileuses pour croire dans les projets des créateurs d’entreprise.

Pourquoi ?

Parce que pour vous prêter de l’argent, les banques vont vous demander un apport équivalent au crédit. Il faut dire, pour leur défense, que c’est un secteur économique où il y a beaucoup de bars qui font faillite. Les gens boivent moins, et puis il y a maintenant la concurrence des commerces qui vendent des bières artisanales et des tireuses à mettre chez soi.

Les cotés négatifs


Nombreux sont les tenanciers de bars qui poussent des coups de gueule contre ces contrats d’exclusivité. Le contrat brasseur ne fait pas que des patrons heureux, loin de là. C’est comme dans un couple. L’exclusivité est facile à vivre les premiers mois, après on s’aperçoit des défauts de l’autre…

Le premier étant que les groupes qui font des prêts brasseurs sont des mastodontes du secteur, et qu’à ce titre, vous allez vendre la bière des géants de l’industrie plutôt que celle des petits artisans (qui est pourtant celle que recherche de plus en plus le consommateur averti).

Vous aurez très peu de marge de manoeuvre pour proposer à vos clients des produits qui sortent de l’ordinaire, en tout cas pas à la pression (à la bouteille, à la limite).

L’avenir du prêt brasseur ?

Va-t-on vers plus de liberté ? Je le souhaite fortement, notamment pour permettre aux petites brasseries d’exister. Le consommateur en serait le grand gagnant. Il aurait du choix, ce qui l’aiderait sûrement à franchir la porte plus souvent.

Vous allez bientôt être commerçant ? Alors ces deux articles peuvent vous intéresser :

Faillite des caisse de retraites complémentaires (ARRCO AGIRC) : comment protéger son argent de la crise?

Je n’aurai pas grand chose comme retraite. Ces mots, vous vous les dites, comme des millions d’actifs qui arriveront un jour ou l’autre à cette échéance fatidique. Et pour ceux qui cotisent à des complémentaires, l’avenir n’est pas plus rose, ces régimes ayant de gros problèmes de trésorerie, et beaucoup leur prédisent même la faillite d’ici quelques années si rien n’est fait pour redresser la barre. Pour protéger son patrimoine et avoir un complément de revenu passé 60 ans, il faut mettre ses économies dans les bons produits financiers. Mais où placer son argent en cas de crise ?

Faillite des caisse de retraites complémentaires ?


Nous n’en sommes pas encore là mais le bateau prend l’eau, qu’il s’agisse des retraites des cadres avec l’AGIRC ou de celle des salariés lambdas avec l’ARCCO. Il faut dire que chaque année le trou se creuse un peu plus, et qu’il va bien arriver un moment où les caisses seront vides, malgré les cotisations élevés payées par certains. Hors, quand on sait que ces complémentaires représenteront au minimum 30%  des pensions des futurs retraités, il y a de quoi attraper des sueurs.

Pour reculer l’échéance, il y a fort à parier que l’âge de départ à la retraite le soit aussi, et qu’on arrive tout doucement à 64 ans. Mais si rien n’est fait pour restructurer durablement l’ARCCO et l’AGIRC le résultat sera le même : c’est reculer pour mieux sauter. Le dialogue social s’annonce donc houleux à l’heure de faire des choix difficiles, mais le temps presse car la faillite est proche et la solution pas encore dans les tuyaux, cela se saurait.

Comment protéger son épargne de la crise ?


Mieux vaut donc être prévoyant et avoir assez d’argent de côté pour couler des jours heureux, sans devoir racler les fonds de tiroirs chaque mois. Que faire de son argent  ?

La bourse, oui, mais à petite dose. En effet, les marchés financiers sont sur un pied, et le fil n’est pas très solide : Grèce, Ukraine, économie européenne moribonde, chute de l’euro… Chaque nouvelle est bonne pour faire descendre les cours, et le krach boursier n’est pas à exclure.

Si cela devait arriver et que vous possédez des actions, ne vendez surtout pas dans la panique. Ca prendra le temps nécessaire, mais les actions finiront par remonter. Par contre, cela prendra du temps, mieux vaut donc avoir les moyens d’attendre et ne pas être en flux tendu. Ce que vous pouvez faire par contre, c’est liquider les actions à risque et souvenez vous de cette règle répétée à loisir par Warren Buffet : on achète quand c’est bas et on vend quand c’est haut !

Dans quelle banque placer son argent ?

Il n’y a pas de banques meilleures que d’autres. En cas de catastrophe vos dépôts sont garantis à hauteur de 100 000 euros par établissement. Si vous avez beaucoup plus d’argent de côté, mieux vaut donc avoir plusieurs banques et répartir son épargne entre elles. Cela vous permettra de laisser l’argent sur vos comptes en toute sécurité, et de ne pas le retirer pour le mettre sous le matelas (à proscrire).

Si vous possédez un livret A, conservez-le malgré son rendement ridicule. L’argent est placé et rapporte un peu avec une fiscalité zéro. Même chose pour les vieux contrats d’assurance vie qui ont des avantages fiscaux de taille. Gardez le si vous en avez un.

Des placements pour se protéger


L’or bien sur, encore et toujours. Le métal jaune est une valeur refuge. Vous pouvez acheter des lingots, des pièces, des napoléons, et les conserver dans un coffre à la banque, ou bien passer par une société dans c’est le métier. Il est facile d’en acquérir. Vous serez taxé à 8% en cas de plus value, mais cela sera un moindre mal si les banques et la bourse s’écroulent.

acheter de l'or

Pour vous diversifier, pensez aux oeuvres d’art, dont les valeurs sûres ne se déprécient pas dans le temps. Elles ont l’avantage de ne pas entrer dans le calcul de l’ISF, et quand on paie beaucoup d’impôts, tout est bon pour ne pas tout se faire aspirer par l’état.

Vous pouvez aussi acheter des devises, certaines monnaies résistant mieux que d’autres aux bouleversements géopolitiques et économiques : le franc suisse, la couronne norvégienne, et le dollar de Singapour.

Enfin, la pierre. L’immobilier baisse, et cela va continuer jusqu’en 2019 au moins. C’est peut être le moment d’en profiter, d’autant plus que les emprunts bancaires ont des taux qui n’ont jamais été aussi bas. Acheter pour louer est un bon calcul. Un bon plan : les saisies immobilières.

En définitive, il faut que chacun mette en place une stratégie pour protéger son argent et donc son niveau de vie. Les dettes des états s’accentuent. Que se passera-t-il quand les pays ne pourront plus rembourser (voir l’exemple de la Grèce).

Le pays où il faut investir en 2018: pariez sur la Mongolie, le nouveau Qatar !

Coincé entre la Chine au sud et la Russie au nord, la Mongolie n’a que peu de lacs, peu de rivière, et aucun accès à la mer. Le développement économique de ce pays de moins de 3 millions d’habitants était donc léthargique, jusqu’à ce que l’on découvre des richesses dans son ventre. Uranium, charbon, or et cuivre éveillent maintenant l’intérêt des grandes puissances économiques mondiales. Plus que jamais y investir devient pertinent. Car investir son argent dans un pays en plein boom économique peut permettre de dégager d’intéressants bénéfices.

3 bonnes raisons de le faire


Une croissance économique à 2 chiffres

S’il fallait choisir d’investir son argent dans un pays émergeant, on en préférait un où la croissance économique est importante. Avec la Mongolie, on est plutôt servi. + de 15% de croissance, le pays se place comme l’un des plus dynamiques de cette région du monde.

Il faut dire que tout reste à faire dans ce pays de moins de 3 millions d’habitants, la moitié de la population vit dans la capitale Oulan-Bator. Le reste est composé de nomades vivant comme en Europe à la fin du XVIIIe siècle. Tout est à faire, à commencer par les réseaux routiers, les infrastructures d’eau et d’électricité, et plus généralement l’immobilier.

Des ressources naturelles de 130 fois son PIB

Les raisons qui poussent les financiers à investir en Mongolie sont ses immenses ressources minières. Le géant minier australien Rio Tinto a par ailleurs ouvert le plus grand gisement mondial de cuivre et d’or, en plein désert de Gobi. Ce gisement devrait à lui-même représenter 1/3 du PIB à terme.

Mais ce n’est pas tout, car la valeur des ressources minières est estimée à 1300 milliards de dollars. En 2013, le PIB était de 10 milliards de dollars. Les réserves qu’elle détient dans son sous-sol permettraient ainsi de multiplier sa richesse par 130. Charbon, uranium, mais également or et cuivre intéressent qui veut investir son argent dans un pays en plein boom économique.

L’uranium notamment

Elle attire particulièrement les puissances économiques utilisant l’énergie nucléaire, telles que la France. On considère qu’à l’horizon 2023, Elle exploitera les 2 plus grandes ressources d’uranium au monde. La visite de Laurent Fabius en 2013, juste après le passage d’Angela Merkel, n’est pas innocente. Les champions de l’énergie comme GDF Suez, Areva et Air Liquide ont emboîté le pas du ministre des affaires étrangères pour venir y investir.

Selon les spécialistes, le pays contiendrait 10 % des réserves mondiales de charbon, ce qui serait donc 2 fois plus important que l’Indonésie, actuel plus gros exportateur. Il y aurait encore la possibilité d’ouvrir 160 gisements de charbon, sans compter les potentielles mines d’étain, d’or et d’argent.

Des géants économiques comme voisin

Jusqu’alors la Mongolie bénéficiait de la croissance économique de la Chine et de la Russie. Ce qui était alors un atout indéniable devenait également une épine dans le pied, car elle dépendait de la santé économique de ses deux géants de voisin. Avec l’arrivée massive de capitaux étrangers, elle est maintenant en mesure de diversifier les risques en augmentant son portefeuille de clientèle.

Pourquoi investir dans un pays émergeant ?


Tout est à construire

Si l’on devait choisir dans quel pays investir, il serait préférable d’opter pour les pays émergeant où tout est à construire. Ici, si la croissance du PIB a atteint +16,5 %, tout reste à faire. 36 % de la population vit sous le seuil de pauvreté, et l’on considère que 60 % des habitants sont sans emploi.

L’inflation avoisine les 18 %, et il commence à se créer un fossé entre la population urbaine et la population rurale. C’est dans ce contexte que les autorités cherchent à améliorer leur transport ferroviaire.

Ce sont ainsi 5600 km de voies ferrées qui devraient être construites à travers le pays, un contrat gigantesque qui fera augmenter la valeur des actions de celui qui l’obtiendra. Car c’est l’avantage d’investir son argent dans un pays en plein boom économique : le retour sur investissement est bien plus important que dans des pays développés.

Les communications sont quasiment inexistantes en Mongolie, il y a donc du travail en perspective pour Arianespace qui tente de négocier un projet de satellite. On peut raisonnablement dire que toute entreprise destinée à investir là-bas sera récompensée par des bénéfices, et ses actionnaires avec.

Il va falloir de l’immobilier

Les pays émergeant sont certainement les meilleurs endroits où investir dans l’immobilier dans le monde. Car la Mongolie sera bien obligée de construire pour héberger tous ces étrangers venus assurer son développement économique.

Construire des voies ferrées, des routes, mettre en place les machines et exploiter les ressources minières, tout cela va nécessiter de la main-d’œuvre. Bien peu parmi les 2,9 millions d’habitants sont suffisamment qualifiés assurer cette tâche. Elle devra faire appel à des travailleurs étrangers, principalement venus du voisin chinois.

immobilier mongol

L’immobilier est une bonne idée pour investir à l’étranger avec un bon niveau de sécurité, en Mongolie cela pourrait même signifier de belles chances de plus-value. Car pour permettre à des étrangers d’y investir, les autorités vont devoir prendre des mesures garantissant la propriété de l’investissement. Un citoyen européen pourrait donc fort bien acheter de l’immobilier sur place, et voir le montant de son investissement récompensé en peu de temps.

A lire aussi, dans le même genre : s’acheter une île.

Développer la consommation interne

Lorsque des étrangers se mettent à investir dans un pays émergeant, ils créent un mécanisme de levier. Les populations viennent s’installer, ce qui nécessite bien sûr de l’immobilier, mais également le développement de services. Si l’on regarde la capitale Oulan-Bator aujourd’hui, on s’aperçoit qu’elle est entourée de montagnes et qu’elle propose bien peu en dehors des stands de rue.

Il faudra aménager les services sanitaires pour accueillir les nouvelles populations. Il faudra également créer des écoles, des commerces, et importer toutes sortes de boissons, de nourriture et de biens de consommation qui n’existent pas actuellement.

Le développement de la consommation interne d’un pays émergeant est important, car il permet d’amortir sa dépendance vis-à-vis de ses principaux importateurs. Or le pays est actuellement dépendante de la consommation de Chine et de Russie. Comme le montre le graphique de l’évolution de son PIB, qui a chuté de -1,3 % en 2009. Il s’est vite remis sur pied.

Mais le gouvernement mongol veut éviter que ce genre de scénario ne se reproduise, et aimerait instaurer une consommation interne.

Comment se déroule un boom économique ?


boom économique mongol

L’effet de levier des pays émergeant

Le pays possède donc d’immenses ressources minières. Pour les exploiter, les autorités doivent faire appel à de la main-d’œuvre étrangère. Il faut donc construire des logements pour accueillir cette main-d’œuvre étrangère. Il faut également amener des services et des marchandises pour leur consommation interne.

Cette consommation interne permettra de générer des ressources à l’intérieur même du pays. C’est ce que l’on nomme l’effet de levier, propre à l’investissement dans un pays émergeant.

Inciter les autres pays à investir à l’étranger

Pour amener des capitaux dans un pays émergeant, il faut inciter les puissances économiques existantes à investir à l’étranger. Pour cela, rien ne vaut de se baser sur des modèles déjà en place, connus et inspirant confiance. C’est ce qu’a fait la Mongolie en créant une banque d’investissement et un fonds souverain, afin de centraliser les revenus tirés des ressources minières.

L’objectif étant de réinvestir cet argent dans le développement des infrastructures et de la consommation interne, on se trouve bel et bien dans une situation de levier économique. Mais ce n’est pas tout, car pour rassurer les investisseurs étrangers, il faut une bourse. C’est ce qu’a accompli le gouvernement, en passant un accord avec le London Stock Exchange afin de relancer la bourse locale.

Dans quel pays investir en 2018 pour trouver le boom économique ?


Pour investir dans un pays émergeant, il est préférable de choisir des pays renfermant des ressources naturelles dans leur sol. On choisira également la stabilité politique, les situations de crise de guerre n’étant pas bonnes pour la croissance. Dans ce contexte, la Mongolie présente véritablement un bon profil.

C’est l’un des rares pays voisins de la Chine à ne pas avoir de disputes territoriales en cours. Comme on l’a dit, elle renferme un trésor de 1300 milliards de dollars dans son sous-sol. Et ces réserves, le monde entier en a besoin.

A connaître avant d’investir

Il s’agit d’un très grand pays d’un 1 566 500 km². 80 % de son territoire se situe à plus de 1000 m d’altitude. Le climat présente la particularité des extrêmes. En hiver, la température peut descendre à -40°. En été dans le désert de Gobi, elle monte à plus 40°. Ses frontières sont constituées de montagnes, avec le plateau tibétain au sud, les monts Khingan et L’Altaï à l’ouest.

D’autres pays à forte croissance où investir dans le monde


Acheter à Paris, Londres ou New-York coûte maintenant beaucoup trop cher. Ceux qui font fortune sont ceux qui ont su être là avant les autres. Pour investir, il faut aller là où il y a la plus forte croissance. Ainsi la Chine est déjà du passé, place à l’avenir et aux pays qui ont un potentiel pas encore exploité.

Toutefois, il faut savoir que ce sont quand même pour la plupart des pays à risque, du fait d’une certaine instabilité politique et de grande disparité dans la répartition des richesses.

  1. Le Mozambique : d’immenses ressources naturelles, mais un pays encore presque totalement tourné vers l’agriculture.
  2. Le Bhoutan : exporte de plus en plus d’énergie, surtout vers l’Inde. Pour vraiment émerger, il faudrait qu’il arrête de discriminer autant les femmes.
  3. La Papouasie-Nouvelle-Guinée : de l’or, du cuivre et du pétrole. Reste que pour investir, c’est quand même un truc à la Indiana Jones.
  4. La Côte-d’Ivoire : l’Afrique, encore et toujours, terres d’aventures et d’eldorado. Ici, l’or, c’est le cacao.
  5. L’ Ouzbékistan : coton, gaz et or. Reste que politiquement…
  6. La Birmanie : depuis que les militaires ont desserré la corde, le pays attire, et la jeunesse, nombreuse, ne demande que cela.
  7. La République démocratique du Congo : des ressources mais une économie à la traine.
  8. Le Turkménistan : quand les réformes arriveront, ces stocks de gaz en feront un pays très riche.
  9. L’ Ethiopie : c’est la plus grosse croissance en PIB dans le monde. + 8,50% en 2017. Industrie, énergie, tout y est.

Focus : l’Éthiopie

Sa croissance fait rêver le monde entier. Ceux qui ont connu Addis-Abeba ne serait-ce qu’il y a 5 ans ne la reconnaitrait pas. Les infrastructures poussent comme des champignons et le dynamisme se mesure à tous les étages. Reste que le pays est soumis aux aléas climatiques, et en particulier à la sécheresse.

Les crises alimentaires ont tout détruits dans le passé, et elles pourraient se reproduire. Il y a quand même encore 90% des habitants qui vivent de l’agriculture, et quand il n’y a plus d’eau, c’est forcément une catastrophe humanitaire.

investir en ethiopie

Mais le pays avance, et sait maintenant répondre à ce genre de crise. Les enfants sont nombreux à être scolarisé, et les réformes tombent les une après les autres pour continuer à afficher un taux de croissance exceptionnel.

La Birmanie (Myanmar)

Il y a tout à construire dans ce pays, et les investisseurs jubilent devant les réformes économiques en cours. Le pays s’est ouvert aux capitaux étrangers, le rendant très attractif. Les usines ouvrent les unes après les autres, et même Coca)Cola c’est installée à Rangoon. 

Rappelons que le sol de la Birmanie regorge de ressources naturelles et depuis que les militaires ne s’occupent plus trop de la politique, elles sont enfin exploitées à leur juste valeur, ce qui explique ce PIX x 4. Bien sur, les chinois ne sont pas les derniers à aller y faire de bonnes affaires. Quant tous les conflits ethniques seront réglés, le Myanmar passera encore à la vitesse supérieure.

Le Mozambique

On ne donnait pas cher de sa peau il y a encore 10 ans, et pourtant le Mozambique s’annonce comme un des pays africains les plus porteurs. On lui prédit une croissance économique d’une belle ampleur à partir de 2020 de plus de 20% par an !

La raison : des réserves en gaz naturel à faire pâlir de jalousie les plus gros producteurs de la planète. Et ces gisements commencent seulement à être exploités. Pour cela, les investissements affluent de l’étranger. Une centaine de milliards.

Devenir riche sans rien faire et sans travailler: possible si vous pouvez emprunter pour acheter (les taux vont encore baisser)…

Comment devenir riche sans travailler ? Il n’y a pas que les fenians qui se posent cette question là. Le marché de l’emploi est tel qu’on se demande si c’est encore la bonne formule pour subvenir à ces besoins et à ceux de sa famille pour ceux qui ont la chance d’en avoir une. Pour gagner de l’argent, il y a une autre voie : se lancer dans l’immobilier, en achetant des biens et en les mettant en location. Mais pour être un rentier, il faut pouvoir emprunter. Bonne nouvelle, les taux s’écroulent, reste à trouver la banque.

Devenir riche sans rien faire


Même celui qui joue à la loterie chaque semaine fait quelque chose, en se rendant chez son buraliste. Cocher 6 numéros ce n’est pas très difficile, de là à devenir riche de cette façon, seuls quelques heureux bien chanceux y parviendront, mais combien d’élus par rapport au nombre d’appelés ? Si peu.

Même chose si vous voulez devenir propriétaire et louer. Il faudra trouver des financements, monter des dossiers, puis s’occuper des locataires. Bref, en fonction du nombre d’appartements, un travail à temps plein qui se profil. Pour devenir millionnaire, il va donc falloir se retrousser les manches, mais c’est toujours mieux que de travailler pour un patron qu’on ne peut pas voir en peinture.

Acheter en Empruntant


Si vous avez un peu d’argent de côté, laissez le bien placé, à condition que cela ne soit pas sur un livret A (0,75%, c’est une blague ?). En effet, faire un crédit coutera moins cher, on est actuellement autour des 1,40% hors assurance, soit environ 2% tout compris. C’est donc le moment de se lancer dans sa première acquisition. Si on vous propose un taux de 4% et plus, prenez la poudre d’escampette et filez voir si l’herbe est plus verte chez la concurrence.

Décrocher le précieux sésame à un taux aussi bas permet de s’engager sur une durée plus longue, ou bien d’emprunter plus et acheter autre chose qu’un studio en périphérie des grandes villes.

Il n’est donc plus rare de voir des jeunes couples s’engager pour 30 ans, même si beaucoup d’entre eux auront divorcé avant d’en voir le bout (c’est cynique mais c’est la réalité). Cela devrait inciter les jeunes à se lancer (paradoxalement). Sauf que les banquiers ne les voient pas toujours venir d’un très bon oeil, à moins d’avoir les poches bien remplies.

Les taux vont-ils encore baisser en 2017 ?


Ils descendent d’année en année, mais cela ne veut pas dire qu’il en sera toujours ainsi, même si la baisse peut encore continuer un moment (il faudra bien qu’elle s’arrête un jour). Tout va dépendre de l’attitude de la BCE, et de sa façon de gérer le taux directeur. Pour le moment, il baisse encore, la déflation n’étant pas très loin. Les records vont donc sûrement tomber, à vous d’être malin pour pouvoir en profiter.

gagner beaucoup d'argent

Cela veut-il dire que les banques vont prêter plus ? Il semble bien que l’on se dirige vers l’effet contraire, car elles ont tendance à couper le robinet, ou à l’ouvrir qu’avec d’infimes précautions puisqu’elles ne gagnent presque plus d’argent dans ces transactions là. On constate ainsi que le nombre de prêts accordés descend avec les taux, c’est ballot, non ?

Sur le même sujet : acheter une maison en Espagne. Le nouvel eldorado de ceux qui se lancent dans la pierre.

Ouvrez les yeux : ce n’est pas en achetant un, deux ou trois studios que l’avenir sera rose financièrement. Pour pouvoir en vivre d’une façon très confortable, il faudra multiplier les acquisitions immobilières. Mais en commençant petit, on ne peut que grandir. Bonne chance à tous.

Les franchises qui montent: dans quelles enseignes investir en 2018 ?

On a souvent l’impression qu’il est nécessaire d’avoir recours à la technologie pour investir dans un marché déjà bien saturé. Pourtant certains acteurs ont réussi à trouver la niche, là où d’autres ont dépensé des millions dans la recherche. Il y a des idées de business rentables à importer en France. Le prix de l’innovation revient certainement à Repar’stores, qui fait un pied de nez aux géants de la prestation en réparation, en se spécialisant dans les volets roulants. Que dire de ces franchises qui rapportent en restauration, qui se taillent une place dans la cours des grands, au nez et à la barbe des Buffalo Grill et autres Starbucks. Voici 5 franchises à ne pas rater pour entrer dans un formidable marché, tout en choisissant une niche. Quels sont les secteurs qui marchent ?

Starbucks n’a qu’à bien se tenir avec Coffea


On connaît les enseignes de chocolaterie, il subsiste encore quelques franchises de traiteur sur le marché, et l’on ne peut pas entrer dans un centre commercial sans tomber sur le géant américain du café. Mais depuis quelques un nouveau venu se taille une part du gâteau sur un marché que l’on croyait saturé. 

Chez Coffea on vend bien sûr du café, mais aussi toutes sortes de thé (saviez-vous qu’il existait des thés blancs ?) et de chocolat. En supplément les quelques 70 boutiques proposent de la vente de cadeaux gourmands. Une bonne idée pour des cadeaux d’entreprise ou personnels, pour lesquels l’acheteur bénéficie d’un conseil personnalisé.

Chez Coffea on met l’accent sur le commerce de proximité

Le gérant doit être sur place, et se trouver en contact direct avec les consommateurs. On parle de petites surfaces plutôt que d’usines à café, le franchiseur propose des formats de boutiques allant de 50 à 70 m², ainsi que des kiosques en centre commercial. Investissement minimum : 75 000 € pour le kiosque et 180 000 € pour la boutique, avec un apport personnel de 30 % de l’investissement total.

Memphis Coffee, ce commerçant qui bouscule les géants du restaurant franchise


Les détracteurs mettent en garde contre un effet de mode qui pourrait passer dans quelques années. Les adeptes leur répondent que le modèle du dîner à l’américaine existe depuis les années 50 outre-Atlantique, et fonctionne toujours très bien, merci. En France le rock ‘n’ roll, le juke-box, les néons et le bar gondolé comme une Cadillac des années 50 fait toujours fureur.

Ajoutez à cela un vrai bon hamburger 100 % bœuf français, et l’on obtient le concept Memphis Coffee. Comme au pays de l’Oncle Sam, une serveuse en uniforme vous apporte rapidement votre plat, car il s’agit toujours de restauration rapide. Tex-mex, immenses salades, milk shakes et hots dogs font partie d’une carte bien garnie.

Les écrans diffusent non stop des concerts en DVD, on est assis sur des sièges et l’on mange sur des tables fixes, et l’on se sent dans un autre monde. Selon le franchiseur, le ticket moyen des repas se monte à 19 € TTC, et les menus du midi sont disponibles à partir de 9,90 €, soda à volonté.

Mais est-ce que ça marche au moins ?

Il faut croire que oui, au vu des quelque 25 nouvelles enseignes par an.

La surface minimum est de 400 m², et l’investissement de base avoisine les 200 000 €. Les franchiseurs ne craindront pas la concurrence des Buffalo Grill et autre Courte Paille, mais ils doivent s’attendre à travailler 7 jours sur 7 et à assumer une part importante de gestion des salariés.

Quand les pommes de terre de La Pataterie concurrencent les moules frites et les steaks


Pour manger des moules frites, on va chez Léon de Bruxelles. Pour manger des steaks, on va à l’Hippopotamus. Ces 2 grandes enseignes différentes en apparence ont pourtant un point commun : on y trouve des plats à base de pommes de terre, et c’est pour cela qu’on y vient. Et bien désormais les adeptes de Parmentier disposent d’une chaîne de 200 restaurants couvrants 85 % des départements français : la pataterie.

ouvrir une bonne franchise

Tartiflettes, fondues, gratins et salades, la cuisine française regorge de recettes à base de pommes de terre. Lorsque l’on se rend au restaurant et que l’on commande un menu enfant, que trouve-t-on pour accompagner ce plat : des frites. Rendons-nous à l’évidence, la patate est bien l’ingrédient sur lequel tout le monde est d’accord : c’est bon et c’est pas cher.

Alors le franchiseur a décidé de ne faire que de la cuisine traditionnelle, avec du fromage, de la charcuterie et des poissons. Et plutôt que d’aller attaquer la concurrence dans le centre-ville des métropoles ou au cœur de zones industrielles, la Pataterie préfère s’installer en zone rurale et périurbaine. Dans ces régions où il n’y a pas grand-chose, ces restaurants chaleureux deviennent vite le point de rencontre de la population.

L’investissement global hors pas-de-porte se monte à 550 000 €, et l’apport nécessaire est de 110 000 €. Oui mais le ticket moyen est de 17,39 € TTC, et sur une surface de 350 m² on serre en moyenne 152 couverts dans chacune des franchises de la Pataterie. Le chiffre d’affaires par unité atteint donc 900 000 €, ce qui permet de rentrer bien vite dans son investissement.

Réparer des volets roulants : un marché à 500 millions d’euros pour Repar’Stores


Que faire lorsque le store d’un magasin ou d’une résidence ne marche plus ? On appelle l’électricien, qui répond qu’il ne peut intervenir que s’il s’agit d’un problème électrique. Et lorsque l’on réussit finalement à trouver un professionnel, ce dernier ne peut que constater qu’il n’a pas les pièces de rechange. Multipliez ce désagrément par le nombre de volets roulants actuellement en activité en France, et l’on obtient un marché à 500 millions d’euros.

la bonne franchise

C’est sur ce constat que le franchiseur Repar’stores a créé le premier réseau de réparateur de stores en France. Un technicien peut se lancer sans local commercial, avec un investissement de 45 000 € hors taxes, pour un apport personnel de 5000 €. Après une formation initiale de 6 semaines, il dispose d’une centrale d’achat comprenant 1500 références.

Et avec les 33 millions de volets roulants manuels restant à motoriser chaque année, le travail ne manque pas. Sans compter les 700 000 nouvelles installations, et les 4,2 millions de renouvellements. Quand des fonds d’investissement engagent des millions dans des start-up technologiques, d’autres se contentent d’exploiter le marché qu’ils ont sous leurs yeux.